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samedi 24 août 2019

LA RARETÉ.


J'ai appris comme tout un chacun la théorisation des économistes dans les écoles de la République. 
EN principe charger de nous instruire et nous donner les moyens de comprendre l'existence dans laquelle nous vivrons.
Notre monde. 

Il ne s'agit pas seulement de comprendre un monde économique, mais de comprendre comment l'homme, l'humain se positionne avec son psychisme dans la vie pour réaliser sa finalité, développer son espèce avant de disparaît à tour de rôle.
Mission accomplie ou non

Globalement nous n'avons pas encore pris la mesure de ce cela signifie empêtré dans nos manuel scolaire qui ne peuvent pas tenir compte de ceux qu'ils ignorent.

Ils ne sont qu'une marche sur laquelle l'on s'appuie, pour aller au delà, tendre notre cerveau plus haut, à l'écoute du monde qui nous percute. Celui avec lequel nous allons devoir éditer un nouveau manuel scolaire, et porter les autres aux archives
Laissant ainsi une trace de notre évolution, pour que nos descendant sache quels chemins ils ont parcouru. 

Nous avons cette trace, pas celles des archéologues, même si elle est indispensable pour estimer ou révéler l'évolution de la vie. 

Mais les traces de la compréhension sociale de l'origine de la vie, par ceux qui nous ont précédé, et qui par leurs analyses ignorantes de tout ce que nous comprenons nous ont ouvert la voie.
Cela sans en avoir la moindre intention, ni celle de s'inscrire dans une évolution, même si les philosophes Grecs posaient l'importance du mouvement.

C'est la BIBLE pour l'occident, qui est l'histoire de ce que les hommes de leur temps avaient à l'écoute du monde entendu Dieu parler à certains d'entre eux Abraham, Moïse d'abord.
Puis il sait fâché contre ceux qui ne le comprenaient pas. 
Et il décida de copuler aver Marie la femme d'un charpentier pour donner son fils comme guide.
L'occident connait la suite puisque nous la vivons depuis. 

Pourtant comme les juifs n'avaient rien compris aux messages d'Abraham et Moïse,
Les chrétiens n'ont pas plus compris  le message du Christ. 
Et aujourd'hui qu'il est plus clair, dieu est soumis aux mathématiques du marché.

L'on peut penser que je m'égare car il n'y a la point de RARETÉ.

Et pourtant c'est par cela que commence la Bible, le manuel scolaire de l'occident Chrétien qui se lisait dans des temples avant d'investir des universités. 
Pour qu'enfin des illuminés veuillent, comme Nietzsche tuer Dieu à cause de la stupidité de leur magistère qui avaient proscrit la philosophie Grecs. 
Si Jésus Christ avait su cela, je suis certain qu'il serait rester au tombeau au lieu de ressuscité.
Pour que les "adulateurs" de Nietzsche ne m'en veuille pas. C'est comme si le pendule voulait tuer le clou qui le tient et permet son mouvement par le lien qui les réunit. 
Dieu c'est le clou. 
Alors c'est possible de devenir le clou mais pas de notre vivant.
Car quand nous voyons un pendule remonter le fil pour atteindre le clou. 
Nous appelons cela un yo yo.

Ce point humour mis à part, le premier livre de la BIBLE, celui de la genèse nous dit ce qu'est la RARETÉ.

C'est l'histoire de l'homme et de la femme qui vivent nu dans le jardin de l'ÉDEN.
L'homme nu c'est l'homme à l'état nature comme importe lequel des d'animaux.
Situer l'Éden dans le temps, non comme lieu Biblique d'un jardin d'abondance, mais comme la métaphore d'un environnement propice où l'hominidé que nous sommes trouve sa nourriture en cueillant ou attrapant de petit animaux, ou mangeant des animaux mort.
Nous convenons tous qu'aucun d'entre nous n'a jamais rattraper un lapin à la course.

Cela nous conduit à la fin de l'australopithèque et le début des premiers hommes, l'Homo habilis, jusqu'au début du néolithique nous.

Une longue période de quelques millions d'années dont il est impossible que les hommes aient gardé jusqu'aux Sumériens la mémoire de leur épopée. 
Également celles des raisons pour lesquelles ils ont quitté leur jardin d'Éden, (qu'il faut traduire par territoire où l'homme  trouvait sa nourriture);.
Cela la conduit à devenir nomade et essémer de par le monde pour trouver des territoires nourriciers, sur lesquels l'homme a pu s'installer en découvrant l'usage d'outils et de techniques de culture et de chasse.

Les quelques tribus indigènes qui existent encore en Amazonie et en Indonésie témoigne que la circulation des hommes sur la planète n'est pas du au loisir mais à la recherche d'un territoire nourricier.
Ces tribus ne quittent pas leurs territoires pour découvrir si la terre est ronde. S'il y a des trous noirs dans l'univers. 
Si l'homme s'inscrit dans un projet, une finalité existentielle de la création.
Toutes ces interrogations n'auraient pas eu lieu sans un ATTRACTEUR.
C'est à dire que l'observation de notre environnement calme notre manque qui est du à la consommation d'énergie pour vivre.
Chez les tribus indigènes ce manque est satisfait dans un territoire qu'il n'ont pas à quitter.

EN conséquence de quoi leurs interrogations sont adaptées à leurs environnements qu'ils ont du comprendre pour en retirer leur auto suffisance qui les maintient dans une économie d'abondance.
Ils ont tout comme nous régulé leur groupe, se sont posés des interrogations induites par leur environnement.
Dans les forêts les tribus sont généralement  des animistes, et n'auront jamais de dieu de la mer comme les Grecs, ou des contes de Yéti comme dans les montagnes Himalayennes.
 Pourtant ils savent compter comme nous.
 Et comme nous pour ce qui leur sera utile. 

Il n'ont pas de troupeau, une activité pastorale qui situe dans le néolithique le temps d'Abraham  conté dans la bible et qui marquera les métaphores du Christianisme. 

Leurs doigts suffit donc, alors que nous pour calculer les masses monétaires, les étoiles dans l'univers il nous faut des ordinateurs.

Ces hommes ne sont ni barbares ni demeurés, ils sont aussi intelligents que nous.
Ils ont la même capacité que nous a créer des ordinateurs, à la différence, qu'eux n'en ont pas BESOIN.

Comprenons donc que nous ne créons des choses que parce que notre environnement nous y contraint. Même si nous l'appelons dieu.
Le fait que nous nous soyons inscrit dans cette dynamique depuis le premier outil avec une expansion exponentielle reste toujours sous la contrainte de notre environnement et non de la qualité de notre libre arbitre.  
Celui ci est encore un dernier stade de notre ignorance, de notre peur de l'inconnu, de l'incertitude. 
Le besoin de nous rassurer sur la maîtrise de notre destiné ultime stade de l'incompréhension de la raison des choses.

À ces tribus rasons leurs forêts et ils deviendront comme nous. 
Devoir TRAVAILLER pour PRODUIRE.

C'est écrit en toute lettre dans la genèse.

17 Il dit enfin à l’homme : « Parce que tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé le fruit de l’arbre que je t’avais interdit de manger : maudit soit le sol à cause de toi ! C’est dans la peine que tu en tirera ta nourriture, tous les jours de ta vie.

Nous avons là d'écrit en conte ce que les hommes avait déjà compris de leur nécessité de travailler pour produire.

À quelle  période du néolithique cette prise de conscience eu lieu, comme l'indique l'arbre de la connaissance, nous n'en savons pas grand chose.

La faute de la femme est elle seulement de devoir  lui assurer sa subsistance, parce qu'elle n'avait plus les moyens d'y parvenir par la cueillette.
Nous oublions toujours de prendre en compte la fécondité de notre espèce qui est d'une gestation de 9 mois, et que la régulation des naissances n'était pas de mise et le taux de mortalité certainement élevé. ( d'où le multiplier vous ou la descendance d'Abraham).
Est ce que cela correspond à la période où l'homme ignorant d'être géniteur adulait la femme, comme le montre des effigies de statuettes féminines enceintes avec de grosses mamelles nourricières.
Est la période où la terre fut nommée Gaïa, la terre nourricière.
Autant de supposition que ceux qui ont écrit la genèse auraient reformulé, forcément en ayant eu accès à l'écriture,  Il y a 5 300 ans.

Cet événement c'est certainement différencier suivant la richesse des territoires, et comme nous l'avons vu n'a pas affecté les tribus indigènes.

Par contre l'occident judéo-Chrétien vie suivant la compréhension des hommes qu'il faut qu'ils travaillent pour se nourrir, car quand L'HOMME NE TRAVAILLENT PLUS, LA RARETÉ S'INSTALLE.

Nous comprenons que la RARETÉ n'est pas ce principe égoïste qui guident les Capitalistes, celui que l'on enseigne en économie.

C'est celui qui conditionne depuis le paléolithique l'existence de L'HOMME en remplacement de la cueillette par le Travail de transformation pour chasser puis, de l'élevage et de la culture. 
L'industrialisation n'est venu qu'apporter un confort et une production de masse.

Qui dit rare dit compétition. Là encore la Bible nous le raconte, les hommes n'ont pas attendu le Capitalisme pour le comprendre, si bien que Caen à tué Abel parce que l'élevage nourrissait mieux que l'agriculture.

L'histoire nous dit qu'il fut punit à l'errance c'est à dire banni. Qu'il fut interdit de tuer Caen sous peine qu'on ne le venge 7 fois.
C'est lui qui fut l'ancêtre de la ligné l'humaine. Celle qui fut détruite par le déluge parce que mauvaise. Puis réorganisé par Moïse, sans plus de succès, comme les suivant le Christ et Mahomet, à fin d'en arriver au PIRE le plan comptable à qui nous devons les armes nucléaires avant le coeur artificiel.

Toute notre existence subit l'influence de cette lutte pour la répartition de la RARETÉ.
Elle a généré nos règles d'où a découlé la morale qui consiste à imposer des comportements sans être capable de les expliquer pour les faire accepter autrement que par la violence publique.
Mais qui dans notre société sont faites pour que l'on ne conteste pas la répartition de la RARETÉ  sur la base de règles parfois humainement  iniques.

Ainsi retrouver l'abondance n'est pas produire en masse mais se faire REMPLACER au TRAVAIL ou faire produire à la nature nos besoins alimentaires. L'inverse du discours de MACRON et de tant d'autres.

Une révolution des esprits sauf pour les spéculateurs en bourse
 Pour le reste instruisons nous tous, et cela jaillira de nos cerveaux.

J e sais ce n'est pas pour demain, mais c'est en route.

        


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