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dimanche 8 septembre 2019

Mes dames vous etes toutes des salopes

Helen Elizabeth Fisher est une anthropologue américaine, chercheuse en comportement humain, et auteure de plusieurs livres de développement personnel.
Elle est chercheuse à l'Institut Kinsey, et membre du centre pour l'étude de l'histoire évolutive des hominidés au département d'anthropologie à l'Université Rutgers. Hauteur de plusieurs publication. Donc. HISTOIRE NATURELLE DE L'AMOUR. Instinct sexuel et comportement amoureux à travers les âges, 1993.
Le premier sexe: les talents naturels de la femme, et comment elle change le monde,1999.
https://www.babelio.com/auteur/Helen-E-Fisher/174084

Pourquoi nous nous aimons.

L'amour n'est pas le fruit de nos émotions, mais d'une nécessite, un simple besoin physiologie comme la faim et le sommeil.
https://www.lisez.com/livre-grand-format/pourquoi-nous-aimons/9782221105184

Voilà une entrée en matière que nous n'avons pas en tête, tant notre monde à été envahi par la psychologie, la psychanalyse, et la survivance d'us et coutumes entretenus par les officines religieuses qui ont inspiré les lois positives de la république.

Nous sommes avant tout des hominidés dont l'innée conditionne la base de tous développement Culturel qu'examine la sociologie, la psychologie et la psychanalyse en parallèle à l'anthropologie qui dévoile des fondements de notre nature, ce qui resterait de notre CULTURE pour que survive notre espèce.
Ainsi l'analyse de nos émotions pour connaître l'être et l'âme de cet hominidé a généré un grand nombre de civilisations organisées au tour de ToTems et de TaBous.
Ils sont venus réguler les groupes humains du paléolithique duquel nous avons des statuettes stylisant la femme.
Parmi ces effigies une désignée la Venus honore la fertilité féminine

Les Totems et Tabous se sont complexifiés faire à mesure que l'hominidé est entré dans le néolithique et à découvert la RARETÉ. (devoir produire).

Celle ci l'a contraint à produire. se regrouper autour de campagne puis de villes.
Ensuite avec l'industrialisation elles sont devenues des métropoles et poursuit leur route vers des mégapoles pour absorber 38% d'hommes qui vont s'y déplacer dans le futur.
Ainsi entre la Venus du paléolithique, celle potelée de la Grèce et de celle mannequin d'aujourd'hui, la femme à gardé son même attrait SEXUEL.
Les hommes les ont trouvé aussi belle avec des bras de charretiers au paléolithique, avec ses rondeurs potelées de la Grèce, que nos Canons de mode d'aujourd'hui.

Grâce à un mécanisme cérébrale d'attrait innée nous sommes là.
Nous sommes là aujourd'hui à ériger une nouvelle terminologie juridique le Féminicide.

Pour porter au pinacle la lutte féministe tel l'apothéose d'une victoire sur l'homme.

Nous avons là des femmes qui n'ont certainement jamais lu Hellen Fisher.
Dans un de ces ouvrages en page de garde si mes souvenirs sont bons, en page de garde il y avait d'écrit : MES DAMES VOUS ÊTES TOUTES DES SALOPES.

C'est l'art de ces dames de séduire, aujourd'hui nous disons de se sexualiser.

Aussi celles qui nous diront que c'est seulement pour être jolie, nous lui chanterons ," au la menteuse elle est amoureuse".

Il n'y a rien d'anormal à cela
Nous nous éveillons à la sexualité dès la naissance suivant un certains nombre de stade au travers du contact charnel et de l'affection de la mère, et de la pièce rapportée qu'est le père par la culture familiale, en voie d'élimination par l'atomisation de la famille nucléaire.

Sans entré dans tout un historique, il y a eu une période d'adoration de la femme procréatrice, des statuettes témoignent de son assimilation à la terre nourricière.
Gaïa pour les Grecs.
Marie pour les chrétiens mère du fils de dieu.
Gaïa avec la Grèce antique témoigne au néolithique d'un matriarcat.
Les premières divinités d'un monde qui se sédentarise et créé des villes  sont majoritairement féminines.
Gaïa la grande déesse.
Niti la déesse mère primordiale

Les découvertes archéologiques laissent supposer un culte de la fécondité, de la fertilité et de l'au delà.
Le matriarcat n'est pas attesté formellement, mais il se conforte quand apparaît le dieu de la mer Poséidon qui épouse amphitrite déesse de la mer et l'apparition de Zeus dieux des dieux, qui marque d'un glissement vers le patriarcat.

La Grèce antique exclua la femme la considérant comme une éternelle mineure dont la place complémentaire était la fécondité.
EN Egypte la place de la femme semble être plus égalitaire.
Dans la Rome elle compte pour du beurre, elle et sous l'autorité du père ou de la mère, n'a pas le droit de réunion, de citer et porte des habits qui feraient rougir les musulmans couverte de la tête au pied, alors que Mahomet n'était pas né.
Les juifs assurent la protection de la femme, celui qui bat sa femme est châtié, mais la femme n'a pas le droit d'hériter..
La famille et le socle des juifs ce qui lui a permis de résister à la diaspora.
Chez eux l'on trouve le port du foulard pour distinguer les honnêtes femmes des prostituées.

Le christianisme protège également la femme (dénonce les discriminations entre elles) et réinstalle la femme à sa place PRIMORDIAL, l'équivalente des déesses de la terre nourricière  Gaïa et Niti, en donnant naissance au fil de la création.

Si nous avions une liste de prévalence à établir, ce serai dieu, Jésus Christ, Marie (déesse mère) puis l'hominidé.
Ce qui reverse l'ordre de la création biblique dans la genèse qui est une reprise de celles des Sumeriens avec une erreur.
Marie redonne la place que tenait la femme en Mésopotamie où Ti signifié vie et côté et ou Niti dame était la figure universelle primordiale..
Entre toutes ces représentations l'on peut établir une évolution de la place de la femme d'une situation primordiale à celle d'une tutellisation.

Le  fait même qu'il existe des usages de protection, atteste l'existence de malveillances à son encontre, rapt, prise de guerre etc..

Mais à compté du néolithique, la période qui suis  l'apparition de Zeus représente la suprématie du mâle qui c'est installé par rapport à la déesse mère.
Et nous retrouvons cette relation dans la genèse.
La femme sort d'une partie de l'HOMME.il ne faut pas l'interpréter comme une situation d'INFÉRIORITÉ, (même si l'ignorance aura posé l'interrogation de savoir si elle a une âme,) mais de complément, les deux ne font qu'un.
Dont la fusion est l'enfantement.

Cette situation de dépendance de la femme que l'on ne retrouve pas au paléolithique , laisse supposer, même affirmer que ce sont les conditions  économiques qui ont     prédéterminé la répartition des tâches qui se sont développées au néolithique.
L'homme en aura retiré une suprématie guerrière pour s'approprier ou défendre des territoires économiques lui ouvrant les postes du pouvoir duquel les femmes furent écartées à quelques exceptions.

Il ne faut pas oublier que l'Antiquité ne sait constitué que dans les guerres, pour lesquelles les femmes ne disposaient pas des capacités nécessaires.
La guerre était étroitement lié a l'autonomie économique.
L'économie résultait de la production et la répartissons de la RARETÉ, entraînant la recherche d'une autonomie économique pour les populations, comme aujourd'huiourd'hui.
Nous trouvons donc des esclaves, des prostituées, des voleurs, des assassins, des escrocs, des mariages arrangés tous ces gens en recherche d'une autonomie économique pour exister.

Quels liens devons nous faire avec les connaissances anthropologiques.
C'est que, quelle que soit la civilisation la femme c'est trouvée écartée de certaines activités pour être considéré pour son genre.
Celle qui donnait la vie et qui nécessitait d'être protégé.

Pour autant elle est en resté une Salope, et n'a pas cessé d'exercer son pouvoir de séduction pour trouver un Cochon ou être placé ( mariage économique) pour créer une famille suivant les cultures régionales.

Nous le comprenons la famille n'avait pas pour intention de satisfaire une perversité des hommes  mais d'honorer la femme, (ce qui signifier le devoir de lui faire l'amour).
Avaient-ils une sexualité libérée.
Nous avons de nombreux témoignages part les arts qu'ils ont laissé, mais beaucoup plus de celles des classes sociales aisées, comme de nos jours avec les peaploes

Notre vision des rapports matrimoniaux établis seulement sur la réalité de violences faite aux femmes qui échelonnent leur vie de l'Antiquité à aujourd'hui sont des distorsions sociales.
Elles s'inscrivent dans une existence sociale violente.
Il paraît évident que le souci de protection de la femme c'est éclipsé de génération en génération différemment en fonction des ressources des classes ou des familles pour glisser vers le sexisme et le masochisme.

Aujourd'hui les psychanalystes, psychiatres, les psychologues et nous le voyons bien aussi la sociologie se positionnent sur leurs sources.

Quelles sont les sources de la violence faite au femme certainement pas que les hommes dont des COCHONS.

Depuis l'industrialisation l'homme et la femme réclament l'autonomie économique pour exercer leur liberté d'être.

C'est difficilement, car dans le cadre d'une organisation Capitaliste, qui génère de la violence et ne vise qu'à l'exploitation et au maintien de l'homme dans l'ignorance, la femme y  a occupé une place, suivant la dureté des travaux à effectuer, en plus des tâches lié à la maternité.
Petit à petit l'accès à l'éducation lui a donné la compréhension de sa place en tant être complètement d'égalité supérieur à l'homme, (elle enfante).

Notre développement économique base essentiellement du conflit par la force brutale, que ce soit pour faire la guerre ou produite avait exclu la femme de l'indépendance économique.
Elle a du la trouver aupres des hommes ou se.prostituer.
À aucun moment il y a eu une volonté d'asservissement de la femme par l'homme.
Cette inégalité socioéconomique et la conséquence de la production et de sa distribution.
Il ne s'agit pas par là de dire que les hommes n'ont pas usé de violence et considéré qu'ils leurs étaient superieur.
De cette situation ils s'en sont retirés les raisons d'une infantilisation, d'une soumission, d'une fonction sociale voire de violences.

L'homme ne naît pas avec des gènes de la violences en vers la femme.
Il naît avec la capacité d'agressivité pour exercer la compétition du meilleur géniteur et du statut de dominant envers son genre.
Le développement Culturel a armé son bras et développer une société de promiscuitée concentrationnaire qu'a stabilisé la famille. Créant un espace d'attachement aliénant  reposant sur une inégalité économique source de nombreuses causes de violences,en plus de celles venant des addictions.

Ex hier nous n'avions pas de trotinette. dans les villes. Leurs accroissement causent de fait des incidents.
Nous au lieu de solutionner techniquement cette difficulté  nous allons la régler par la violence du droit, que nous trouvons tous normal, car nous avons été élevé depuis des siècles par mimétisme dans la violence.

Nos ancêtres n'étaient pas des persécuteurs de femmes comme ont tendance à le faire croire celles qui n'ont qu'un poichiche dans la tête.
Il avaient pas notre technologie et les Savoirs qui permettent aux femmes de trouver dans la société une indépendance économique qui les libère de la tutelle et de la prévalence économique dont l'homme retirait sa suprématie.

L'ordre qui a découlé de la répartition de la rareté des productions, a ordonné la concentration humaine et la complexité des interrelations qui ont généré des mesures d'hygiènes, de sociabilité, de compétition, de gestion des cités (politique) qui ont donné les lois religieuses.
Elles s'adressaient à des populations analphabètes et s'imposaient par la force divine indiscutable.
Comme nous le faisons aujourd'hui par le rappel à la morale, faute de pouvoir en expliquer les raisons, quand le cerveau ne dispose pas des informations pour lui la comprendre,

C'est alors la force et la punition qui remplace l'apprentissage.
Nous vivons encore comme cela, dans l'alphabétisation de notre siècle.

Lorsque nous ne donnerons plus la fessée (la prison) aux hominidés nous aurons effectivement évolué.
Cela se met en place par la suppression de la fessée, du châtiment, après il faudra la suprimer pour les hommes.
Ce sera en commençant par dire que la guerre est un crime contre l'humanité.

J'invite les dames qui demandent de balancer leur PORC de commencer par ne pas être des Salopes et de balancer leur POICHICHE.

Je vais conclure sur la réflexion d'un ami.
Alors jailli ma conviction sans complaisance, avec violence mais franchise : l'homme est parfois l'être le plus malfaisant pour lui-même.
La femme est la plus grande ennemie de la femme, revendiquant une évidente égalité, au détriment de ses différences et de sa féminité , mais en se subliment OBJET.
Cette hypocrisie intellectuelle qui tente de se justifier sous un aspect libertaire n'est qu'une façade.

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