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vendredi 28 juin 2019

Ne soyons plus de bonnes Poires.

Avant de manger la pomme Adan et Ève vivaient dans l'Éden.
Ils n'avaient aucun effort particulier à fournir. Juste dépenser de l'énergie pour se déplacer, cu. NBeillir leur nourriture. L'effort le plus intense, était s'accoupler. Ça fait animal, je vais dire baiser. Çà ça fait pervers vicieux, je  vais dire faisaient l'Amour c'est culturel.
Sauf qu'avec les changements climatiques des différents époques, la nourriture vain à manquer. À 50 km ans les voyages lembinaient. Il leurs en a fallu du temps pour faire 40000km, 800 ans, pour une existence de 30 ans environ cela fait 27 générations.
Ne soyons donc pas trop inquiet plus qui nous faut avec le réchauffement.

La seule difficulté étant que les racistes et les xénophobes au nom du nationalisme et de l'entité ne voudront pas accueillir les autres.
Cela me rappelle 1962 quand il a fallu accueillir les pieds noirs et les harkis, tous les prétextes racistes et fallacieux que j'ai pu entendre, pour les rejeter à la mer, dans une France pays d'accueil.
Je passe certains propos du général.
Mêmes les gens les mieux intentionnés racontaient que l'on ne pouvait accuellir toute la misère du monde.
Entre les deux oreilles des ânes, la carotte à  été mangée, et l'on en mange encore.
Et on sait en plus que ça ne rend pas aimable, vue la haine qui circule sur les raiseaus Sociaux concernant les immigrés.

Il y a au monde 2 milliards de miséreux, c'est je pense une évidence qu'ils ne viennent pas tous en France. Car aujourd'hui ils se déplacent à plus de 50 km ans.

La Hollande vie avec 411,1 hadts au km² et la France 104,23. C'est à dire 4 fois moins. Nous pourrions donc mathématiquement accueillir 4 fois plus que ce que nous sommes, 67 millions, je vous laisse faire l'addition. Nous avons donc de la marge territorialement et économiquement pour faire place.
Ce que nous souhaitons c'est nous débarrasser de tous les étrangers, les immigrés et même les français s'ils sont musulmans, soit environ  5 à 6 millions d'habts.

Je dis cela car lorsque ont les aura viré, les difficultés économiques ne seront pas résolues pour autant, puisque la structure qui les génére n'aura pas changer.

Cette organisation entrepeunariale qui cherche toujours à réduire ses  charges verra disparaître sa main d'oeuvre la moins exigeante. Celle qui accepte souvent être corvéable à merci, quand elle est immigré.
Plus celles que les empmoyeurs des de classes moyennes rejettent à l'embauches au faciès. Ce verrouillent ainsi l'accès à certains emplois quand l'on a des ascendants issus des anciennes colonies. Ce qui leurs limite l'accès à la classe moyenne, en l'absence d'ascenseur social, ce que nous vivons. Il y a environ entre 7et8 millions d'immigrés

La fermeture des frontières et le retour au pays entrainerait un ralentissement immédiat de l'économie, voire une asphyxie instantané de toutes les activités de la classe moyenne et de la classe supérieure.
Nous aurions droit à une inversion de l'ascenseur social. Nous n'aurions même plus à accueillir la misère du monde car nous la serions devenus.
C'EST pour cela que le patronat refuse d'inviter le RN. il ne va quand même BV pas inviter ceux qui vont les penaliser, pour ne dire que cela.
Ce que j'explique là, n'est pas le fruit de mon imagination, mais une analyse des statistiques de l'INSEE et autres que chacun peut consulter.

Mais nous n'y trouvons pas le raisonnement car eux ne donnent que des tendences qui permettent d'établir les conséquences de choix politiques. Elle ne sont pas faite pour la ménagère ou le client des temples de la consommation.

Mais pour les élites du patronat, même s'ils en ont d'autres sources
Plus simplement pour tous les acteurs Sociaux économique de la vie.
Les employeurs, les syndicats, les partis politiques, les institutions nationales et supra nationales.
Tous ceux qu'aujourd'hui notre société vilipende et rejette, les entreprises 41% de confiance, les syndicats 28%, les partis politiques 11%, les banques  BV
29% .
Nous rejetons l'intelligence de 137 ans d'instructions pour la seule raison que celle des classes populaires n'y a pas eu accès en totalité. Je mets au défi quiconque qui n'a pas reçu une formati économique de trouver dans les stats de l'INSEE les données pour en arriver au raisonnement que j'ai développé.
Dans notre monde où la complexité c'est accrue et va s'accroître encore plus vite. Tous ceux qui sont mis socialement à l'écart des Savoirs nécessaires pour faire des choix éclairés, et disposent par le vote de choisir leur destiné, voterons en ignorance,  pour une dictature qui ne pourra que suivre une déconfiture économique dans un soucie de ressement soit en se vendant au capitaux de grands groupes, soit en élisant son tyran tous les cinq ans.
C'est pour cela que l'information la plus écouté est la météo. Au moins notre futur tyran sait que c'est en été qu'il doit faire son coup.

Il n'y a pas qui que ce soit à rendre responsable de cela sauf la structure capitaliste de organisation du travail.
Par nos choix nous traçons notre destinée sous le contrôle de notre inné, qui ne connait pas la Société.
C'est l'homme culturel altruiste, humaniste, qui le lui apprend en lui expliquant qu'il y trouvera son  intérêt personnel.
Par contre nous pouvons remonter aux choix que nous avons fait pour en arriver à ce que je viens de développer.

Aujourd'hui et la suite de nos choix politiques d'après les trente glorieuses et un combat politique qui reprend, que l'on appellera la guerre froide, c'est engagé un arrêt et une inversion de l'ascenseur Social.

L'obsession du patronat et des Sociaux démocrates étaient l'accession politique au pouvoir des communistes.
En 1974 le boulet passa prêt avec le programme commun de la gauche. VGE bénéficia de fonds financiers du patronat sans précédent pour sa campagne.

Une fois élu il "destitua" la banque de France de son pouvoir reçu du peuple d'émettre de la monnaie réserver antérieurement à la monarchie dans l'ancien régime pour financer l'état.

Ce pouvoir fut transfère aux banques de deuxième rang, qui aujourd'hui se garantissent auprès de la BCE qui ne peut pas prêter de la monnaie aux états qui doivent trouver des emprunts sur le marché.
Le tour était joué. Si les Socialistes arrivaient au pouvoir ils n'aurait pas le nerf de la guerre passé entre les mains des patrons.
Nous  savons combien grâce à l'ignorance économique des citoyens cela à fonctionné.
Les nationalisations pour reprendre le pouvoir de création monétaire a échoué.

Le pouvoir monétaire est retourné au privé. Et le PS devenu social démocrate a confirmé cette option en 1992.
Ainsi le patronat, ou si le mot vous paraît trop archaïque, les employeurs (je n'explique pas la nuance, ceux qui l'ignorent me font un commentaire) qui disposaient du pouvoir monétaire depuis 76  l'étendit au niveau européen, obligeant tous les adhérants à l'UE d'abandonner le pouvoir régalien des peuples, pas au nom du capitalisme ce qui était la réalité, mais au nom du marché et du libéralisme.
La conséquence en fut et en est que les citoyens au lieu de condamner  le Capitalisme, ont condamné le libéralisme.

Ceux qui espéraient être élu sur la base des méfaits du capitalisme, n'osaient même plus le dire, de peur de faire fuir les électeurs. L'exemple en est tous les petits partis anti capitalistes NPA, LO, MPPT,  qui font peu de voix ostracisé par l'échec soviétique.
Les autres disaient lutter contre le néo libéralisme.
Bonjour ceux qui ont lu les Adam Simth , Hobbes, Toquevilleet et consorts pour connaître la nuance entre libéralisme et néo libéralisme.

Ce qui se disent anti liberaux de peur de dire anti capitalisme condamnent la liberté de tous d'entreprendre. Ce qui n'est pas acceptable.

Or cela aujourd'hui ne peut se faire que par des prêts auprès de ceux qui detiennent les capitaux et le pouvoir de créer de la monnaie.

Si les projets économiques s'inscrivent dans un retour de capital majoré des intérêtes vers ceux qui les détiennent çà fonctionne.
Il en est de même pour l'état qui est géré comme une entreprise.

L'état vend ses services aux citoyens, pas tous, il effectue un ajustement en fonction de revenus. Ce qui ne paient pas d'impôt direct, mais qui  en travaillant comme salarié paient ceux des employeurs en achetant leurs productions ou services plus la TVA dessus. (Le client)

Ne sentons nous pas l'odeur de poire.

Mais ça ne s'arrête pas là.
Le salarié ne peut racheter son travail sans s'endetter, il réclame à l'état pour ses manques, que l'état ne peut pas lui vendre pour récupérer des recettes par les taxes et impôts.
L'etat doit donc s'endetter.
Pour cela il émet des obligations d'états contre de la monnaie.
Les entreprises, elles émettent des actions contre de la monnaie, et revrtce des dividendes.
L'état lui rend donc des intérêts à ceux qui ont acheter des obligations (il y a un marché spécifique pour cela, le marché obligataire). Ces intérêts il les vend au 24 millions de salariés et au1,8 millions de patrons par l'impôt direct et la TVA.
Le processus est simple, les 24 millions de citoyens qui ont un revenus financent les services de l'état et les intérêts de la dette.
Chacun a pu noter que j'en ai exclu les employeurs par commodité seulement.

Qui sont ceux qui achètent les obligations, les fonds de pensions, les banques, les compagnies d'assurance en Tout genres, les fonds de placement de l'intéressement, d'autres états, quelques rares particuliers, et tous ceux qui ont des fonds disponibles.

Or tous ces fond ce sont les salariés qui les fournissent . EX.
Un salarié s'assure sur la vie pour 100. Tous les mois il verse 10. C'est 10 sont des fonds disponibles.
L'assureur pour les rentabiliser va les prêter  à l'état contre des obligations à 10℅ . L'assureur recevra 0,1 d'intérêt. Le mois suivant il placera 10 de plus etc.
Qui va payer ces intérêts, le salarié, par les impôts et taxes.
Ainsi il donne 10 pour se garantir de 100 et en fait il paie non pas 10, mais 10,1 tous les mois, mais il ne le sais pas. 10 à l'assureur, plus 0,1 qui retourne à l'assureur via les obligations.

Ainsi les services de l'état qu'il n'a pas voulu acheter à leurs prix, par les prélèvements de ce qui lui manquait, parce qu'il ne peut pas racheter son travail, il les paient par l'intermédiaire desfonds disponibles, qu'il alimente tous les mois, les intérêts en plus.
Là on tient la poire.
        

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