Si nous croulons sous les informations
sanitaires, malgré quelques couacs, les services de santé ont
répondu présent et indiqué les mesures nécessaires pour endiguer
et retarder la prolifération du virus.
Le gouvernement qui a engagé des
mesures de confinements a du faire face à une situation inédite et
se glisser dans les mesures mises en place par la chine.
Si nous avons pu constater que les
moyens disponibles de lutte contre ce virus n'étaient pas à la
hauteur de l'épidémie devenue pandémie. Nous pouvons comprendre
que malgré nos déclarations d'intentions de bonne volonté, tel le
principe de précaution sanctifié dans la constitution, la vie sur
terre n'est pas à la botte des politiciens en vaines de voix
électorales.
Nous vivons comme si demain nous
appartenais, parce que nous pouvons comptabiliser nos existences et
que l'impondérable n'était qu'une vue de l'esprit.
Souvent j'écris que nous périrons
sous les armes nucléaires parce que elles existent, alors que nous
pensons tout maîtriser comme nous le faisons avec les maladies.
Ce virus nous remettra peut être du
plomb dans la tête pour remplacer le porte feuille que nous y avons
mis. Que quelques escrocs sans vergogne se remplissent ou des
gouvernements très capitalistes se disputent la rareté des masques.
La vitesse de propagation du virus est
a l'échelle de notre mode de vie où l'on circule relativement
facilement d'un pays à un autre pour des raisons professionnelles
commerciales ou touristiques.
La mondialisation n'est pas à mettre
en cause, ce n'est pas un phénomène nouveau, les hommes ont
toujours parcouru le monde pour diverses raisons et emportés avec
eux leurs cultures, leurs microbes et virus, et rapporté ceux des
autres.
Seul les moyens de communication
actuels sont plus nombreux et plus rapides que d'antan pour propager
un virus.
L'impossibilité de déceler celui qui
en est porteur a conduit au confinement de tous, parmi une population
qui a tardé à prendre la mesure de la gravité de l'épidémie. Et
dans l’application des mesures répressives, la forme prend le
dessus sur le fond qui est d'éviter les rencontre et les
regroupement de citoyens compte tenue du mode de transmission du
virus. Rien de neuf dans l'application des mesures où il n'est pas
demandé aux agents de réfléchir, car ce ne sont pas eux les juges
du fond.
C'est une difficulté de toutes
applications de lois face auxquelles il faut connaître l'esprit du
législateur, nous ne nous départissons jamais de cet esprit
répressif qui a pris le dessus sur l'éducation et la conscience
collective. La punition vient toujours remplacer la Faiblesse de
l'Enseignement collectif pour favoriser l’épanouissement
individuel.
30 ans « d'égologisme »
laisse des traces.
Philosophiquement ce virus va donner
l'occasion de se retourner un peut sur notre mode de vie.
Adieu le principe constitutionnel du
principe de précaution qui en l'espèce est inapplicable par la
suppression du troupeau si une bête est malade. Adieu le risque
zéro. Adieu tous ces concepts stupides qui ne visent qu'à rassurer
l'ignorance au lieu de l'instruire.
Subitement le gouvernement libéral
capitalistique découvre le sens de la solidarité, le sens de
l’intérêt collectif, lui qui ne les concevait qu'ajuster à des
valeurs financières comptables.
Pareil pour les citoyens hypocrites
dans l'âme qui n'avaient pas de mots assez durs, ni d'histoires
drôle pour décrier les services publics et ceux de santés, les
trous financiers pour payer des fainéants.
Et les voilà tous les soirs à huit
heures à leurs fenêtres pour applaudir les services hospitaliers et
autres.
Ce que la peur et l'angoisse ne fait
pas faire.
Nous avons eu ce même réflexe avec
Charlie.
Pourtant ce sont ces mêmes citoyens,
qui lorsque le pouvoir prenait des mesures restrictives pour gérer à
flux tendu les services hospitaliers, sont restés silencieux, malgré
l'appel à l'aide des personnels soignants, malgré les gréves des
urgentistes. Nous avons la mémoire courte.
Ce virus est l'occasion de nous la
rafraîchir, nous ne maîtrisons pas le monde comme nous le croyons
et l'incertitude en est partie intégrante sans laquelle nous serions
dans un déterminisme inhumain.
Ce virus nous montre que toutes nos
prévisions financière d'ajustement pour rentrer dans un cadre
déterministe comme celui de Maastricht va voler en éclat, il va
mettre fin a cette stupidité ou l'on veut ajuster la vie des hommes
à des jeux comptables, du moins je l'espère.
Je l'espère car nous n'en avons pas
fini avec ce virus. De toutes les informations que j'ai lu, il semble
qu'il n'ai pas un caractère saisonnier comme ceux de la grippe. Il
s'étend dans les pays chauds comme l’Afrique ou la Martinique pour
notre pays. Cela nous conduit à imaginer que le confinement ne
pourra pas être LA solution. Les scientifiques sont donc dans
l'obligation de trouver un médicament pour le combattre. L’hypothèse
d'une année est avancé pour y parvenir ce qui impose de penser que
si le confinement ralenti la propagation du virus et l'économie, une
reprise de l'économie avec ses échanges internationaux le
relancerait, à moins de nous couvrir de la tête aux pieds de
protections.
Le gouvernement a fait le choix d'une
information au compte goutte pour ne pas angoisser une population
infantilisé depuis trente ans au biberon du libéralisme financier.
Mais je suppose que si je peux faire cette analyse d'autres plus
compétant que moi ont du la faire depuis longtemps.
Nous n'en avons donc pas fini avec ce
virus et je crains que les USA soit le pays d'une hécatombe s'ils ne
prennent pas d'autres mesures que celles en vigueurs,
particulièrement par rapport à leur système de santé ou l'on peut
se soigner que si l'on en a les moyens. D'où un risque certain lors
d'une reprise économique.
C'est con, les virus ne fond pas de
politique, ils sont comme nous ils cherchent à survivre, mais à
notre détriment, et au prix du moindre effort. C'est pour cela que
ceux d'entre nous qui ont une constitution plus faible sont les plus
atteints.
Il y a un endroit sur terre où malgré
la présence d'eau il n'y a pas de vie, pas de bactérie, pas un seul
virus, c'est le dôme volcanique de Dallol en Éthiopie. C'est un
endroit où il n'y a aucun risque pour la vie, c'est le risque ZERO.
Ceux qui croient tant que cela au risque zéro devraient aller si
installer.
Les
maladies infectieuses sont parties intégrantes de nos vies. Les
infections des voies respiratoires inférieures sont la maladie
transmissible
la plus mortelle, à l’origine de 3 millions de décès dans le
monde en 2016.
• En 2001, 25 600 décès sont attribués à une pathologie
infectieuse. Ils représentent 5 % de la mortalité toutes causes,
(je n'ai pas pu avoir mieux).
Les hommes ont fait fasse à toutes ces
maladies grâce aux savoirs et
aux compétences des scientifiques. Il n'y a bien que des capitaliste
comme Trump pour sans honte vouloir s'enrichir sur le malheur des
hommes et acheter un brevet médical qu'était prête à lui vendre
l'entreprise allemande sans l'intervention de Merkel, il n'y a pas
que les escrocs sur la brèche.
Cela
devrait nous interroger à savoir si le système complet de santé
doit demeurer une entreprise commerciale pour faire du fric.
Le
dernier point d'interrogation, qui reste, est de savoir qui va
financer les mesures économiques prises pour maintenir un revenu aux
citoyens et employeurs tenus au confinement et l'achat des matériels
nécessaires aux soins et à la protection des personnels de santé
et autres intervenants.
En
l'état actuel c'est ouvrir le déficit, sauf personne ne dit qui va
le payer. En l’état actuel ce seront les 21 millions de salariés
et seulement eux, plus 1,8 millions de patrons.
À
événement exceptionnel il faut des mesures exceptionnelles, il nous
faudra considérer cette période, qui va certainement durer jusqu'à
ce que cette infection virale devienne une maladie comme les autres
pour rentrer dans les 5% annuel, comme une période entre parenthèse.
Le
président a parler de guerre, alors qu'il prennent des décisions à
la hauteur de ses dires et ne fasse pas régler l’addition aux
salariés.Il est facile de dire l'état fait ceci ou cela dans la
mesure où ce ne sont pas les élus qui financent mais les 21
millions de salariés.
Nous
verrons si ce président qui c'est trouvé des accents de la France
insoumise dans ses allocutions, les humains d'abords, ira puiser dans
leurs poches ou celle du FMI ou BCE.
Il
va falloir innover.
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