C'est qui L'OPINION publique ?
Une société qui glisse lamentablement vers la police de la moralité.
Qui tire les ficelles
1° partie la justice.
Pas la justice dans laquelle il faut savoir distinguer les juges assis, ceux qui seront emmenés à juger dans le cadre du droit strict sur l'ensemble d'un dossier dont le juge de l'instruction aura assemblé des éléments à charges et à décharges.
Nous sommes pollué par tous les feuilletons judiciaires américains qui ont envahi la télé, trop de citoyens en ont oublié que chez nous existe la PRÉSOMPTION D'INNOCENCE, le BÉNÉFICE du DOUTE, et que la CHARGE de la PREUVE incombe à l'accusation.
Le juge de l'instruction à pour fonction d'instruire dans la recherche de la vérité.
Avoir une vision réelle de ce qu'est la VÉRITÉ.
Seul ceux qui sont les protagonistes, ceux qui ont VÉCU les faits connaissent la VÉRITÉ, EUX SEULS et PERSONNE d'autres.
Les autres devront se contenter de ceux qu'on leur RACONTE, et seulement de CELA.
Ce ne sera en rien la VÉRITÉ, car elle aura déjà disparue du RÉEL dans l'instant suivant.
L'écoulement du temps l'aura effacé pour laisser la place à sa suite.
Il ne s'agit pas par là de relativisation, mais bien de la Réalité de notre VÉCU QUOTIDIEN.
NOUS ne vivons que dans la conscience de notre PASSÉ.
Nos émotions le maintienne présent comme si cela existait toujours, au point de causer des traumatismes psycho somatiques.
Pour prendre une analogie, l'événement qui ce produit c'est comme un ÉCLAIR, et nous, nous allons APPRÉCIER et JUGER du BRUIT qu'il a produit.
Parce que c'est cela qui aura le plus de RAISONNANCE émotionnelle.
L'on ne peut pas demander aux acteurs d'un événement d'avoir conscience de cela.
Ils ne le peuvent pas, car ils sont engagés émotionnellement au-delà de la RAISON.
C est une analyse intellectuelle scientifique ment mesurable que nous devrions connaitre, savoir, apprendre, pour ne pas nous laisser instrumentalisé par les FAISEURS D'OPINIONS.
Ceux qui jouent avec nos émotions pour du fric ou le pouvoir.
Toutes AUTRES descriptions des FAITS constituant les évènements survenus pourront être établies, comme RÉELS, car c'est eux qui seront observés objectivements.
Et s'il y a lieu de parler de vérité elle S'ARRÊTE LÀ.
Tout le reste sera que élaboration du déroulement d'un événement qui N'EXISTE PLUS que dans nos SOUVENIRS.
Les événements seront alors entachés d'erreurs inévitables de perceptions, encore plus s'ils sont appréciés tout au long des délais de prescription.
Plus le délaie sera long, plus il faudra ne s'en tenir qu'aux faits réfutables.
Ainsi les risques d'injustices et de dépréciations croissent avec le temps qui s'écoule.
C'est inévitable, seule la preuve indubitable ne se dissous pas dans le temps.
TOUTES NOS APPRÉCIATIONS, OUI !
Personne ne peut échapper à cela.
En conséquence de quoi toutes les émissions de télévisions criminelles sont des reconstitutions, des PIÈCES DE THÉÂTRE de la vie.
Ont elles un effet psychologique sur nous, OUI !
Toutes nous renvoient à nous même et modifient notre perception de la vie ,car tout ce que nous recueillons comme informations restent mémorisées.
L'on peut dire et déjà redire que la JUSTICE ne peut pas être JUSTE.
La justice n'a qu'à juger des transgressions aux lois votées par les citoyens.
Et les lois des citoyens n'ont rien de JUSTE ou d'ÉQUITABLE, elles sont POLITIQUES et répartissent la RARETÉ.
Elles exigent d'être apprécier pour ce qu'elles sont et les intérêts qu'elles poursuivent.
Ce que nous prenons pour de la justice est l'espace APPRÉCIATIONS des juges pour fixer un quantum, des dommages et intérêts une relaxe.
Cette partie de la fonction des juges est la doctrine, la quintessence de la JURISPRUDENCE.
Jusque là il n'y a pas lieu d'incriminer la justice D'INSTRUMENTATION au-delà de ce que le citoyen magistrat assis peut entendre comme informations de l'opinion publique en tant qu' humain vivant dans le réel.
Nous savons au moins que la VÉRITÉ n'existe qu'un instant T que nous sommes incapables de la cerner autrement que filmée au ralenti avec la réserve de la perspective.
Par contre le mensonge existe bel et bien. C'est quand l'on cache ce que l'on devrait dire.
Alors qu'elle MARGE s'offre dans la justice à l'influence du cours de celle ci pour des intérêts politiques.
Le premier personnage.
Et bien nous allons retrouver le juge d'instruction.
La deuxième partie de sa mission où il dispose d'un pouvoir inquisitorial arbitraire.
Sont jugement sera essentiel pour orienter l'affaire, incarcérer, rejeter des auditions, retenir ou non tout document, organiser des perquisitions ou reconstitutions.
Il ne s'agit pas pour moi de jeter le discrédit sur cette mission, mais de signaler le maillon perméable, en dehors de toutes AUTRES malveillances extérieures à lui.
Toutes ses décisions sont motivées et susceptible d'appel.
Nous voyons qu'il y a là, de la place pour exercer une pression politique.
L'intégrité de ces juges est primordiale, ce qui ne les met pas à l'habrit d'erreurs.
Le deuxième personnage.
Le deuxième personnage ,c'est le procureur.
Il y a le procureur général qui représente les citoyens, ou comme l'on dit le ministère public, la société.
Ensuite le Procureur de la république qui lui veille à l'application des lois.
Il peut être saisi pour tout événement juger comme une transgression à la loi et intervenir directement dans le cas d'une infraction dont il a connaissance.
Il apprécie si le dossier de plainte comporte des éléments solides justifiants une poursuite sinon il rend un non lieu.
C'est lui le maillot faible perméable.
Puisque c'est son jugement qui va être déterminants.
Il est important de comprendre ce qui suit
Tout un chacun peut déposer une plainte.
Mais il est tenu de fournir des éléments qui puissent justifier d'une poursuite.
Le procureur de la république poursuivra ou non à la vue des éléments qui lui sont soumis ou classera sans suite.
Dans ce cas un recours existe auprès du procureur général ou du doyen des juges d'instruction.
À aucun moment le procureur de la République n'a à rechercher des éléments de preuves étayant la plainte qui lui a été soumise ou les éléments de preuves constituant l'infraction qu'il a relevé,
Il désigne l'instruction.
Une audition des personnes est effectuée librement en connaissance de ses droits, et sera communiqué au procureur pour étayer sa décision.
Comme pour le juge de l'instruction c'est la porte d'entrée, les éléments constitutifs d'une poursuite laisse à la seule appréciations du procureur de la république.
Contrairement au juge d'instruction qui est désigné par le président du tribunal, le Procureur est sous l'autorité du ministère public.
L'image d'Épinal.
Nous pouvons comprendre la grande erreur des citoyens encore englués dans l'image d'Épinal imbécile d'une justice qui serait au dessus de la république.
Comme une justice Divine, une DIVINITÉ de la république.
Faire confiance aux citoyens qui s'engagent dans la magistrature et essentiel.
Même si nous savons que ce seront les mêmes qui siégeront si nous passions sous une dictature.
Ils apportent leurs concours à solutionner les conflits qui opposent les citoyens dans l'espérance d'un jugement équitable sur les bases des lois qu'ils ont eux même votés est une chose.
Croire qu'elle serait divine est stupidité.
Ce sont les citoyens qui l'on FAITE, ce sont eux qui peuvent la DÉFAIRE..
La justice n'est en RIEN au dessus des citoyens.
Mais ils se doivent de la RESPECTER parce que c'est eux qui l'on élaboré.
C'est eux qui forment les magistrats, c'est eux qui les rémunèrent.
En contre partie, les magistrats n'ont à avoir aucune condescendance envers ceux qu'ils sont amenés à juger, car c'est eux qui comme citoyens les ont installé et rémunéré.
Les citoyens doivent comprendre qu'ils ont créé un ministère de la justice parce qu'eux mêmes, pris par leurs émotions sont incapables d'avoir un jugement éclairé qui ne soit autre chose que de la VENGEANCE.
Ce fut long à dérouler mais je ne pouvais m'éviter de dérouler son fonctionnement, afin d'écrire que notre justice dérivent vers la VENGEANCE et les règlements POLITIQUES.
De plus en plus les justiciables demandent que les peines et les indemnisations compensent la hauteur de leurs souffrances.
Or la justice ne peut rendre un jugement en fonction des émotions manifestées, car elles n'ont plus aucun lien de réalité avec l'événement qui n'existe plus.
Au moment du jugement l'émotion est reconstitué avec toutes celles qui s'y sont greffés dessus depuis l'événement.
Enfin le plus important ce sont nos émotions qui réclament VENGEANCE.
Et c'est pour ne PLUS y donner cours que c'est institué la justice publique.
La justice n'est pas faite pour être au DESSUS des citoyens, mais pour résorber la VENGEANCE humaine.
Arrêter un processus mortifère irrationel.
C'est en cela qu'il faut supprimer les jurés d'Assise, la justice au nom du peuple ne peut pas être une loterie, mais une égalité de traitement.
J'ai essayé de faire un exercice de clairvoyance pour sortir de tous les préjugés qui s'y attachent et que nous véhicules la télé, la presse, et le,net.
Il n'est pas acceptable pour une société que la justice redevienne le règlement de compte intra partis ou l'instrument des puissants.
Notre justice est une justice POLITIQUE.
Elle ne juges pas en sont âme et consciences, mais dans le cadre des lois votées par les citoyens par délégation législative.
Celles ci pour légiférer prend en compte ou non l'émotion des citoyens.
Et je l'ai écrit l'émotion des citoyens, si elle est naturelle n'est pas justice, elle n'est pas rationnelle, elle est VENGEANCE.
Elle ne fait pas la part des choses, elle est révolte, elle est subjective, elle est passion.o
En aucun moment là VENGEANCE si elle est acceptable comme émotion ne peut pas conduire à l'élaboration d'une doctrine, d'un esprit des lois, d'une quintessence de jurisprudence.
2° partie l'opinion. .
Or comment se crée L'OPINION dites publique.
Lorsque des acteurs politiques portent à la connaissance des citoyens, ce qu'ils entendent faire prévaloir comme idée ou point de vue sur un évènement sur la société le monde.
La même chose en ce qui concerne les médias
Ils chassent l'événement pour vendre une information. Idem pour les radios, les JT.
Si possible la plus proche des citoyens pour qu'ils se sentent concernés.
Sur des MILLIARDS d'événements un TRIE SELECTIf.
Depuis des années il n'a échappés à personne que ce trie se porte sur les évènements dramatiques, sécuritaires, "corruptifs" des élites dans une perpétuelle surenchère.
Et en aucune manière c'est le citoyen qui le fait,il digère ce qu'on lui donne, comme un ANIMAL de ZOO.
Ce sont les rédactions en fonction de la ligne éditorialiste de l'organe diffuseur.
En fait ce ne sont finalement que QUELQUES HOMMES qui décident des évènements qu'ils vont rapporter dans leurs organes d'informations.
Les organes de diffusion sur leurs propres choix feront des lignes ouvertes, des débats, des radios trottoirs.
En fait feront rebondir l'événement dans la sphère médiatique. Comme un romancier choisit un mot pour faire rebondir son histoire.
Ils capteront toutes les réflexions car chacun se sentira obligé d'avoir une opinion même il n'en pense rien.
Car l'événement choisit circule à longueur de journée dans tous les médias.
Un lavage de cerveau. Souvenons nous quand à l'école pour retenir un mot ont le copier 100 fois.
Ensuite ce seront les instituts de sondages qui recueilleront ce qu'en pensent les CITOYENS, pour décider qu'il s'agit là de l'opinion publique sur la base de l'interrogation d'un échantillon de quelques milliers de personnes.
Le tour et joué l'opinion publique est installé.
L'opinion publique n'a pas de réalité scientifique mesurable.
L'opinion des citoyens se fait sur une désinformation permanente qui tourne en rond dans tous les médias.
Bon gré malgré elle enferme l'opinion de chaque citoyens, guide l'opinion des citoyens vers desévénements qu'ils ont pas choisi, mais qui investiront leur pensée.
Durant tout le quinquennat de Sarkozy le pouvoir à utilisé la méthode pour faire voter des lois de plus en plus répressives et liberticide.
Au bout de 100 fois la loi était acquise et malheur à qui s'y serait opposé.
Un évènement sélectionner, gonflé par l'effet loupe médiatique et déroulé un certain temps.
Ensuite mesuré par les sondeurs comme étant l'opinion publique des citoyens.
En fait quand l'on analyse qui fait l'opinion l'on se rend compte que ce sont tout les commentateurs, les acteurs politiques, et surtout les politologues ou spécialistes de ceux ci ou cela qui commentent sans relâche au jour le jour les variations, qui ne sont en fait que manipulation des citoyens.
Ce ne sont plus les citoyens qui font de la politique, mais ceux qui sont chargés d'en informer le peuple.
Il y a une raison à cela.
Les citoyens en désertant les partis les syndicats, les associations tous les lieux où ils pouvaient débattre de leurs opinions, de leurs divisions politiques ont laissé la place libre.
Le débat est devenu un ramassis de coups tordus à qui mieux mieux peut saisir la justice pour dénoncer les casseroles des uns et des autres.
Repris par tous c'est FAISEURS d'opinions qui construisent du théâtre émotionnel fait de supputations, de conditionnel qui deviennent vérité par la rumeur des animosités que les sondeurs transforment en OPINION PUBLIQUE.
On peut dire clairement que l'opinion publique est de la "merde".
Ce n'est pas l'opinion des citoyens, les Gilets jaunes et l'abstention en ont fait la démonstration.
Au terme de ces années de désinformation, nous avons la présomption d'innocence qui est devenue PRESOMPTION de CULPABILITÉ , et les mis en cause prié de venir s'expliquer devant l'opinion publique.
Les nouveaux jurés sont les FAISEURS D'OPINIONS.
Et si la justice officielle ne rend pas un jugement conforme à la rumeur publique, ou à l'opinion publique elle est accusé de complaisance.
Pire les hommes au pouvoir nous l'avons vu avec Sarkozy l, Hollande et tout dernièrement Macron votent des lois conforme à l'opinion publique qui n'est pas celles des citoyens, mais de Palov.
Ce processus de manipulation constante des citoyens n'est pas sans conséquence. Nous les avons vu se défier des élites. Réclamer transparence inquisitoriale digne des dictatures.
Mettre tout le monde en garde à vue comme sous Franco et le régime des colonels en Grèce que nous accusions d'être des dictatures. L
Maintenant nous faisons la même chose, et les FAISEURS D'OPINIONS expliquent que c'est la démocratie.
Tellement la dite opinion a attesté que l'insécurité c'est accrue, qu'une fois copié 100 fois, elle ne regarde même plus quand le taux de criminalité diminue.
Également échappe au regard des citoyens par l'égarement émotionnel qu'ils 0moréintroduisent le désir de VENGEANCE.
Le plus PERNITIEUX sont ces droits que s'octroie l'opinion de JUGER en place PUBLIQUE sans aucune GARANTIE d'IMPARTIALITÉ , reprenant sans aucun recul ni moyen de vérification ce qui se raconte dans les médias, se fabriquant des peurs qui n'existent que dans l'excitation de leur mécanisme empirique de protection innée.
Cette opinion publique qui n'existe pas réintroduit des pratiques moyenâgeuses en brûlant en place publique des citoyens sur des BÛCHERS alimentés de FAGOTS de MOTS.
Aux seuls mots de Viol, Pédophile, Violence, aux femmes, Racisme, Mis en exmen, Immigration, Politiciens, Élites L'OPINION publique se lève comme un seul homme dans toutes les rédactions, agite ses citoyens choisis pour la cause, et le peuple comme des moutons bêle dans les chaumières.
Avec des mots faits de rumeurs de racontars de grossièretés qu'ils déversent sur eux et les clouent au PILORI s'il n'ont pas péri au bûcher.
C'est une véritable honte pour un pays qui s'enorgueillit d'avoir été la lumière du monde.
Et je ne vois aucune espérance poindre quelque part.
Ce n'est pas les élèves qui ont besoin d'être noté au PISA, mais l es citoyens, nous verrions peut être la RELATION.