mercredi 22 mai 2019

DIEU et dieu.

Je vais parler de Dieu,  mais celui des Athées.
Et oui ils ont un dieu. C'est con à dire mais il y n'a qu'eux à ne pas le savoir. Personnellement je ne suis pas croyant, mais je ne suis pas con au point de croire que je ne suis pas croyant. Bien sûr que je crois en Dieu comme tout le monde.

Comment peut-on penser pouvoir vivre sans Dieu.

 Ce n'est vraiment pas sérieux. Ce n'est pas sérieux au points que Freud a  créé pour  ceux qui ne s'y retrouver pas entre tous les Dieux, le Totem, avec son talmud, ses évangiles, son coran,  (aller je l'ajoute, Bouddha était aussi fils de Dieu non), son bouddhisme, les Tabous.
Et voilà c'était fait le Dieu de l'être, le Dieu de l'âme.
Putain de Dieu s'il était né au temps de l'ancienne Grèce, au temps de Parménide, l'on aurait gagné des siècles. Nous aurions eu l'explosion des bombes atomiques plutôt, alors que là nous les attendons. Nous aurions redémarré une civilisation avec des hommes nouveaux, qui en regardant les vestivjges d'une centrale nucléaire diraient : " C'est là qu'ils adoraient le Dieu Électricité". Que voulez-vous, il nous faut attendre.

Les hommes croient avoir le libre arbitre, mais ce ne sont pas eux qui décident.

Ils font seulement un choix parmi ceux que mettent en évidences l'ensemble des évènements survenus dans l'environnement, auxquels ils contribuent comme toutes choses.
Nous savons comment cela se passe. Nous avons pour de multiples raisons, envies d'agresser un pays, nous attendons de pouvoir juger une de ses actions comme agressive pour pouvoir lui claquer la gueule.
Il va donc nous falloir attendre d'élire ce frapadingue, pour faire péter la bombe. Les allemands ont attendu 300 ans pour accoucher d'un petit moustachu.
 Nous nous avons des moyens modernes d'en accoucher d'un plus rapidement. À l'aide de l'insémination artificielle, si naturellement on en trouve pas un au cas où avec l'IVG notre élu serait partie au WC.

Un Paradoxe.

Le paradoxe c'est que ce sont des religieux qui ont inventé ces armes et que ce sont des Athées qui risquent de utiliser. Alors messieurs les Athées soyez convaincus que vous étés des croyants.
Comme moi, vous êtes attachés aux droits de l'homme, ce ne sont pas les Athées qui l'on écrite, mais des croyants. Ceux qui croyaient en l'être suprême

Allons faut être honnête, vous leurs faites la gueule depuis 1905 pour leur taper leurs biens.

Faut être sérieux nous savons qu'avant le big bang,
il y a Dieu.

Si c'est le nom qui nous gêne appellons le l'indéfinissable. Car en fait c'est bien de cela qu'il s'agit. Tous sont d'accord la dessus, l'on ne peut ni le nommer, ni le r.eprésenter. Il faut attendre qu'il se manifeste.
Le premier fut Abraham, ensuite Moïse, puis, Jésus et enfin Mahomet, Bouddha lui s'en est inspiré. Par contre les astrophysiciens eux l'ont trouvé, le big bang, l'origine de la création.
Superbe, alors les hommes en laboratoire ont recréé le big bang. Merveilleux ils confirmaient ainsi que l'homme était à l'image de Dieu.
Dieu crée le big bang et l'homme aussi.
L'homme est donc un dieu, et comme les Athées croient en l'homme conclusion ?

C'est bien ce que je disais les Athées sont croyants.

Mon dieu si un Athées me lit il va en tomber malade.
Une fois de plus l'on a reculé Dieu, au-delà du big bang que l'on ne sait où il se trouve. Voyageur n'y est pas encore arrivé, et on sait que l'homme n'y est pas, car dans le labo aucun n'est sortie de la cuillère.
Cela va devenir difficile d'imaginer que Dieu à fait l'homme à son image, puis cet homme a dit que l'on ne pouvait pas le représente. Vous imaginez des hommes sans visage. Pourtant de son temps ,  à son époque les mirroirs existaient, et un homme en se voyant ne pouvait ignorait comment était dieu.
J'ai réfléchi à la question et je reste convaincu que c'est, parce que chacun aurait dit que c'est à lui que Dieu ressemblait.
Sans déconner quand je vois la tronche de mon beau frère si Dieu devait lui ressembler, plus con que lui tu meurs. Tous compte fait cela ce pourrait bien être ça, vu le nombre de conneries qui nous font nourrir. Et puis un jour en boîte, il me dit : tu vois la femme là bas et bien j'ai la côte.
Je ne crois pas qu'il n'y ait pas de Dieu et qu'il puisse y avoir des hommes qui ne croient pas. Mais voilà au lieu de ressembler à Dieu ils ressemblent à mon beau frère. Bon j'ai exagéré il n'est pas laid du tout, mais il est facho et raciste. C'est ce qui le rend laid et à force de se taper ma côté il l'a fêlée.

Comment nous en sortir.

Ou plutôt comment m'en sortir pour redevenir sérieux et rester sur le sujet de la croyance. Des que nous ouvrons les yeux nous croyons. Elle nous attache à tout, elle nous relie au Tout. La croyance est un attracteur, nous naissons avec.
Ceux qui veulent l'emprisonner dans des représentations, y compris dans celle des l'hommes, se trompent.
Espérer en l'humain pour qu'il ne cherche pas ailleurs les réponses qu'ils détient et déjà en soit un saut de l'ange si je puis dire.
L'homme est inspiré par ce qui le dépasse et dont il en a conscience en étant UN au milieu de Tout.
Le regarder comme un Toutun, c'est déjà rétablir cette représentation dont je me moquais avec mon beauf.
Ce lien que je viens d'établir entre une vision séculaire ou Dieu fait l'homme à son image, celle avec le Tout dans lequel se déploie l'homme, montre combien il est difficile d'échapper à notre propre structure innée qui nous commande de croire en quelque chose.
 Nous ne nous querrellons donc pas pour le fond, et est dramatique de voir que nous en sommes encore là.

La vie nous conduit toujours à honorer ce dont l'on perçoit être dépendants.

Pour L'enfant qui naît dieu c'est la première personne qu'il voit et le nourrit. Si c'est un canard il fera coin coin en bougeant du cul. Dieu c'est donc sa mère.
En grandissant il prendra conscience de tout ce à quoi il doit d'exister. Et s'il ne interroge pas c'est que ce n'est pas un humain. Or jusqu'à présent les Athées sont des humains. Cela me ferai plaisir qu'ils grandissent et imagine que Tu pourrasen signifie que l'on ne trouve pas ce que on voudrait y voir.
Donc il n'y a pas rien.

Peut importe la représentation, l'important est l'inspiration, ce Dieu des profondeurs de l'univers qui a précédé le big bang ou celui qui nous inspire au quotidien en nous bombardant de perceptions qui nous arrivent du tout, de l'environnementcn multidimensionnel auquel nous appartenons.
Que nous reste t il alors si ce ne sont les Tabous de tous ces dieux.
Et c'est pour eux que nous nous affrontons, pas pour les dieux pas pour les Toutuns qui s'interrogent.
Alors depuis Mahomet? Il y en a eu disant parler au nom de dieu, mais ils n'ont pas prospère. Certains ont fini en camisoles. Dire aujourd'hui parler avec dieu çà craint.

Aujourd'hui c'est plus sérieux de mathématiser l'existence, notre nouveau dieu est devenu matheux.
Pas ceux qui cherchent la particule, les informations qui circulent dans l'univers, ceux là deviennent tous croyants, ils croient en dieu. Comment ne pas s'émerveiller devant notre faculté de raisonner, et avec de travailler sur d'indefinissables informtions que l'on ne voient pas.
Essayons de faire entrer dans notre cerveau, que le désir de démontrer ou non son existence a inspiré ceux qui ont recherché notre origine et l'on iimaginer dans une explosion initiale, le big bang.
il y a donc ce language matheux fait pour les initiés, pour ceux qui vont à la conquête de l'incertitude, vers ce big bang ou ces trous noirs, ces véritables éponges cosmologiques.

Et puis il y a l'usage que nous en faisons pour mathématiser l'humain.
Les philosophes Grecs voulais que les hommes puissent disposer de plus de raison. Tous nous pensons cela et disposer des moyens de mesures y contribuent. Lentement les maths y ont contribué, particulièrement pour mesure l'activité économique.  Malheureusement  notre instinctive recherche du meilleur rapport des choses pour les obtennir par le moindre effort ou le moindre coût, nous a emporté vers une rationalisation de l'existence ou les athées ont trouvé là, la nécessaire certitude dont nous avons tous besoins pour croire.

Or croire dans la certitude des maths, de la raison qu'ils confirment par des mesures doit être mise au service de l'humain et non l'y soumettre, car ils ne peuvent être fiable pour définir les émotions humaines
Bien que dans le sport certains arrivent à se dépenser à 200%. Moi, je ne l'elirais jamais et encore moins en faire un dieu. Pourtant ce dieu entre de plus en plus dans le langage, signifiant qu'il faut faire un effort au delà de ce qui est permis par sa nature humaine.

Si ces 200%ne relèvent pas du miracle, c'est que je ne suis pas croyants. Mais nous avons fait mieux comme miracle. Nous avons fait de l'humain,  grâce au dieu "de la raison de la mesure des maths", une mine de monnaie. Et les mineurs ce sont les DRH.

J'ai vécu cette transition en 1973/4. Je n'avais alors pas compris que le dieu monnaie fairait des disciples pour aller pêcher des hommes à la maille.

En1976 déjà je discutais qu'à 40 ans l'humain serait trop vieux pour être productif. Et ce fut le cas,  la technologienologie et la robotique l'on remplacer car il était bien trop lent pour être productif.

L'humain n'est pas une ressources. On exploite des ressources minières, pétrolières, vivrières et autres, mais l'on travaille entre humains, il est pas une machine que l'on mesure au chronomètre.

Écouter voir une société, tout un monde qui s'etalone en monnaie, en faisant de la rationalité un évangile aurait certainement désespère les philosophes qui dans la raison en espère un apaisement des passions de esprit.

Finalement devant obligatoirement croire pour vivre, c'est le choix des évangélistes que nous faisons et en ce sens les économistes du capitalisme ne sont pas particulièrement bien inspirés pour dispenser le bonheur sur terre,toujours pas mieux que les interprètes des dieux précédants.

Si nous croyons tous, certains dans l'abandon à leur Dieu trouvent le réconfort pour vivre leur existence.
C'est comme le nouveau né qui se livre à l'amour de sa mère. Si dieu est cela il y a peu de chance de tomber sur un mauvais, et l'on peut alors s'interroger pourquoi l'on ne sait pas rendre l'amour quelle nous donne. Si pour moi dieu EST, ni bon ni mauvais, l'HOMME doit se démerder avec les aptitudes miraculeuses dont il dispose grâce à lui quelqu'en soit le nom, sauf le capitalisme qui en est un faux.
Une idole de la raison.

Dites 33 et ajoutait 1.

Autant de candidatures est exemplaire, je dirais même, signe de bonne santé démocratique. Quand je dis cela, c'est sur que je ne le pense pas.

Certainement que je n'échappe pas au syndrome générale d'être un con et borné. Con je ne sais pas, ce sont les autres qui me dirons si je leurs ressemble, mais borné je le sais. 51 ans que je m'échine à lutter contre l'exploitation de l'homme par l'homme et que je ne vois rien venir. Je mens en disant cela. Une tentative de mai 81 au départ de P. Mauroy en 83. Les citoyens ont eu peurs et ont enterré le Socialisme pour libérer la Social Démocratie qui les a enterré eux.
C'est beau la vie elle réserve toujours de ces surprises.
Alors j'espère que cette élection sans grand en jeux entertera à son tour ces gestionnaires du capitalisme de gauche que sont le PS, les Hanon et tous ceux du même bord.
Deux exceptions cependant,la France insoumise et le parti des travailleurs qui depuis le temps n'ont jamais été capable d'expliquer aux citoyens comment ils se faisaient exploiter, alors que c'est d'une simplicité  enfantine.

L'entreprise loue notre force de travail (salariés) 100€. Quand le salarié devient client, l'entreprise lui vend son travail avec sa marge 50€. Pour vivre de son travail le salarié doit l'acheter 150€ . Il empruntera 50€.
Le peuple, c'est à dire nous, avons voté des lois pour dire : seuls les riches peuvent vous prêter 50€ sur le marché financier.
 Comme ils ne nous les prêtent pas gratuitement nous les remboursons avec un intérêt en plus,10€.
 Nous achetons notre travail 160€.

 En France il y a 22 millions de travailleurs qui rachettent leurs travails plus cher. 2 millions indépendants artisans, libéraux, auto entrepreneurs, qui rachettent leur travail au bon tarif,  4 millions d'employeurs à qui les 22 millions gagnent leur pouvoir d'achat, bien sûr s'ils ne travaillent pas, car alors se pose seulement la différence d'écart des revenus.

Pouvons nous comprendre cela oui.

 Mais je ni crois pas du tout si je me fie aux affiches des professions de foi.

Si un candidat nous expliquait cela alors nous voterions réellement pour le changement, mais je mais ma main à couper qu'ils auraient peur que le marché financier où ils mettent leurs micro épargnes, n'en fasse pas des milliardaires.
À quoi ça tient la peur, un livret A, un PEL, une Assurance vie, tous ces sous que l'on nous prêtent et qui sont à nous.

Sinon le parti qui sort un peu de la social démocratie, c'est La France insoumise.
 Ce est pas idéal comme programme, ça fait vieux contestataires dans l'opposition permanente, dans la résistance perpétuelle, comme moi.
  Il faut aller lire au delà de l'inquiétude que soulève son sigle, dans un monde qui par soucis de sécurité à peur de tout et réclame la dictature.

 Je déconne, non je ne déconne pas.

 Si nous voulons savoir si j'ai raison allons donc sur le net, tapons CVIPOF, et baromètre politique des francais.
 Nous sommes suivis statistiquement depuis 2006, avec les mêmes questions qui s'ajustent au évènements et établissement de puis lors l'évolution de ce que nous pensons, bien sûr avec le décalage d'erreurs qui peut exister du au panel.

Nous y trouvons ce glissement de la démocratie vers la dictature par les choix dont les citoyens font leurs priorités et suivent ce en quoi ils croient. Bonne lecture pour ceux qui feront cet effort.

Alors est ce que cette prise d'initiative qu'il faut saluer, qui repose sur la volonté de voir changer la vie, d'être pris en considération, de défendre ses opinions et un signe que la démocratie se porte bien.

Je dirais, Non, au risque de surprendre.

Les événements ne surgissent pas spontanément. Ce sont des actions au quotidien qui s'agglutinent les unes aux autres, qui se complètent ou se repoussent pour que surgissent les associations déterminantes.
Métaphoriquement c'est comme un grain de sable, l'on passe dessus jusqu'à ce qu'il fasse tas avec d'autres en fonction d'un lieu où il aura pu s'agréger, se regrouper, s'associer, se reunir pour devenir un tas. Alors là on ne peut plus l'éviter. Ou ont le balaiera pour le disperser ou s'y s'accumuleront d'autres grains, jusqu'à former une dune sur laquelle nous devrons vivre.
Certes à force de vivre dessus des grains s'echapperont et iront s'entasser ailleurs pour recommencer le processus différemment.

33 + 1 c'est cela, mais est ce qu'ils proposent de bâtir une nouvelle dune sur laquelle il fasse bon vivre. En parcourant le Cevipof nous pouvons nous en faire une idée autres que celles des fack news des racontars de bars, des teews farcis à la haine des autres.
Pour moi une chose est certaine sauf un vote pour la France insoumise ou le parti des travailleurs, nous ne changerons pas la dune sur laquelle nous vivons car l'on  balaie les nouveaux tas.
Pour rester dans la métaphore, le monde où repose la dune est libéral et de fait trop vaste pour ne pas nous inquiéter. L'inquiétude n'est donc pas anormale, la méfiance non plus, la précaution encore moins.

Alors d'où vient ce danger permanent que l'on ressent ou vivons dramatique.
Des religions non elles relient les hommes mêmes s'ils s'opposent dessus,  des immigrants non plus, c'est une erreur anthropologique de l'essaimage des humains, des homosexuels non plus,  c'est ignorer l'imperfection de la nature, des patriotes non, c'est etre fier du lieu où l'on nait, l'identité encore moins, elle est même essentielles, c'est la couleur d'une histoire culturelle adaptative à géométrie variable.
Tous ces sujets sont ceux sur lesquels nous nous étripons par inculture, car le savoir pour comprendre si ce n'est partager existe. Pourquoi je devrais le comprendre et pas les autres.

Notre inquiétude vient d'une horde sauvage qui parcours le monde, qui plus que les Uns ravage le sol et le sous sol pour l'entasser en une dune de monnaie aux fins d'une caste  d'hommes immoraux ascociaux qui se cachent derrière la rationalisation comptable et ne regardent les autres que comme un investissement, une ressource et leurs consommations comme un nécessaire collatéral à leurs finalités.
Cela porte un nom qui commence par C.

L'avenir sera d'être remplacer au travail, ce n'est pas du mythe, ni de la divination, déjà des hommes y réfléchissent. Mais pas pour nous faire un avenir radieux, mais pour ne pas perdre le bénéfice qu'ils retirent du capitalisme. Comment ils vont pouvoir continuer à exploiter des hommes.



.


.

 



La Valeur Travail est ce que l'on Mange !

Je vais te raconter une histoire. Un homme a hérité d'un terrain il y a une grosse pierre qu'il soupçonne de cacher ce qu'il convoite. Il tente de la soulever sans succès.
Il ne peut lever que 80 kg et la pierre semble en faire 100. Il n'a pas d'amis à qui demander une aide bienveillante, il décide de louer l'aide d'un tiers, chose faite.
Il lui dit qu'il loue son aide, sa force de travail de 20 kg. Sur quelle base  quelle mesure ils vont prendre pour estimer le travail d'aide. S'entendre tout de suite ou attendre de voir le résultat sous la pierre.

Immédiate ils connaissaient le travail à accomplir 20kg en supplément, mais pas le temps, ni l'énergie humaine nécessaire.
L'on va donc suggérer. À bon, la suggestion est une valeur travail ?
Y a t il égalité entre un kilo de plumes et de plomb?

 De quoi à besoin celui qui aide, d'une voiture.
 Si l'héritier accepte cela fait une voiture contre la levée de 20 kg. Est-ce égal ?
 Certainement s'ils sont d'accord et que l'héritier espère que sous sa pierre il en retirera plus de la valeur d'une voiture. C'est à dire qu'il aura un gain grâce au travail fournit par son aide supérieur à la voiture.
 Mais rien n'est moins sûr, c'est un parie, un risque à prendre.
Mais l'héritier n'a pas de voiture à donner dans l'immédiat. il suggère à l'aide de reconnaître par écrit qu'il lui doit une voiture. Ils tombent d'accord chacun signe le papier. il viennent entre eux de créer de la monnaie d'échange.
L'aide voulait une voiture et il n'a qu'un bout de papier de la valeur d'une voiture, mais ni l'un ni l'autre n'a de voiture.
Il faudra que l'héritier trouve un marchand de voiture pour l'échanger contre cevqu'il y a sous la pierre.
Mais un accord et un accord.
Tous deux se mettent à lever la pierre.
Deux possibilités,la pierre est soulever en 2 minutes.
2 minutes pour une voiture c'est une affaire.
S'ils y passent l'année c'est moins évident d'autant qu'il n'y a pas de voiture et qu'avec son papier il ne peut pas rouler dessus.
Finalement en 1 h la pierre et levé, surprise il y a rien dessous. L'un et l'autre don déçu, particulièrement l'héritier qui a du s'engager à donner une voiture pour 1h d'effort.
L'on connait donc maintenant la valeur de l'heure, une voiture.

Mais pas toujours l'énergie dépensé par l'un et l'autre, c'est à dire la réalité du travail accompli (sans aller plus loin ), la quantité de nourriture dont tous deux auront besoins pour compenser l'effort qu'ils ont fait, seule cela est la Réalité avec le temps passé.
Un calcul rapide.
La levé de la pierre coûte 2h pour 100kg l'héritier et l'aide,, mais 80 calories pour l'héritier et 20 calories pour l'aidant total 100 calories.
W
Toutes ces données sont imaginatives.
Le temps c'est la durée entre deux événements.
Le kg est celui d'un litre d'eau.
La calorie est égale à 4,1855 joule pour élever la température de 1 degré.
La voiture est un choix basé sur le désir de posséder un bien utile.
Cela aurait pu être des lentilles si l'aidant avait eu ce désir. C'est devenu une référence pour 1 h.
Il serait possible alors de faire un billet qui aurait la valeur de la reconnaissance de dette et de sous unités que garantirait ce que nous voulons pourvu que tous soient d'accord.
Pourvu que cela repose sur la confiance reciproque dans les accords d'échanges sur une valeur referencebpour un temps donne. Quitte qu'un tiers par désir soit prêt à accerir un objet équivalant à 1 h au prix de dix.
Jh
Pour l'héritier c'est un débit, pour l'aidant un crédit.

Mais en ce moment de mon histoire aucun de deux n'a rien pour un travail qui a été accompli. Rien sous la pierre pour avoir une voiture à donner contre une heure de travail pour soulever 20kg qui ont demandé  20 calories soit  81,738 joules.
Pour remplacer ces joules l'aide devra se nourrir.
Les 20 calories seront égales à la nourriture qui les lui auront fourni. C'est cela le réel coût du travail ce que l'on mange.

L'on comprend que c'est le désir de leurs espérances en l'utilité qui a déterminer un accord et non une valeur quelconque. Chacun a conclu sur une espérance une action collective pour un résultat qui ne pouvait pas être atteint individuellement.

La même histoire avec de la monnaie.

Comment vont ils fixer le coût de l'aide. De la même manière, en estimant ce qu'il désire suggestivement car ils ne connaissent que le poids de la pierre.
L'héritier  à toujours la prise de risque dont il espère que cela couvrira les frais, la Charge que représente l'aide. Face à cette situation l'héritier à intérêt à avoir l'aide gratuitement (la servitude, l'esclavage).
S'il n'y a rien sous la pierre il n'aura perdu que l'effort de son travail dont il ne sait pas combien il va durer. L'aidant et dans une situation aussi incertain, son intérêt est de vouloir le maximum car lui non plus ne sais pas combien de temps ce travail va durée et l'effort qu'il va devoir accomplir. Tout lui est donc permis du centime au gain d'une vie.
C'est donc au regard du travail à accomplir. Avec ces inconnus qu'ils vont devoir d'estimer le prix de l'aide.
Ils conviennent de 200 € la monnaie existe, c'est qu'il existe un système qui garantie sa valeur, ce qui n'était pas le cas avec la voiture.
Au bout d'une heure la pierre est soulevé et dessous il y a 1000 €.
L'affaire est faite, l'héritier à gagner 800 €, chacun a bénéficié par le plus grand des hasards de ma plume d'un partage équitable par rapport à l'effort et le temps qu'ils connaissent maintenant.

La même situation avec un choix d'aide.
L'héritier peu fixer un montant qu'il propose aux aidants. S'ils sont égoïstes et individualistes c'est le moins disant qui l'emportera, c'est à dire celui dont la situation et la plus critique.
Dans le cas où les aidants se solidarisent en se regroupant (syndicats)ils peuvent décider d'une estimation de la valeur du travail à faire avec l'héritier et se mettre d'accord sur un montant. Il tombent d'accord pour 20 €. Aucun aidant n'acceptera le travail pour moins (solidarité) et l'héritier choisira son aidant suivant le travail à accomplir, en l'espèce le plus musclé (sélection professionelle).
La pierre levé au bout d'une heure les 1000€ sont là. Bonne affaire pour l'héritier qui sur l'estimation d'un travail à accomplir où n'était connu que le poids il gagne 980€.
C'est le jeu du marché avec ses inconnus et ses estimations rien de bien scientifique.
Ce cas de figure est il équitable.
L'héritier est propriétaire et pour espérer faire un gain et satisfaire ses désirs il doit soulever une pierre que seul il ne peut pas. Il ne peut pas réaliser le travail nécessaire pour satisfaire ce qu'il désire.
Il aura donc à sa portée une richesse qu'il ne peut obtenir tout seul, il est donc contraint de se faire aider. Il ne crée pas un emploi pour faire plaisir  l'aidant, mais bien dans son intérêt.
L'aidant qui cherchait un revenu trouve là l'occasion d'en avoir un. Ainsi leurs situations est complémentaire et chacun y trouve un intérêt.
Pourtant rien ne dit qu'elle est équitable tant que l'aidant ne recevra pas la valeur de son travail..

Comment y parvenir dans le cas d'espèce le résultat est inconnu. Disons qu'ils tombent accord sur 20€.
Une heure suffit à trouver les 1000€.
L'héritier a gagné 980€.
L'engagement est respecté mais ce n'est pas équitable par rapport au resultat du travail.
Pour être équitable il faut que chacun reçoive en rapport à son travail.
L'aidant devra donc recevoir pour 20kg puisqu'il a été employé pour cela.
Il recevra 200€ moins les 20€ déjà perçu au titre de l'engagement soit180€.'!

Supposons que sous la pierre il n'y ai que 20€.
Il semblerait équitable que l'aidant restitue 18€ pour que le partage soit équitable, mais le contrat ne serait pas respecté. L'aidant conserve donc ses 20€.
Est ce équitable ?
L'on peut le considérer comme tel ou non, car il n'y a pas égalité entre l'aidant et l'héritier. L'aidant ne possède rien, l'héritier de ce qu'il a reçu de par l'histoire et on ne peut le lui reprocher.
Seule la conception des rapports économiques sur la vision que l'on a de l'humain au travail  portera le choix. À savoir si ont le regarde comme un partenaire ou un outil un OBJET comptable.






.



,








Que se passe-t-il chez les français.

Que se passe-t-il chez les français. La crise de confiance des citoyens envers ses représentants politiques s'aggrave. Nous avio...

Comment un flux d'énergie qui circule sans but dans l'univers peut il donner la vie.