samedi 29 juin 2019

Créer un capital public Écomonétaire.

Depuis 1976 il n'y a plus de capital public.
C'est à dire un capital dont tous les citoyens seraient détenteurs pour l'utiliser aux services et besoins collectif, pour corriger les injustices qui naissent du capital privé.
En particulier de pouvoir acheter son travail avec le salaire que plui a versé le capital pour un travail, sans devoir s'endetter auprès de ceux qui détiennent le capital.
Qui par la vente du travail exécuter par le salarié, récupère les salaires versés, plus les intérêts des emprunts que le Salarié doit faire pour acheter son travail en biens et services produits.

L'escroquerie sociale monumentale et universelle d'hommes préhistoriques qui non pas encore atteint l'âge adulte de l'hominisation.
Ne sachant pas encore séparer, s'écarter dans leur activité, de celle qui permet de créer un coeur artificiel pour vivre de celle qui construit des armes pour détruire ces coeurs.

Un gros travail éducatif des sciences humaines restent à accomplir pour socialisé la cupidité et la vanite pour vivre et non mourir, là où la religion a échoué et les Sociaux démocrate aussi.
Mettre l'Humain d'abord n'est pas un concept qui peut s'accommoder de l'exploitation de l'homme par l'homme. C'est à dire du capitalisme. Il faut appeler les chose par leur nom.
Si l'écologie repose sur une empathie humaine pour le vivant elle n'a rien à foutre avec le capitalisme qui le tue.
Et que l'on vienne pas me raconter que c'est grâce à lui que l'on fait des coeurs artificiels.
Nous plaidons pour le respect des femmes afin qu' elles ne soient pas regardé comme un objet ménagé où sexuel et à coté de ce progrès civilisationnel vers l'hominisation (malgré ses bugs) nous acceptons économiquement que l'homme au travail ne soit qu'un objet productif que l'on qualifie de CHARGE.
Nous sommes sur une pente qui nous entraîne vers deux définitions de l'espèce humaine, soit une espèce criminelle, soit une Charge, l'Humain est une charge.
Il serait grand temps de nous ressaisir de faire entrer dans notre raison cartésienne, normative, rationnelle un peut de science humaine, de spiritualité, de philosophie.
Revenons donc au capital.

Le capital privé n'a pas pour objectif l'intérêt collectif. Seulement l'intérêt personnel de ceux qui le détiennent, et cela n'est ni un péché ni une anormalité sociale. Ce qui pose problème n'est que la manière dont il s'obtient.

La pollution à mis un terme au mythe que l'intérêt personnel concours à l'intérêt collectif. Aujourd'hui preuve à l'appui cela est démontré. Ce sont tous les partis et associations d'écologiques qui défendent le vivant, contre la prédation de l'intérêt individuel aveugle.

Si les particuliers avaient eu conscience des méfaits de leurs consommations ils auraient agi plus tôt.
Or ce sont seulement des associations d'intérêts collectifs composés d'humanistes qui ont tiré la sonnette d'alarme.
Généralement des gens, dit de gauche, pas seulement, parce que le socialisme a dans le cadre de la défense de l'intérêt individuel, aussi le soucis de l'intérêt collectif qui peut Naturellement échappée aux particuliers.
 
Je développe là le même axiome d'Adam Smith corrigé de son erreur(que lui ne pouvait pas imaginer) sur la prise en compte de intérêt collectif.

Également le communisme de Karl Marx ne pouvait bien sur, en tenir compte.
Aucun de ces deux penseurs ne peuvent être appliquées en l'état de leur philosophie pure car l'environnement économique auxquelles, elles se destinaient n'existe plus, sauf leurs conséquences qui ont structuré une opposition, non de nature, mais de moyen social pour s'épanouir, pour se réjouir de notre travail.

L'un et l'autre doivent être repensé en l'état du présent et de ses évolutions et de leurs conséquences dont nous avons les moyens "prédictionnels", d'être assurés qu'il se réaliseront sous une forme ou une autres

Ce ne sont pas ce qu'ont fait les adeptes de la main invisible. Ils ont même accéléré le processus. en faisant croire aux citoyens qu'à titre individuel, ils pourraient bénéficier collectivement des gains du capital privé.
Ce fut vrai, tous se sont lancés dans la consommation effrénée, polluants à tour de bras, en oubliant tout ce qui étaient intérêts collectifs et solidaires.
C'est développé egologisme, le tribalisme familial, le charitatisme.

Le club de Rome en 1962, tirait l'alarme sur la pollution, Dumont en 1974, et moins connu, l'auteur de Toxiture qui liste de À à Z tout les produits chimiques que l'industrie nous met dans l'assiette ,en 1990.
Nous avons aujourd'hui la preuve que la pensée pure de l'axiome d'Adam Smith n'est plus adapté à notre monde, après celle de Marx.

Et c'est pourtant cela que nous vende toujours le capital et les Sociaux démocrates en ne réformant pas où en ne foutant pas en l'air le Capitalisme.
Ils sont heureux de l'échec de la pensée pure de Marx, et ne sont pas prêt de reconnaître la leur, celle d'Adam Smith. Si cela me semble normal, puisque ils ne sont seulement que des cartésiens qui veulent soumettre l'humanité à leur mesure Comptable, il faut bien le leur faire toucher du doigt sans leur dire qu'ils sont des criminels pour autant.
De leurs convictions, sans machiavélisme il en ressort des comportements inconsideres Pires. Ils nous proposent de nous soigner de la pollution avec les capitaux qui l'on crée.

Je l'image désolé c'est plus simple qu'un long discours.
La loi demande 10 au salarié et 100 au patron pour résoudre les problèmes de pollution.
Le salarié touche 100 versé par le patron, il aura donc que 90 disponible pour consommer.
Le patron avait une marge de 200, il doit ou réduire sa marge à 100 ce qui lui serait impossible ou ajouter. Il va l'ajouter. Il revendra le prix du travail du salarié avec sa marge 200,+ 100 d'eco ,= 300.
Le  salarié n'a plus que 90 pour acheter son travail, alors que sans les prélèvements de 10, il avait 100
Quand il avait 100, pour acheter son travail 200 il devait emprunter 100.
Avec les prélèvements pour l'écologie  il empruntera 200,  la marge de100 plus les 100 d'eco.
Chacun suit qu'en utilisant le capital privé ce sont encore et toujours les 24 millions de salariés qui paieront et emputereront leur consommation personnelle. Dans mon cas d'école, de 300 - 90=210, il mourrait de faim. Car avec les 90 restant et il faudrai qu'il achète comme client, son salaire  100 = 90 +10, plus la marge du patron 100, plus lesprelevenent d'eco du patron100.
Faisons les comptes s'il n'emprunte pas il mange pas.
Autres observations pour faire du capital les patrons ont pollué, et il faudrait être assez CON pour utiliser leur capital pour qu'ils fassent encore du fric avec pour depolluer.

Pour faire du capital ils polluent.
Pour depolluer ils font du capital

Cela n'a intérêt qu'à démontrer que l'on ne peut solutionner nos problèmes de pollution avec les capitaux privés sauf à les prendre sur les dividendes versés.

Nous ne pourrons pas apporter une réponse rapide, car comme je viens de le démontrer les sommes à engager sont telles qu'il n'y aurait plus d'économies traditionnelle, sauf à emprunter les capitaux à ceux qui pour les faire ont pollué la planète.

Je crois qu'à un moment il faut se bousculer le poids chiche, pour sortir de cet axiome D'Adam Smith qui respire l'immobilisme et avec lequel l'on nous explique que cela nous assurera notre bien-être.

Nous vivons ses conséquences, l'accroissement des sans emplois, la réduction du pouvoir d'achat, la réduction des charges  et prélèvements obligatoires, ont induits par son organisation, l'obligations de s'endette pour racheter son travail.

Ce n'est pas la première fois que je donne comme exemple la monté du niveau des eaux, dont nous avons une cartographie des terres qui seront inondées inévitablement.

D'ores et déjà nous pourrions prendre une décision pour anticiper cela. Rien pas un mot, pas une idée tant que certains n'aurons pas les pieds dans l'eau.

Par contre sur les médias l'info pour pénaliser les voitures polluantes vont bon train. Électrique ou hydrogène, l'états laissent l'initiative au capital privé industriel, comme s'ils allaient être toucher par l'esprit saint et concevoir un projet dans l'intérêt collectif, eux qui ont fait le contraire. Que je sache quand VGE leur à donné le pouvoir d'émettre de la monnaie à la place du peuple ils n'ont pas dit non. Et depuis trente ans ils nous font croire que c'est dans l'intérêt collectif et il y a encore 40% des électeurs au européenne qui les croient. Avec tout le respect que j'ai pour les idées et choix des autres car je ne détiens aucune Vérité.
Le militant que je suis resté, pense : "s'ils sont trop cons qu'ils crèvent la bouche ouverte".
Que voulez vous quand on est humaniste l'on veut aussi faire le bonheur des autres en leurs forcant l'esprit, comme si l'on détenait un absolu, ça aussi c'est du fascisme.
La liberté c'est choisir, même de rester esclave ou de se suicider, mais pas parce que l'on a été trompé ou "desinformés". Et seul les Savoirs donnent la clé pour comprendre le complexe. Il ne nous tombe pas dessus si l'on ne va pas le chercher.
Et la liberté et la démocratie ne peuvent exister sans le Savoir.
J'ai dit dans mes derniers articles que Dieu été communiste, puis qu'il était profondément Socialistes, seulement deux commentaires ont été postés par des commentateurs éclairés.
J'ai le souvenir de L421.
L'exercice que je proposai consister à relier le religieux et le profane qui n'existent pas plus l'un que l'autre.
J'ai effectivement pu mesurer la paralysie  de la pensée qu'entraîne l'un ou l'autre. Alors que les deux disposent dans leurs cerveaux
des capacités intellectuelles pour s'ouvrir à l'autre.

Face aux problématiques écologiques, c'est idem les tenant de individualisme, sur lequel ils prospèrent par leurs pouvoirs monétaires ne veulent pas concéder un centime au pouvoir public pour résoudre une urgence.

Quitte à trouver des études qui l'invalident, comme si de visu l'on ne voyait pas les pôles fondre. C'est totalement démentiel que l'appât du gain poussent des hommes cultivés au Dénie de Réalité.
Et tous ceux qui ont des biens dans les zones inondables s'appuient dessus aussi, pour une affaire de gros sous que coûterait l'anticipation de cet événement du au réchauffement climatique.

Cela met en évidence la desinformations sur le mérite de tous ces entrepreneurs qui vont nous faire demain plus beau, incapables de faire aujourd'hui parce que investir dans d'écologiques augmente les prix de 60 à 80 %. Ce n'est pas vers eux qu'il faut aller, mais vers le partis qui sollicite toutes les intelligences pour construire demain autour de l'humain d'abord.
Chacun peut lire que ce n'est pas le hasard qui me conduit à ce choix, cette option philosophique et politique, de la"PHILOSOTIQUE"(n'ayons pas peur d'un néologisme clarifiant),  mais biens des raisons qui s'observent et se mesurent.

Qu'en déduire si ce n'est qu'il faut imposer au pouvoir un projet de grande envergure pour assumer la dépollution et le déplacement des populations et des suppressions des terres arables, pas des arabes comme le RN.

Nous ne sauveront pas le monde. Mais nous pouvons donner l'exemple, comme nous avons donné celui de la république face au pouvoir qui étaient détenus par des particuliers aristocratiques.

Aujourd'hui ces aristocrates son aussi des républicains qui se pensent apatrides quand ils disposent des capitaux.
Alors laissons leurs leur capital, n'allons pas le chercher pour résoudre les problèmes d'écologie. Un capital qui n'est pas désiré n'a plus de valeur.

Décidons de créer une banque verte dont chaque citoyen se porte garant, car l'état c'est eux et de créer une Ecomonnaie .
Il n'y a que les citoyens qui peuvent le faire ou le défaire.
Si nous ne nous engageons pas vers cela pour nous et pour ouvrir par l'exemple une voix et voie aux citoyens du monde, les siècles à venir  seront pas seulement chaud en température.

vendredi 28 juin 2019

Ne soyons plus de bonnes Poires.

Avant de manger la pomme Adan et Ève vivaient dans l'Éden.
Ils n'avaient aucun effort particulier à fournir. Juste dépenser de l'énergie pour se déplacer, cu. NBeillir leur nourriture. L'effort le plus intense, était s'accoupler. Ça fait animal, je vais dire baiser. Çà ça fait pervers vicieux, je  vais dire faisaient l'Amour c'est culturel.
Sauf qu'avec les changements climatiques des différents époques, la nourriture vain à manquer. À 50 km ans les voyages lembinaient. Il leurs en a fallu du temps pour faire 40000km, 800 ans, pour une existence de 30 ans environ cela fait 27 générations.
Ne soyons donc pas trop inquiet plus qui nous faut avec le réchauffement.

La seule difficulté étant que les racistes et les xénophobes au nom du nationalisme et de l'entité ne voudront pas accueillir les autres.
Cela me rappelle 1962 quand il a fallu accueillir les pieds noirs et les harkis, tous les prétextes racistes et fallacieux que j'ai pu entendre, pour les rejeter à la mer, dans une France pays d'accueil.
Je passe certains propos du général.
Mêmes les gens les mieux intentionnés racontaient que l'on ne pouvait accuellir toute la misère du monde.
Entre les deux oreilles des ânes, la carotte à  été mangée, et l'on en mange encore.
Et on sait en plus que ça ne rend pas aimable, vue la haine qui circule sur les raiseaus Sociaux concernant les immigrés.

Il y a au monde 2 milliards de miséreux, c'est je pense une évidence qu'ils ne viennent pas tous en France. Car aujourd'hui ils se déplacent à plus de 50 km ans.

La Hollande vie avec 411,1 hadts au km² et la France 104,23. C'est à dire 4 fois moins. Nous pourrions donc mathématiquement accueillir 4 fois plus que ce que nous sommes, 67 millions, je vous laisse faire l'addition. Nous avons donc de la marge territorialement et économiquement pour faire place.
Ce que nous souhaitons c'est nous débarrasser de tous les étrangers, les immigrés et même les français s'ils sont musulmans, soit environ  5 à 6 millions d'habts.

Je dis cela car lorsque ont les aura viré, les difficultés économiques ne seront pas résolues pour autant, puisque la structure qui les génére n'aura pas changer.

Cette organisation entrepeunariale qui cherche toujours à réduire ses  charges verra disparaître sa main d'oeuvre la moins exigeante. Celle qui accepte souvent être corvéable à merci, quand elle est immigré.
Plus celles que les empmoyeurs des de classes moyennes rejettent à l'embauches au faciès. Ce verrouillent ainsi l'accès à certains emplois quand l'on a des ascendants issus des anciennes colonies. Ce qui leurs limite l'accès à la classe moyenne, en l'absence d'ascenseur social, ce que nous vivons. Il y a environ entre 7et8 millions d'immigrés

La fermeture des frontières et le retour au pays entrainerait un ralentissement immédiat de l'économie, voire une asphyxie instantané de toutes les activités de la classe moyenne et de la classe supérieure.
Nous aurions droit à une inversion de l'ascenseur social. Nous n'aurions même plus à accueillir la misère du monde car nous la serions devenus.
C'EST pour cela que le patronat refuse d'inviter le RN. il ne va quand même BV pas inviter ceux qui vont les penaliser, pour ne dire que cela.
Ce que j'explique là, n'est pas le fruit de mon imagination, mais une analyse des statistiques de l'INSEE et autres que chacun peut consulter.

Mais nous n'y trouvons pas le raisonnement car eux ne donnent que des tendences qui permettent d'établir les conséquences de choix politiques. Elle ne sont pas faite pour la ménagère ou le client des temples de la consommation.

Mais pour les élites du patronat, même s'ils en ont d'autres sources
Plus simplement pour tous les acteurs Sociaux économique de la vie.
Les employeurs, les syndicats, les partis politiques, les institutions nationales et supra nationales.
Tous ceux qu'aujourd'hui notre société vilipende et rejette, les entreprises 41% de confiance, les syndicats 28%, les partis politiques 11%, les banques  BV
29% .
Nous rejetons l'intelligence de 137 ans d'instructions pour la seule raison que celle des classes populaires n'y a pas eu accès en totalité. Je mets au défi quiconque qui n'a pas reçu une formati économique de trouver dans les stats de l'INSEE les données pour en arriver au raisonnement que j'ai développé.
Dans notre monde où la complexité c'est accrue et va s'accroître encore plus vite. Tous ceux qui sont mis socialement à l'écart des Savoirs nécessaires pour faire des choix éclairés, et disposent par le vote de choisir leur destiné, voterons en ignorance,  pour une dictature qui ne pourra que suivre une déconfiture économique dans un soucie de ressement soit en se vendant au capitaux de grands groupes, soit en élisant son tyran tous les cinq ans.
C'est pour cela que l'information la plus écouté est la météo. Au moins notre futur tyran sait que c'est en été qu'il doit faire son coup.

Il n'y a pas qui que ce soit à rendre responsable de cela sauf la structure capitaliste de organisation du travail.
Par nos choix nous traçons notre destinée sous le contrôle de notre inné, qui ne connait pas la Société.
C'est l'homme culturel altruiste, humaniste, qui le lui apprend en lui expliquant qu'il y trouvera son  intérêt personnel.
Par contre nous pouvons remonter aux choix que nous avons fait pour en arriver à ce que je viens de développer.

Aujourd'hui et la suite de nos choix politiques d'après les trente glorieuses et un combat politique qui reprend, que l'on appellera la guerre froide, c'est engagé un arrêt et une inversion de l'ascenseur Social.

L'obsession du patronat et des Sociaux démocrates étaient l'accession politique au pouvoir des communistes.
En 1974 le boulet passa prêt avec le programme commun de la gauche. VGE bénéficia de fonds financiers du patronat sans précédent pour sa campagne.

Une fois élu il "destitua" la banque de France de son pouvoir reçu du peuple d'émettre de la monnaie réserver antérieurement à la monarchie dans l'ancien régime pour financer l'état.

Ce pouvoir fut transfère aux banques de deuxième rang, qui aujourd'hui se garantissent auprès de la BCE qui ne peut pas prêter de la monnaie aux états qui doivent trouver des emprunts sur le marché.
Le tour était joué. Si les Socialistes arrivaient au pouvoir ils n'aurait pas le nerf de la guerre passé entre les mains des patrons.
Nous  savons combien grâce à l'ignorance économique des citoyens cela à fonctionné.
Les nationalisations pour reprendre le pouvoir de création monétaire a échoué.

Le pouvoir monétaire est retourné au privé. Et le PS devenu social démocrate a confirmé cette option en 1992.
Ainsi le patronat, ou si le mot vous paraît trop archaïque, les employeurs (je n'explique pas la nuance, ceux qui l'ignorent me font un commentaire) qui disposaient du pouvoir monétaire depuis 76  l'étendit au niveau européen, obligeant tous les adhérants à l'UE d'abandonner le pouvoir régalien des peuples, pas au nom du capitalisme ce qui était la réalité, mais au nom du marché et du libéralisme.
La conséquence en fut et en est que les citoyens au lieu de condamner  le Capitalisme, ont condamné le libéralisme.

Ceux qui espéraient être élu sur la base des méfaits du capitalisme, n'osaient même plus le dire, de peur de faire fuir les électeurs. L'exemple en est tous les petits partis anti capitalistes NPA, LO, MPPT,  qui font peu de voix ostracisé par l'échec soviétique.
Les autres disaient lutter contre le néo libéralisme.
Bonjour ceux qui ont lu les Adam Simth , Hobbes, Toquevilleet et consorts pour connaître la nuance entre libéralisme et néo libéralisme.

Ce qui se disent anti liberaux de peur de dire anti capitalisme condamnent la liberté de tous d'entreprendre. Ce qui n'est pas acceptable.

Or cela aujourd'hui ne peut se faire que par des prêts auprès de ceux qui detiennent les capitaux et le pouvoir de créer de la monnaie.

Si les projets économiques s'inscrivent dans un retour de capital majoré des intérêtes vers ceux qui les détiennent çà fonctionne.
Il en est de même pour l'état qui est géré comme une entreprise.

L'état vend ses services aux citoyens, pas tous, il effectue un ajustement en fonction de revenus. Ce qui ne paient pas d'impôt direct, mais qui  en travaillant comme salarié paient ceux des employeurs en achetant leurs productions ou services plus la TVA dessus. (Le client)

Ne sentons nous pas l'odeur de poire.

Mais ça ne s'arrête pas là.
Le salarié ne peut racheter son travail sans s'endetter, il réclame à l'état pour ses manques, que l'état ne peut pas lui vendre pour récupérer des recettes par les taxes et impôts.
L'etat doit donc s'endetter.
Pour cela il émet des obligations d'états contre de la monnaie.
Les entreprises, elles émettent des actions contre de la monnaie, et revrtce des dividendes.
L'état lui rend donc des intérêts à ceux qui ont acheter des obligations (il y a un marché spécifique pour cela, le marché obligataire). Ces intérêts il les vend au 24 millions de salariés et au1,8 millions de patrons par l'impôt direct et la TVA.
Le processus est simple, les 24 millions de citoyens qui ont un revenus financent les services de l'état et les intérêts de la dette.
Chacun a pu noter que j'en ai exclu les employeurs par commodité seulement.

Qui sont ceux qui achètent les obligations, les fonds de pensions, les banques, les compagnies d'assurance en Tout genres, les fonds de placement de l'intéressement, d'autres états, quelques rares particuliers, et tous ceux qui ont des fonds disponibles.

Or tous ces fond ce sont les salariés qui les fournissent . EX.
Un salarié s'assure sur la vie pour 100. Tous les mois il verse 10. C'est 10 sont des fonds disponibles.
L'assureur pour les rentabiliser va les prêter  à l'état contre des obligations à 10℅ . L'assureur recevra 0,1 d'intérêt. Le mois suivant il placera 10 de plus etc.
Qui va payer ces intérêts, le salarié, par les impôts et taxes.
Ainsi il donne 10 pour se garantir de 100 et en fait il paie non pas 10, mais 10,1 tous les mois, mais il ne le sais pas. 10 à l'assureur, plus 0,1 qui retourne à l'assureur via les obligations.

Ainsi les services de l'état qu'il n'a pas voulu acheter à leurs prix, par les prélèvements de ce qui lui manquait, parce qu'il ne peut pas racheter son travail, il les paient par l'intermédiaire desfonds disponibles, qu'il alimente tous les mois, les intérêts en plus.
Là on tient la poire.
        

lundi 24 juin 2019

Le salarié une charge intellectuelle, le capitalisme une charge tout court.

Depuis le ministère de Raymond Barre, 1977,la Solidarité a été battue en brèche. Il n'eut de cesse de répéter qu'elle était une charge pour les employeurs.
Depuis lors cette notion a faite école, et il n'a pas été un seul Président qui ne l'ai reprise.
Cette notion est sortie du plan Comptable qui a été élaboré par les maîtres et où le salarié, l'homme, l'Humain est classé comme une Charge au même titre qu'une cle à molette, avec accord de nous tous.

Le comble étant atteint quand des ouvriers pensaient qu'il y aurait plus d'emplois s'il y avait moins de Charges.
Aujourd'hui cette ineptie, cette absurdité absolue digne des plus grands mensonges, ce FAK NEWS institutionnel, cet enseignement irréel voire virtuel, tant je vomis cette notion anti humaniste, que je ne trouves pas de qualificatifs assez forts pour la discréditer.

Je l'entends encore portée généralement par tous les économistes de comptoir du RN, en mal d'intelligence qui veulent réduire les émoluments et les indemnités des élus et plus. Quand ce n'est pas repris et conforté par les économistes  attitrés de LCI, BFMTV, News que l'on ne peut accuser de complicités ou d'affinités avec ce parti.
Certains glorieusement la revendiquent dans leurs bouquins.
Savent ils au moins qu'en prêchant des fak neews Économiques ils se licencient eux mêmes.
Le plus fantastique art de l'imbécilité, de l'inmaturité politico- Economique de beaucoup de ces sympathisants de l'un ou des autres inspiré des gestionnaires du capitalisme s'apparente à du suicide Économiques.

C'est comme s'ils disaient en licencient nous créerons des emplois.

Je crois que si R. Barre l'avait dit comme cela personne ne l'aurait cru.
Mais voilà la charge, n'est que mon père, ma mère, mes frères et soeurs, mes amies, mes innemies, mon chiens et mon chat, le Président, le chevaux, l'âne, le premier ministre, le ministre de l'intelligence, le Président du sénat bref l'activité des hommes.

C'est drôle que quand ont regarde les Charges avec l'oeil Humain plutôt qu'avec la calculette Comptable tout change.

La charge ce n'est que la vie des hommes.
La charge ce n'est que le prix de la bonne santé des hommes.
La charge ce n'est que l'instruction des hommes.
La charge ce n'est que la sécurité des hommes. 
La charge ce n'est que le secours des hommes.
La charge c'est l'aide aux familles.
La charge c'est l'aide aux handicapés.
La charge c'est le secours au miséreux.
La charge c'est le prix de la démocratie de tous ceux qui la font vivre.
La charge c'est les loisirs, les vacances, les naissances, les enterrements, les jours fériés pour fêter, les dieux les guerres, la république, les travailleurs, les journées enfants malades, la formation professionelle, le droit de se soigner, de prendre sa retraite.
Et j'en oublie.
Que pensons nous qu'il se passerait si l'on supprimé les charges.
Plus d'hôpitaux.
Plus de médecin.
Plus d'armée.
Plus de police.
Plus de pompier, secours.
Plus d'enseignants,
Plus d'école
Plus d'administration.
Plus d'élus.
Plus de loisirs.
Plus de routes.
Plus d'aides de toutes natures.
Et sur tout la charge la plus importante le salaire.
PLUS D'HOMMES.

Pouvons nous imaginer cela, le summum du capitalisme, plus d'hommes plus de CHARGES.

Ce seraient l'Éden, les patrons n'auraient plus besoin de produire pour s'enrichir, ils n'auraient plus de CHARGES à qui les vendre.
En France ils seraient 1,8millions a se ballader à poils car incapables de remplacer tous les métiers qu'accomplissaient les Charges. Se nourrissant de ceux que leur auraient laissé l'agriculture. Adieu portable, jet, voiture, eau potable, mais putain ils auraient de l'air sain.
Conclusion à la Raymond Barre, en fait les véritables Charges c'est les patrons. Ne croyons pas que je rigole, je l'ai démontré avec un article, les salariés paie tout.

Ou pour le dire différenment la charge c'est le capitalisme.

Dans le plans Comptable les charges de l'un ne sont que les ressources de l'autre, et tourné manège. Tant que les places sont en France, les tours sont rapides quand le manège passe par le monde l'on attend plus long temps son tour. C'est la circulation monétaire. Ce qui permet d'en avoir rien à foutre de la dette publique. C'est juste un compte virtuel que l'on peut laisser grossir à vie en reprenant ce que l'on a donné ou en redonnant ce que l'on a pris et si jamais il nous faut une brouette pour transporter les billets il suffit de les réduire à un avec un chiffre. Tant que l'on a la capacité de travailler l'on est riche, l'on est pauvre lorsque l'on croit qu'il faut de ma monnaie pour ça.
Alors comme aujourd'hui c'est ce qui nous motive, créons nous en, l'augmentation de la dette ou la conquête de la BCE et d FMI.
Il est fou ce ddacoudre, tu vois pas que tu es tout seul. À oui, bon j'attendrai qu'on soit plus nombreux. Pauvre vieux tu seras mort avant. Merde tu as raison.
Au secours voté FiM non BFM non IMF non BEC non CEB, CIB, MEB, zut je suis perdu avec toutes ces lettres. C'a y est j'ai retrouvé mes esprits voté Mélenchon je veux pas mourir avant.
D'écrire cela m'a rappelé un souvenir. Je me suis ouvert au militentisme part l'entraînement d'Henri un ancien de la SFIO.
Quand Mitterrand est arrivé au pouvoir, j'étais satisfait, mais je n'exhulte pas.
Des amis m'interrogerent et j'eus cette réponse.
Les gens croient que les cailles vont tomber toutes rôties, la seule chose qui me fait plaisir c'est qu'Henri est vu le Socialisme arriver au pouvoir avant de mourir, car c'était son souhait.
Ai moins il est mort heureux, puisque à son décès en 1984, il n'a pas pu assister à celui du Socialisme'
Je reviens à la charge.

Il existe encore des nazis pour dire qu'Hitler aurait du tuer tous les juifs.ils n'ont rien compris, ils sont aussi mauvais que l'a été Hitler.
Ce est pas les juifs qu'il aurait du brûler mais tous les cons, au moins l'on aurait pas de problème de surpopulation.
J'ai rien contre les juifs, mes nazis, Hitler, les cons, je veux pas mourir brûlé

52 ans que l'on nous bassine avec ça, la vie de ceux qui travaillent coûte cher.
l'État doit réduite ses dettes, ses agents. Parfois je me demande si nous avons conscience de ce que nous disons
Je vais le traduire. Moi salarié qui achète mon travail plus cher que ce que j'ai reçu comme salaire. Par cet achat je paie tous  les administratif qui travaillent au service du public. Si ont les vire, je n'aurais plus à être soumis à l'impôt, il y aura 5 millions de chômeurs en plus, qu'il faudra que je paie comme tel, mais  j'économiserait la différence entre le salaire qu'il percevait et les indemnités que je lui donne
En conséquence il consommera moins et je perdrai des emplois équivalent, résultat ça me retombe sur la figure.
Aller j'ai envie de terminer sur une note désagréable.
R. Barre avait raison le salarié est une charge, mais pas financière, intellectuelle, sourions.

 

dimanche 23 juin 2019

Ne mettons Mélenchon sur la croix, un a suffit.

l'Occident est Judéo-chrétien avec une culture imprégné d'apports d'us et coutumes. La bible à donné  notre morale appliqué par les athées.
C'est dans ce cadre que même si personne n'a lu la bible, il en applique les fondements moralisateurs. Un athée vit comme un chrétien, il pense comme tel mais n'applique pas la pensée fondamentale, l'amour de l'autre et le pardon.
Pas plus que les chrétiens eux mêmes d'ailleurs, il faut bien leur rendre judtice. Si les Chrétiens avaient su appliquer les évangiles en les ajustant à l'évolution de ce qu'ils recevaient du dehors, ils n'auraient pas souillé leurs cœurs (le désir)  avec de mauvaises impulsions, colère, orgueil, vanite, égoïsme, cupidité, Haine, puissance, domination.
Avec
tous ceux qui ont guidé le christianisme avec l'ignorance de leurs époques et qui n'ont, comme certains encore, pas pris en compte l'évolution de nos savoirs sur le mode, ont conduit  à la séparation de l'église et de l'État.
Encore aujourd'hui, il n'est pas souhaitable qu'ils retrouvent un pouvoir politique toujours attaché à l'archaïsme qui a tant fait de mal au monde, détenir la Vérité Absolue comme seul accès à la FOI.
Comme peut on croire encore que le socialisme soit sortie d'une autre culture que celle judeochrétienne avec tous les apports dont elle c'est inspiré avant et après.
Marx et Nietzsche se sont trompés dans la critique de Dieu, ne jugeant que l'application de ses magistères, pour développer, pour Marx qu'une soif d'humanité et de justice qui abonde dans la culture Chrétienne.
Comme il y est enseigné que nul ne peut se tromper il l'a fait en changeant seulement de dictateurs sans que ceux qui accédaient à ce pouvoir n'aient été élevés dans une autre culture que la soumission à un chef.
C'est ce qu'on fait les juifs trois mois après leur sortie d'Égypte, habitués être soumis, ne sachant que faire de leur liberté. D'abord Moïse, puis en se donnant un Roi. C'est ce qu'ont fait les Communistes suivant la pensée Marxiste, puis en se désignant un tyran, l'un après l'autre, et aujourd'hui qu'ils sont libre ils adorent Mamom eux aussi comme leur ex homologue Chinois.

Ce préalable pour rappeler un passages de l'Évangile où Jésus expliquer, ce qui souille les hommes (écologie).
J'ai déjà dit, quitte à froisser bien des esprits que Dieu est communisme, plus justement il est Socialiste et républicain.
Je pense que j'en bouche un coin à beaucoup. De ceux qui croient être Chrétien et adorent le Veau  d'OR. Se prosterne devant la statue d'Or de Nabuchodonosor. Les banques, la BCE, le FMI.
L'esprit complotiste accusent souvent les juifs de diriger le monde.
Cette légende tient de leurs histoires sous ministère musulman.
Mais si un juif se prosterne devant la statue d'Or de Nabuchodonosor, alors il est pas Juif.
Il nous reste à savoir aujourd'hui quelle est la représentation moderne de cette statue que les chretiens eux ont désigné Mamom, et les Socialistes le capital.
C'est à dire avec d'autres paradigmes.

Ceux qui pourraient penser que la bible ou le coran sont un ramassie d'idioties, d'inepties n'ont rien su recevoir de la vie, qu'être une fabrique de dechets, mais pas ceux de nôtre ventre, et nourrir dessous.
Souvant je rappelle cela, en disant toute cellule qui ne reçoit rien de l'extérieure meurt sous ses propres déchets. Ces plus conforme à nos Savoirs pluridisciplinaires.
Si tous les crapauds de bénitiers, qui en exploitant les ouvriers et aujourd'hui les salariés pour faire du capital, avaient lu la bible ils le sauraient.
C'est écrit depuis 1920 ans.

Marc 7-15 à 23.
Il n'y a rien au dehors de l'être humain qui puisse le souiller en entrant en lui. C'est ce qui sort de l'être humain qui le souille.
Les disciples ne comprenant pas ces et ses paroles, comme aujourd'hui Trump qui prête serment sur la bible sans peut être jamais l'avoir lu, ou bien en a été instruit par une infantilisation déplorable. Certainement comme les Chirac, Sarkozy, Macron,  Hollande,  qui se rendent dans les églises, et se disent humanistes tout en adorant Mamom où en se prosternant devant la statue de Nabuchodonosor, faite de Dollars que d'autres rêvent de construire en Euros ou Yens.

L'espérance viendra d'ailleurs de quelqu'un qui ne le sait même pas car elle est à construire.

Soyons lucide, celui qui a fait de l'Humain d'abord le socle de son rassemblement politique ce fut le Parti de Gauche emmené par Mélenchon. Il faut rendre à César ce qui lui appartient
Sa volonté d'imaginer demain avec comme objectif l'Humain d'abord au sein d'une autre formation ouverte à tous.
La France Insoumise en continuant le Socialisme dans sa lutte contre l'exploitation, qui pour fabriquer du Capital, tue sous ses déchets.

L'avenir me donnera raison peut être mort mais me donnera raison.
Bon nombre de Chrétiens, de musulmans, d'hommes de foi, de convictions rejoindront ses rangs.
Car soit ils continuent de se prosterner et servir la Monnaie capitaliste de Nanchodonpsor, et se feront eayxploser la gueule avec la bénédiction de leurs Dieux du dimanche. Ou il suivent le Dieu qui les a sortie de l'esclavage (servitude, asservissement, salariat) et leur a donné la liberté, celui là a inspiré le Socialisme, pendant que les Capitalistes le dimanche allaient à la messe et la semaine se prosternaient devant Nabuchodonosor dans leurs entreprises.
Ça me plaît bien de dire cela.
Mais je peux comprendre que des Socialistes croient aux idées spontanées, comme d'autres ont cruent aux générations jusqu'à ce que la science en démontre l'hérésie.

Que disait donc ses paroles mystérieuses : Êtes vous donc sans intelligence  vous aussi.
Ne comprenez vous pas que rien de ce qui du dehors, entre dans l'Humain ne peut le souiller.
Car cela, entre pas dans son cœur, (le désir) mais dans son VENTRE, avant de s'en aller aux LATRINES.
Ainsi il purifie tous les aliments.
Et il disait : c'est ce qui sort de l'être Humain qui le Souille.(le désir)
C'est du dedans, du coeur des gens (esprit pensée) que sortent les raisonnements mauvais.

Aujourd'hui c'est un peu pluss compliqué, de distinguer la signification de cette parabole.
En ce qui concerne la bouffe, bonne ou mal bouffe c'est toujours juste.
Pour nos productions industrielle c'est plus compliqué, car bien des découvertes nous ont apporté le bien être et le confort.
En fait ce qui est blâmé c'est tout ce qui est motivé par de mauvais raisonnements, sentiments pour satisfaire ses désirs.
Ce qui est blâmé n'est pas l'accès au progrès, nous trouvons accrédité au prophète Ézéchiel : que chacun aspire à se rejouir du fruit de son travail ( y arrivons nous avec ceux qui nous paie100 et nous les vendent 200).
Ce qui est blâmé c'est l'inconséquence de rejeter tout ce qui coûte de l'argent à traiter, à purifier notre "nourriture industrielle" afin de faire des gains toujours plus importants à la demande de Nabuchodonosor, par orgueil, par vanité, par égoïsme, par puissance etc.

Nous avons une consommations matérielles de productions industrielles qui fait entrer du dehors, (ce qui est mis à notre disposition par la nature et que nous transformons) pour nous réjouir de notre travail et bénéficier du bien être.
Aurions nous pu utiliser la transformation de la matière sans pollution, certainement.
Lavoisier l'avait expliqué, rien ne se perd tout se transforme.
Avions nous les moyens de suivre toutes les transformations que généraient nos productions, certainement pas, P. et M Curie en témoigne.
Il faut donc être indulgent quand ont juge l'histoire.
Mais quand conscient des déchets qui sortaient de notre Coeur (  de nos désirs conduits par de mauvais sentiments) nous ne nous en sommesa pas préoccupés pour des raisons financières, cette parabole de l'Évangile les concernent pleinement.
Concerne tous ceux qui y ont concouru, même passivement, comme moi qui sait cela depuis 1974.
Les Savoirs ne sont pas sataniques, le hommes non plus, ils se trompent seulement, car ils ne sauront jamais tout. Mais ce qui les sauvent c'est de pouvoir s'interroger, certes c'est difficile car cela ouvre toujours sur l'inconnu. Mais pas autant qu'on le croit du fait même de la culture dans laquelle l'on est né. 
S'il y a un ennemie ce n'est pas Dieu ou l'indefinissable, ce qui existe car rien ne peut sortir de rien.
L'ennemie est notre peur, des autres, du monde complexe où il n'y a plus de "prophète", le dernier ont l'a tué, c'était Karl Marx.  Soit, il c'est aussi trompé, qui pourrait penser le contraire, il n'était qu'homme. Mais on ne peut pas lui reproche d'avoir voulu sortir les ouvriers de la servitude pour qu'ils puissent se rejouir de leur travail.
L'ennemie, c'est l'absolu, tous ceux qui se sont abrités dernière l'absolue de Dieu qui n'était que leur besoin d'être rassurée et dirigé.
Depuis ils n'ont développé que la mort que l'on porte.
Ils ont béni et continue de bénir ceux qui vont mourir pour eux (ça nous rappelle quelque chose).
D'autres comme ces musulmans gavés de pétro Dollars financent des guerres au nom d'Allah et se prosternent aussi devant Nabuchodonosor.
La religion et leurs livre ont bien besoin d'un coup de jeune car pour me moment elle ne sert qu'à souiller l'Humain avec ce qui sort du coeur.
Alors ce qui ont la FOI, ce n'est pas dans ce qui n'existe plus que nous edifierons demain, mais avec ce qu'il y a de bon dans nos souvenirs pour oeuvrer pour l'Humain d'abord. Et il n'y qu'un parti à le dire.

Si des chrétiens s'outrent de mes propos qu'ils me disent si Jésus Christ c'est retourné sur sa croix.

Moi incroyant serais-je plus Chrétien que certains parce que  je suis Socialiste, et je revendique mon humanisme. mon liberalisme au non de l'anti capitalisme, mais contemporain, et non celui du 19 siècle qui voulait pendre mes patrons dont beaucoup l'auraient mérité, comme aujourd'hui ceux qui affament des populations spéculer sur la nourriture.
Adan Smith lui a imaginé la main invisible du marché, celle qui a justifié son l'immoralité,  comme si le désir économique des hommes n'étaient plus commandé par sa sociabilité et notre humanité, mais par Nabuchodonosor.

samedi 22 juin 2019

Ne nous soumettons pas à la monnaie, comme Leonard de Vinci.

Des scientifiques lèvent la tête aux confins de l'univers.
D'autres dans notre cerveau.
Certains pour appliquer les découvertes.
Quelques uns pour chercher des solutions.
Quelques autres pour chercher ce qu'il y a à découvrir.
Chacun d'eux peut découvrir ce qu'il ne cherchait pas.
Tous des Leonard de Vinci.

Papin aurait il put découvrir la voiture électrique ?
Leonard de Vinci n'a pas connu les réalisations de ces intuitions.
Pas plus qu'Icare n'aurait penser au parapente, et Jonathan au pare solei.

L'histoire Icare ou celle de Jonathan le Goéland témoignent du risque de s'élever sans Savoirs.
Tout deux se brûlent au soleil.
C'est dire que l'utilisation du Savoir  n'est pas sans conséquences.
Nous le savons, la pollution en témoigne également. Sauf que comme eux nous ne savons ni ralentir, ni nous arrête un moment.

Nous ne savons pas gérer le temps.

Nous ne gérons qu'une durée entre deux battements de l'aiguille. La seconde qui rythme nos vies.
Nous croyons que prendre la mesure de l'écoulement de l'existence, c'est la mesurer en heure ou en la comptabilisant.
Nous pensons que l'outil de mesure est le guide absolu au lieu d'être seulement un indicateur.

Icare est mort de cela ignorant que la cire n'était pas la colle absolu qui le libererait du labyrinthe de son existence.

Jonathan apprenait toujours à voler plus haut. Il n'avait pas lu la rencontre de Moïse avec Dieu, il en est mort, Moïse est devenu aveugle.

Depuis longtemps les hommes savent que l'absolu est mortel.
Cela ne nous arrête pas, le boursicoteur espère jusqu'à l'explosion. Personne n'entreprend pour échouer, mais chaque entreprise comporte un risque.

Dans le débat économique, de manière constante est faite l'éloge de celui qui prend un risque Économique, sous entendu cela l'autorise à exploiter ceux qui vivent à ses dépends en quémandant un emploi.

Dans les années 80 siegeant dans une commission de l'emploi au chevet d'une société qui fermait faute d'une bonne gestion, je proposer à la commission social du patronat de créer une banque d'affaires pour venir en aide à leurs confrères avant le glissement vers les mesures de liquidation. La réponse fut claire l'on attend de pouvoir les racheter pour 1 f symbolique, à chacun sa philosophie celle là c'est celle du patronat.
Si je rappelle cet épisode ce n'est pas pour dire qu'ils sont des salauds immoraux, même si j'en ai rencontré, peu heureusement.
C'est pour expliquer que quand le Cnpf en 1998 et devenu le MEDEF dans la foulé de l'écroulement du bloc soviétique, un nouvel horizon s'ouvrait.

Le Cnpf, était la défense des intérêts particuliers des employeurs, au même titre que les syndicat ouvriers.
Or quand il s'efface pour devenir MEDEF, il franchit un cap, un seuil une autre vision de son rôle de la place qu'il se donne dans la société.
Il ne se limite plus à la défense d'intérêt professionnel, mais veut être un Mouvement professionnel qui rythme l'Existence suivant ses visions politiques.
C'est sur cette voie que nous nous sommes engagés. Le plus ardent défenseur fut François Fillon comme premier ministre. Professant que l'état se gère comme une entreprise et qu'en l'état de ses finances publiques elle était en faillite.
Il en est sortie une culpabilisation de la population, s'indignant que les citoyens laissent la dette publique à leurs enfants.
C'est effectivement beaucoup plus grave que de leur laisser une Arme Nucléaire pour jouer. Ce doit être tellement sympa que Iran et d'autres états l'on commandé au père Noël.

Comment en sommes nous arrivés tous, à réclamer au NOM de la paix le droit de chaque état de se défendre avec l'arme nucléaire. Est ce donc seulement ce souci qui nous pousse à vendre des armes.

Comme Jonathan en ce domaine, les Savoirs nous ont mis à porté du soleil. Quand allons nous vivre son sort.

L'on peut se demander pourquoi en le sachant, cela ne nous atteint pas. Sommes nous comme les boursicoteurs, parce que il y a une espérance de gain à l'appuie, parce que l'acoutumenece aux risques n'est que celle perçu dans notre environnement immédiat, parce que nous sommes capables une évaluation de toute chose.

C'est bien cette dernière qui l'emporte, pour le meilleur ou le pire. Là est toute la difficulté de sa mesure.
Quand elle ne met en cause que sa propre existence, n'en souffre que ceux pour qui elle comptait et les compatissants.
Sauf que notre existence est si imbriqué que ce risque individuel interagira.

Cela nous a conduit au principe de sécurité inscrit dans la constitution, par les risques qu'ont pris ceux qui fabriquaient la farine animale. Ils auraient fabriqué avec des cailloux s'ils avaient pu pour faire de l'argent.

Nous avons donc des veilles sanitaires et des structures de contrôles à pléthores, pour tous ceux, qui pour de l'argent non aucune considération humaine pour les autres.

Je m'insurge contre ceux qui les blâmes comme s'ils n'étaient nés salauds.
Quand durant 5000 ans les Maîtres ont considéré leurs Serviteurs comme des outils, des objets productifs, qu'elle raisons avons nous de considérer les hommes comme des Clients objets de consommation.
Cela est profondément encré dans un inconscient (j'utilise ce mot parce que je ne peux décemment l'expliquer dans un article, d'autant que les psys le feraient bien mieux que moi qui n'en suis pas un).

L'industrialisation a permis des productions de masse.

Elles a suivi l'évolution des Savoirs et améliorer les risques qu'en courraient les hommes. Mais nous aurions tors de croire, que cela venait des entrepreneurs qui prenaient des risques industriels.
Ils vivaient dans leurs temps, où exploiter les autres n'était pas une injustice.
Longtemps le patronat paternaliste à pratiquer un humanisme limité à ses seuls intérêts.

J'ai deux exemple à ce sujet tirés de l'histoire.

Dans une exploitation minière le fils du propriétaire faisait des études de médecine. Ils s'intéressa à la maladie pulmonaire des mineurs, la Silicose qui causait un taux de mortalité important, particulierement chez les jeunes.
Son père lui demanda pourquoi il s'intéressait à ses ouvriers pour lui la maladie allais de soit avec le travail.

L'autre anecdote c'est produite dans une mine anglaise
Un lord en était propriétaire. Il avait observé que quand ces ouvriers revenaient d'un repos forcé par un accident ou autres, ils étaient plus productif parce que reposés.
Il s'en ouvrir à une réunion d'exploitants en proposant de réduire leurs temps de travail pour qu'ils puissent avoir plus de repos. Ce lord c'est fait brocarder par ces pair qui considéraient que son souci était déplacé.

Ces deux histoires que l'on apprenait dans l'étude du travail industriels des ouvriers, sont à rattacher à notre temps.
Qui veut supprimer la médecine du travail, le MEDEF
Qui veut nous faire travailler plus long temps, le MEDEF
Qui rappelle que de se soigner est une charge, le MEDEF.
Qui dit qu'il y a trop de jour de repos, le MEDEF
Qui dit que les 35 h sont une erreur, le MEDEF.
Et c'est lui qui par un management moderne veut améliorer la Qualite de Vie des Travaileur, le fameux QVT.

Il faut savoir qu'il y a environ 1,8 millions d'employeurs et seulement 750 milles adhérents et le même problème de représentation que les salariés.
Seulement 1% gèrent des entreprises de plus de 500, ce dont elles qui portent ce message de QVT, pour l'essentiel.
Il n'est pas question d'invalider cela, mais de comprendre qu'il s'agit un investissement productif.
Comme quand l'on graisse une machine ou un vélo pour une rentabilité meilleure.

Par ces deux observations je veux faire toucher du doigt en quoi le discours sur le QVT n'est  par rapport aux réalités des demandes du MEDEF que la recherche d'une productivité.

En 1976 un cadre me disais qu'à l'âge de 40 ans un ouvrier serait trop Vieux.
J'ai vérifié cela, les niveaux de productivité réclamés ne pouvaient plus être atteint par l'homme, la robotique nous le savons est venu remplacer ou compléter les performance de l'insuffisance de la nature humaine.
Sauf ses facultés intellectuels.

Alors me direz vous que viennent faire Icare, Jonathan le Goelan et Leonard de Vinci.

Icare veux s'échapper de son existence dans laquelle il tourne en rond (labyrinthe) en cherchant une sortie ou un Président Salvateur. (Je ne les cite pas chacun les connais et ne me dites pas que nous ne comptions pas sur eux plutôt que sur nous.)

Il décide de passer au dessus. Bonne idée et il utilise les matériaux à sa disposition, assuré de la certitude dont on l'a instruit. Le capitalisme irréductible dont les entrepreneurs sont les Fers de lance pour imaginer la vie.

Mal lui en pris d'y croire, avec les matériaux que les entrepreneurs mettaient à sa disposition il a collé  à la cire des ailes d'oiseaux vendues comme de qualité pour s'atisfaire son désir de se libérer de la société dans laquelle il se sentait perdu où il ne trouvait plus la sortie, malgré toutes les belles promesses des suppos du capitamisme, les Sociaux démocrates.

Au début il c'est senti enfin libre, le Capitalisme lui fournissait les moyens de sa liberté (Free down).
Cela n'a pas durée, la cire et les plumes n'étaient pas faite pour le libérer, mais pour consommer sur la base d'une illusion.
La vrai vie à eu raison de lui.
C'est exactement le schéma des gilets jaunes avec des revendications pour prendre de la monnaie au capital ils vont en brûler ensuite.

Et Jonathan alors, j'y viens.

Lui il veut apprendre, savoir pour s'élever toujours plus haut. Être celui qui est au dessus des autres. Obnubilé par son désir inassouvi qui lui permet d'être toujours plus haut, lui aussi rencontre le soliei de la réalité.

Il faut donc savoir pourquoi l'on apprend.

Est ce pour être le plus grand comme ceux qui disposent d'un absolu qui les tuent, quand ils se confrontent à la réalité changeante de l'existence, dans l'immbilisme de leur savoir divin ou autres qui les élèvent le plus haut pour vivre et qu'ils d'entre tuent avec.

Ou ceux qui nous le limite à celui du pouvoir d'animer des ailes mécaniques pour produire du vent et monter sans réflexion auccune toujours plus haut.
Cest ce que font ceux qui amassent de la monnaie sans satiété jusqu'à ce qu'ils en explosent rattrapés par la réalité.

C'est deux exemple pour illustrer le Capitalisme en tant organisation
systémique, dont les gestionnaires cooptés démocratiquement aliènes  les hommes au savoir technique pour être  d'honnêted citoyens productifs qui se doivent par morale d'accepter la misère et les restes.

Leonard de Vinci, peintre, inventeur, philosophe, humaniste.

Nous connaissons ses dessins innovants 400 à 500 avant qu'on les réalise. Il n'était ni sortie de l'ENA, d'HEC, ni de siecence Po. Juste peintre,  il aimer l'art, il savait laisser aller son imaginaire, dépasser les clivages, les rationalismes en ajoutant à son art la philosophie.

Il démontre par ses dessins que l'on peut échapper au labyrinthe, au désir de puissance qui ne résistent pas à la réalité, mais en ajoutant à l'ART de tous nos métiers la philosophie sans laquelle il ne peut y avoir d'humanité.

LÀ est le QVT nous aux philosophes qui m'interrogent sur l'Etre, nous preferons l'inumanite des comptes, seulement une comptabilisation de la vie.
N'ayons donc pas peur de l'avenir il est chez chacun de nous a une condition.

Nous servir de la monnaie et non de nous y soumettre.



















vendredi 21 juin 2019

Le Salarié soumis paie Tout avec la dette du patron



D'abord quelques chiffres nécessaires pour ma démonstration.
Qui travaille ? Les actifs, 26, 9 millions dont : 
Les Salariés, 25 millions d'employés.
Salariés immigrés 1,248 millions
Les Travailleur non Salariés, artisans,
patrons, professions libérales, 1, 9 millions.
 Travailleurs non Salariés, immigrés, 345,3 milles
Chômeurs 3 millions.

Le salaire moyen est de 2912 € brut.
Le PIB de 2962,79 USD à 0,89 d€ = 2636,883 milliards.
Recette de la France, 303,3 milliards.
Recette Secu, 404,5 milliards
Recette des collectivités, 83,9 milliards

Celles de l'état se décomposent comme suit.
TVA 150,5 milds 49,7%
TICPE 10,4 milds 3,4%
Autres recettes ,28,2 milds 9,3%
Recette non fiscale13 milds 4,3%
Impôt sur le revenu 72,6 milds 24%
Impôt société 28,4 milds 9,4%

Nombre d'entreprises 3,4millions.
Nombre d'artisanat 1,4 millions
Nombre d'indépendants 1,8 m.
Population 67 millions.

PIB, 
Part de l'agriculture 2%
Part de l'industrie 20,1%
Part des services 77,9%

C'était en 1850, 36,6 millions d'hadts
Ouvrier 4 millions
Agriculture 9,5 millions
Services 4,6 millions
Actif 18,6 millions
Agriculture 47,5%
Industrie  27,%
Services  25,5%
Je n'ai pas trouvé le PIB en 1850.

Ce fut laborieux pour trouver des chiffres fiables, que j'ai recoupé, leurs exactitudes ne sont pas indispensables, mais ils donneront pour ce que je désire, une mesure un contenu une image fiable et vérifiable.
Que chacun face les transpositions avec les valeurs réelles.
.(Source inssee gouv, ocde, entreprises, assurances des TNS, travailleur non salarié, toutpourlemploi).

Comment comprendre qui paie et produit le bien être dont nous bénéficions. 
Cela sans refaire l'histoire morale de la formation du capital.
Elle est du à une stabilisation de l'économie de Piaillage qui c'est sédentariser pour produire. S'en sont édifiés des cités et des états qui sont les nôtres aujourd'hui.
Il en a découlé l'organisation du travail actuelle sur plus de 5000 ans, dont les tablettes d'argiles des Summers nous rapportent les traces d'une activité économique.

Se distingue au cours des siècles écoulés une activité économique qui se structure en classes sous l'effet d'un dominant. Celui ci passe de la force à une système, le dominant systémique.

 Le respect de ses règles rythme nos existences et détermine les places Sociales, économiques et politiques.
 Celles Economiques donnerons deux classes. 1/celle de citoyens qui héritent ou entreprennent en fonction d'un capital historique disponible ou de la capacité de création monétaire.
 Dans cette classe, des sous classes se distingueront en fonction de leurs quantité de capital dont elles disposentm
 Il y a actuellement 1,4 mils d'artisans.
 3,4 mils d'entreprises, 
 1,8 d'indépendants.
 65% de - 10 salariés
 5% de 10 à 500
 1% de + de 500.
 
Ce sont ces employeurs qui ont besoin d'aide pour réaliser leurs objectifs, leurs projets etc. Ce que Seul il ne Pourraient Réaliser.
Je n'ai pas écrit, ils créaient des emplois, car ce n'est pas LEURS BUTS.

La communication du langage que nous utilisons procède de la position du Dominant. Ces dans le déroulement historique des relations Economiques que ce sont édifiés les règles economiques et le plan Comptable.

Ces règles et ce plan Comptable ont été définis par les Maîtres pour les servir et non par le serviteur

 
L'on peut lire la relation autrement

 
 Mais ce sont eux qui vendrons leurs productions ou services.
 Chacun d'eux, individuellent, seront des clients pas très nombreux, mais de luxe. Ils consommeront avec les revenus tirés du résultat net.

Les profits, les bénéfices, les dividendes au même titre que n'importe lequel des citoyens.
Sauf que c'est leurs Aidants qui Gagent leurs Revenus, ce que nous verrons.

Chaque société (entreprises) sera aussi cliente des autres. Elle réglera avec la trésorerie de la société, ou pour faire simple du capital. 
Cette dépense pour ces achats deviendra une charge de production.

La classe des Aidants.

L'autre classe et celle qui n'a pas de capital historique ou un projet réalisable par un emprunt de capital.
Elle loue sa force de travail soumise à la seule nécessité de vivre. 
Cela dans le cadre des règles économiques du dominant systémique (la démocratie et la culture historique) que fait appliquer la classe politique élu par les citoyens dont il est membre.

Celle qui nous intéresse c'est le droit à la propriété privée, et l'obligation de celui qui loue les services d'un citoyen sans propriété économique de lui verser un salaire minimal. 
Le versement du salaire fait la classe sociale du Salariat.

Cette classe retirent son revenu du salaire que lui verser l'employeur pour le dédommager de son aide avec son capital.

Avec se salaire l'Aidant devient un Client des sociétés. 
Les sociétés considérerons que ces versements son une Charges de Production.

Qu'elle est la source de capital.

La transformation de l'échange d'un bien ou d'un service contre une Reconnaissance de Dette au lieu d'un autre bien, le troc.

Cette dette est un moyen d'échange si on ne se la fait pas Rembourser.
Tout remboursement détruit la dette.
La dette est donc une Monnaie d'échange qui facilite le troc.

Si l'on replace la reconnaissance de dette par un haricot, un coquillage, une pièce d'argile, de fer, de bronze, d'or, un papier billet, un chèque, une ligne virtuelle, une action, on a créé de la monnaie. elle n'a aucune valeur intrinsèque en soit d'échange. 
Sa valeur nous l'avons compris n'est que celle qui correspondra à la suggestion qu'inspire le désirse la nature des produits à échanger et celle de la possibilité de la faire CIRCULER sans fin.

Cela n'est possible que si les uns et les autres se font confiance avec ou sans Garanties. 
Il n'est pas nécessaire que la reconnaissance de dette soit garantie par un équivalent stockable comme nous l'avons fait avec l'or. (Intéressant sujet, notre monde en aurait été différent)
Mais elle a besoin d'une authentification certifiant l'honnêteté de la transaction. Le billet ne sert qu'à cela, aujourd'hui c'est la fiabilité des transactions
Ainsi tous ceux qui disposent de milliards ne disposent en fait que de reconnaissances de dettes qu'ils ont émises et qu'ils Récupèrent.

Maintenant nous comprenons mieux.

Qu'en un employeur signe une reconnaissance de dette pour l' aide qu'il va recevoir, il cherche à s'endetter au moindre coût (esclavage, la servitude, l'asservicement), car il craint qu'un autre employeur en bénéficie et que la dette ne lui revienne pas. Les Aidants réalisons leurs achats avec la reconnaissance de Dette reconnu et signé l'enployeur qui a eu besoin de son travail, et qu'il lui Reprend en lui revendant le produit de son travail.

L'employeur récupère donc sa dette en revendant au salarié le travail pour lequel il avait fait une reconnaissance de dette. 

Problème à résoudre dès plus simple. 

L'employeur a du échanger (son capital dette) pour régler d'autres frais.
Frais de production achat, aide, obligations légales(celles du dominant démocratique, les lois), obligations contractuelles,(prélèvements cotisations, chômage, AT, AF, CR etc. tous ce que chacun trouve sur son bulletin de salaire), les impôts et taxes, et la TVA sur des achats de services et produits finit. ( Ce n'est pas grave si je laisse de côte tout un tas de comptes ce n'est pas le plan comptable que je veux développer), mais lister ce que les citoyens croient que les Sociétés Paie et qui serait susceptible de les pénaliser commercialement. (le discours sur les charges et prélèvements, en 1988 une proposition de taxe sociale au importatio à été refusé)

Le salarié de son côté consomme en fonction de la reconnaissance de dette qu'il a reçu en échange de son aide. Elle est égale à son travail. (Il n'y a pas de valeur intrinsèque d'un produit, tous ne valent que du travail humain de la sueur).

Lui aussi est soumis au dominant systémique démocratique (dont il est un élément votant). 
À ce titre il réglera des impôts, des taxes nationales et locales, et les prélèvements obligatoires mentionné sur son bulletin. 
Secu, retraite, complémentaire etc
Avec ce qui lui reste il achètera comme client la production que le société lui vendra est dont il est le réalisateur.

Celle qu'il aura produite contre une reconnaissance de dette pour son aide.

Comment l'employeur déterminé le prix de vente du travail réalisé par son aide.
Il va cumuler toutes les sommes des reconnaissances de dettes émises pour régler ses obligations légales, contractuelles et de production. Son revenu il le retirera de la productivité ou de l'ajout d'une marge.

Je retiens la marge par simplification.

L'employeur fait donc une reconnaissance de dette à l'Aidant pour le travail qu'il a réalisé, d'une valeur qu'ils ont convenu individuellement qui sera variable inférieur ou non à ce qu'on lui imposera par accord (syndicats , lois). Je vais l'estimer, admettons 1000. Sur ces 1000 reçu l'aidant donne 100 en impôts nationaux et locaux, 100 en cotisations en tous genres, et 80 de TVA pour ses achats.

Il lui reste 720 pour acheter le produit de son travail, pour lequel l'employeur aura fait une reconnaissance de dette de 1000. Le produit réalisé par l'aidant vaut donc 1000.
L'employeur qui établie le prix de vente du travail de l'aidant, ajoute au 1000 donné a l'aidant, 30 d'impôt, 200 de prélèvements obligatoires et autres, 500 de fonctionnement, 500 de marge.
Total du prix de vente du produit réalisé par l'aidant, 2500.
.
Or l'aidant ne dispose plus que de 720 pour acheter ce qu'il a produit.
Qu'à cela ne tienne, l'employeur a déposé son capital dette ou trésorerie dans une banque de dépôt de dette qui constitue son crédit disponible.
La banque propose à l'aidant de lui mettre à disposition le capital dette de son employeur, soit 2500 moins 720 égale 1780 qu'il devra détruite en les remboursant et en y rajoutant une reconnaissance de dette équivalente au frais de la banque et du dédommagement de son employeur qui durant le temps du prêt n'a pu utiliser des reconaissences de dettes, il verse alors 10 d'intérêts.

Les comptes sont finis. 
L'aidant pour acheter me produit de son travail à paie, donc rendu à son employeur 720+1780+10 = 2510. P lus que ce qu'il a reçu 1000.

Aller ce n'est pas fini. 

Cet aidant en réglant directement ses impôts, donne une partie de sa reconnaissance de dette pour payer les services publics, qui sont au nombre de 4,8 millions.

Ces agents iront avec cette reconnaissances de dettes la retourner à l'employeur pour consommer. lui aussi paiera toutes les reconnaissances de dettes de l'employeur contenu dans me prix de vente. il rendra à l'employeur les 280 de charge de l'aidant + les 230 de emploiyeur qui constitue ses revenus.

c'est le même processus pour les agents de la sécurité sociale et des services publics de santé.

Quel sont donc les montants réels qui retournent à l'employeur.

Recette Secu 403 milrds + recette de l'état 304,3 milrds + recette des collectivités 84,9 milrds, soit 712,2.

Les entreprises versent 28,4 milrds d'impôt sur les sociétés et récupèrent 304,3miliards. Idem avec les prestations Secu, il récupèrents 403 milrds.
Pareil pour le privé quand nous achetons un produit, c'est le travail du salarié + la marge de l'entreprise. PIB 2636,8 milrds

L'on pourrait allonger la liste, ces deux exemples sont suffisants pour comprendre que l'on s'auto finance et que les entreprises ne paient rien elles transfèrent tout sur le prix de vente.

Les employeurs qui estiment qu'il ont leurs mots à dire parce qu'ils paient TOUT devraient être plus discret, heureusement ils ont d'autres talents, (pas tous,)

 Les employeurs paient à hauteur des lois un revenu par une reconnaissance de dette, qui est financé par la récupération de la dette qu'ils avaient consenti aux aidants, majoré des intérêt qu'il a du engager pour acheter son travail.

Conclusion seul les Aidants paient la consommation des autres, ce sont les 26,9 millions de salariés moins les 4,8 du public, soit 22,1 millions. J'aurais pu poursuivre en sortant tous les services qui sont administratifs. Il n'y a aucun ostracisme dans mes écrits car eux aussi sont nécessaires la société.
Globalement c'est 2% agriculture et 20,1 d'industrie qui produisent la richesse qui circulent dans les services.
Nous avons compris que le dollards, l'Euro, le Yen n'ont de valeur que politique. La valeur d'une production ne dépend que de celle qui concourent de l'échange de l'acceptation d'un montant d'une aide, d'un travail, que celui qui le donne récupèrera au double. 
C'est cela le capitalisme.
Je pose pas la question qui tue, allé si : Comment presque 7 milliards d'hommes acceptent cela ?

Chacun a compris que la monnaie n'est que l'estimation de ce que les hommes s'échangent. 
Nous avons lu que l'activité productrice de biens, Agriculture et Industrie ont chuté depuis 1850, principalement du à mécanisation et la robotique, tout en produisant plus de biens pour une population qui a doublé et une population active qui n'a proportionnellement pas progresser autant.

Chacun a compris que le glissement qui c'est opéré vers les services autorisent que l'on puisse Recevoir une reconnaissance de dette en échange d'une activité que peuvent décider ceux qui sont les dominants systémiques politiques, la démocratie.

Depuis les années 80 je suggère en vain de développer un enseignement pour adultes rémunéré. 
S'il y a des activités dont les valeurs utilités ne se conteste pas, C'est la Santé, et les Savoirs, ils sont interdépendants. Sans eux nous serions encore à l'âge de pierre, et ce ne sont pas les financiers qui nous dirigent qui nous en sortiraient.
Ils en seraient toujours à exploiter la production de silex parce qu'elle rapporte.
Il nous faudrait virer tous ces financiers du pouvoir, sauf que c'est nous qui les élisons car ils nous ressemblent et dirigent l'existence de 7 milliards d'humains. Il ne faut pas désespérer.

J'espère surtout que chacun percevra comment on nous dupent avec la dette de l'etat où l'on nous dit que la rembourser est s'enrichir.(ont en serait encore au troc)
Pour nous achever, nous ne percevons pas que ce sont les salariés qui financent TOUT, y compris le capital, car la comptabilisation de l'activité économique ce sont les dominants qui l'on définit et non a classe des dominés.
C'est le maître et non le Serviteur.
Libre au Serviteur d'y rester soumis, mais au moins qu'il sache que c'est lui qui fabrique la richesse. 
Qu'on ne lui fasse pas avaler qu'il y a égalité entre lui et son maître.
 L'avenir c'est peut-être de la réaliser, cette ÉGALITÉ , à la mesure de la contribution de chacun et non à celle du capitalisme qui entretien l'idée que sans lui nous ne pouvons être mieux.

Sauf qu'il a inventé l'arme nucléaire. Il a fallu 300 ans pour que naisse un Hitler, nous n'aurons peut être pas à attendre aussi longtemps pour mettre au monde celui qui appuiera. 
Ne pensons pas qui s'agit d'alarmisme. 
Tout ce que nous créons nous l'utilisons et comme la pollution ou ceux qui crache en l'air cela nous retombe sur la gueule.

C'est pour dire trivialement, qu'une société qui vit dans une unité de pensée en mourra si elle ne reçoit rien venant de l'extérieur.






mercredi 19 juin 2019

L'erreur historique du PS. Dieu est communiste.

Dans un récent article j'expliquais en quoi les Socialiste du PS ne l'étaient plus, statut à l'appui.
Non pour blâmer leur choix politique qui est respectable au même titre que d'autres tant qu'ils ne développent pas la Haine de l'Autre.
Nous oublions toujours cycles que ce qui nous sort de l'Animalité c'est la conscience de soi à qui les autres donnent un nom individuel, quand ils nous Nomment, 
Les autres espèces si elles se reconnaissent et communiquent ne se nomment pas.

Nous nommons toutes choses.

 C'est ainsi qu'en observant l'organisation humaine, des penseurs en ont convenu qu'il y avait des maîtres et des serviteurs. 
Ce que nous qualifions de Classe. Ce que le PS à abandonné au nom du ni/ni, croyant qu'en ne les nommant plus, elles disparaitraient de l'organisation sociale.
Croyant que les patrons et les salariés allaient convoler vers des noces Économiques.
Croyant qu'ils étaient les seuls à être Humaniste.

Des humanistes il y en a eu et il en a dans la Droite libérale.
Certes ils soutiennent un Capitalisme sans âme, sans spiritualité, sans lois, pire que les comportements instinctifs en comptabilisant la vie et ils n'osent s'y opposer, laissant la place à la Droite décomplexé qui rêve une alliance avec le RN.
Ce qui les relie, ce sont des valeurs fascisantes. (60%des citoyens en développent)

Je reconnais volontiers, qu'au PS comme au MoDem il n'y a aucun fasciste dans ses rangs et fascisme dans sa volonté d'émanciper l'Humain.

L'entrepreneur à toute sa place, c'est même la premiere.

Qu'il y ait des employeurs ce n'est pas un handicap, c'est même la preuve qu'ils ne peuvent pas réussir seul.
Heureusement que tous les citoyens ne sont pas employeurs, sinon ils n'auraient aucun citoyens pour les aider.
Il en découlerait la pratique d'une autre organisation du travail. 
Lentement elle se développe autour d'une arnaque fiscale, mais c'est une voie. L'auto entrepreneur, ceux nommés Mandataires dans les années 70/80 qui étaient un attrape nigaud.

Ce processus pourrait venir remplacer le statut de salarié. Nous n'en sommes pas encore là, mais ce sont les prémisses d'un paradigme des scoops. (À développer un jour.)
À ce jour l'entreprise n'a pas pour mission sociale de Créer des emplois.
Comprenant cela, s'enchaîne le recours à la croissance qui nous a conduite au tout jetable que nous ingérons à petite dose.

Cette croissance qui fut longtemps le lied motif des syndicats pour créer des emplois, ne touche pas à sa fin.
Elle doit s'orienter vers d'autres besoins humains que celui de créer du capital. 

Comment,  c'est un choix politique

Mais là, ce n'est plus l'objectif des syndicats qui sont un contre poids et non une opposition aux choix politiques des citoyens tant qu'ils restent attaché à la république, à la liberté, à la démocratie, à la solidarité. 
Bref a des valeurs humanistes. Les dictatures et le fascisme ne sont pas des valeurs humanistes.

L'intérêt de Classe.

Ils défendent les intérêts d'une classe de 26 millions de citoyens salariés qui vivent dans une contradiction. 
Ils votent majoritairement pour les partis qui soutiennent le capitalisme, les Sociaux Démocrates de toutes nuances, PS, Moden, LR, LREM, UCI, UPR, RN etc. qui gèrent le capitalisme qui les exploite.
Que ces partis se regroupent par affinité ne changent pas l'organisation fondamentale de la société. 
Ils se divisent seulement sur les moyens à mettre en oeuvre pour effectuer le transvasement permanent de la pauvreté qui découle du capitalisme  d'une stratification sociale à une autre, classe moyenne, classe pauvre , classe riche.
 (cela mériterait une trop longue explication).

Les serviteurs.

 Un exemple, hier le serviteur marchait à pied, le maître à cheval. Aujourd'hui le serviteur roule à bicyclette (la moyenne entre ceux qui ont un engin motorisé et ceux qui prennent les transports en commun), le maître se déplace en jet. 
 La moyenne des salaires est de 2900 €, la richesse des Gafa est 3000 milliards. 
 La pauvreté tient et se développe du fait que ceux qui produisent peuvent de moins en moins accéder à la richesse qu'ils créent.

Si bien que j'explique régulièrement que cet écart faramineux est maintenu par l'organisation capitaliste du travail ou l'employeur revend son salaire à son employé plus sa marge et le coût de l'emprunt qu'il aura du faire pour acheter son travail.

Est ce que l'abandon de la notion de Classe à changer cela ?

Certainement pas sauf qu'une relation étroite existait entre le Socialisme politiques défendant la classe exploité par le capitalisme,  et certaines organisations syndicales CGT, CFDT. La position des uns a rejailli sur les autres. En ayant abolie la référence de Classe qui les distinguait des Sociaux démocrates dit liberaux, face aux difficultés persistantes et au désenchantement des promesses politiques, les citoyens ont mis dans le même sacs les partis et les syndicats.
Ils ont rejeté de fait ce qui constitue l'ossature de la démocratie, les lieux où l'on débat.
Sans parti et sans syndicat il ne peut y avoir ni de démocratie ni de république pleine et entière. (Jusqu'en 1944 nous avons vécu dans une démocratie et république amputé). 
La démocratie directe est un leurre, celle par tirage au sort une stupidité absolue, à moins que nous mettions tous les citoyens sur les bancs des grandes écoles. Ce que personnellement je souhaite en les rémunérant en plus.

Ainsi, il est courant d'entendre dire que les Socialistes en prise avec la gestion du pays ont pris contact avec la réalité. 
Si la réalité était devenir capitaliste, c'est bien triste de sacrifier 180 ans de socialisme pour 14 ans de mandat présidentiel.

La déconfiture dans laquelle nous sommes nous la leur devons.

La chute du communisme ne sonnait pas la fin des classes, sociales. 
Les Socialistes au nom d'un réalisme se sont rangés du côté des vainqueurs, le capital,  en expliquant leurs ralliements au marché, comme si c'était le libéralisme et le marché qui avaient gagné. 

Cette illusion du vainqueur entretenu par la désinformation, est aujourd'hui battu en brèche par la Chine qui avec le même style de marché que l'ex URSS c'est ouverte au Capitalisme et nous fabrique des milliardaires à la pelle. 

Alors il faut appeler un chat un chat. 

La lutte pour la liberté et le marché ne concours pas à libérer les hommes, mais à installer l'exploitation de l'homme par l'homme qui est le fondement du capitalisme.
Les salariés ont encore à s'approprier le libéralisme.

La lutte pour l'Egalité Economique reste encore à faire, ou à continuer si l'on veut ne pas être le terrain d'un affrontement entre le capitalisme en déclin des USA et celui montant de la Chine,  Dollars, contre le Yen que la Chine veut installer comme référence. 
Moi c'est le Joule que je préconise car c'est la seule valeur commune aux hommes et est irréductible, mais c'est une autre histoire.

Pour rester dans la métaphore.

Le PS a éteint le phare qui donnait et éclairait la direction à suivre pour les salariés.
Nombres d'électeurs communistes ont rejoint les voix du FN/RN, de nombreux Socialistes grossissent l'abstenion ou LREM.
D'autres ne trouvent même plus d'espérance dans le seul parti qui essaie de le ressussiter le Socialisme sur d'autres basses humanistes.
 La solidarité a toujours été là source du socialisme,  dans les syndicats et les partis socialisants les militants s'appelaient camarade avec un C ou un K.
 Nous n'entendront jamais ce mot dans la bouche d'un militant politique des Sociaux démocrates dit liberaux.
C'est bien le seul lien qu'il reste au PS en souvenir de ce qu'ils ont été.

Si mon analyse est succincte autour de symboles, elle n'est en rien un jugement. 

Ce qui font des Choix le font rarement pour se tromper. Cela vaut pour tous les hommes mêmes quand ils dirigent quoi que ce soit. 
Malheureusement nous ne sommes jamais instruit qu'il y aura toujours une erreur au bout, bien que nous le sachions depuis 2019 ans.
Il ne faut donc pas cracher, comme nous y invite le FN/RN sur ceux qui ne pourront que se tromper en finalité, même eux.

NON parceque leurs idéaux sont discutables, comme le mien, mais parce que cela tient à notre nature humaine et notre besoin de certitudes qui nous rend immobiliste et inhumain.

Comprenons que ce n'est pas dans un plan comptable que nous apprendrons cela. 
Lui fera des humains une planche à billet. 
C'est à cet état que nous a conduit l'abandon de la lutte des classes.
Puissions nous le comprendre, non pour avilir, haïr mais pour chercher d'autres voies qui existent en germe, n'attendant que de trouver un lieu où se développer. 
Nous comprenons dés lors que nous ne pouvons la trouver dans le capitalisme.
D'une autre manière il existe des voies et des voix qui ont besoin d'un attracteur pour s'agréger. Le seul qui offre cette possibilité est la France Insoumise, mais elle est d'une maladresse incommensurable dans la communication choisi. 
Les capitalistes diraient, il a un bon produit qui il ne sait pas Vendre.

Rien ne venant sans rien. nous sommes tous nés judéo-chrétien.

La bible nous conte que Dieu donna la liberté à son peuple en le sortant de l'esclavage. 
Cela n'a duré qu'un temps, car il se sont donnés un roi. 
Un penseur juif au nom de Jésus devant leurs excès, leurs expliqua que le Maître devait instruire son Serviteur, et qu'un Bon Maître faisait un Bon Serviteur. 
Chacun a compris qu'il ne s'agit pas d'instruction mais de relations Sociales Economiques.(convoler en noce)
Depuis 2019 ans les Chrétiens Savent cela. Ce sont eux qui ont dominé et instruit les populations.
Les hommes avaient parfaitement conscience que certains d'entre eux était des maîtres que servaient les autres. 
Ce qu'un autre penseur a Nommé au 18 siècle les Classes Sociales, et à donné corps à la lutte des classes, K.Marx 
Ce même Jésus disait : il faut rendre à César ce qui lui appartient. 

Alors comparons Marx à Dieu et nom à Jésus. 

Car Dieu à libérer les hébreux des Maîtres Égyptiens proprietaires des chantiers, comme Marx voulait libérer les travailleurs de leurs Maîtres Propriétaires des moyens de production.  Dieu leur a donné la démocratie, il se sont choisit un Roi.
Marx leur a donné la démocratie ils se sont choisit un dictateur.

Jésus lui demandais aux maîtres de redistribuer une part de leurs richesses.
Les Socialistes réformistes au nom du keynésianisme demandait au Capitalisme de redistribuer aux travailleurs.
Ainsi, Dieu serait plutôt communiste, imaginons la giffle que cela repressent pour les athées.
Et Jésus Christ serait aujourd'hui un  Social démocrate.
Un humaniste qui voudrait rendre "le Capitalisme Social".

K. Marx à fait lui aussi une erreur en tenant pour nulle la spiritualité humaine. 
La même d'une république qui
s'en est séparé en 1905 avec raison,tant étaient distordus et parfois immondes les interprétations, les actions, les applications de ceux qui se croyaient les dépositaires de l'interprétation des évangiles.

Sauf que la spiritualité ne disparaît pas parce que  ont s'opposent aux Schémas Politiques à laquelle elle a donné corps, la Religion.
Je veux bien que l'on dise supprimer la lutte des classes, la spiritualité. 
Changerons nous pour autant nos instincts qui y conduisent ?

lundi 17 juin 2019

Les grandes invasions continuent


J'use souvent du terme paradigme, car il signifie que nous déroulons les mêmes structures sous des aspects différents, et que nous ne les reconnaissons pas comme telle, plus attaché à leurs représentations qu'à leurs fondements.
Ce n'est bien évidemment pas facile quand des siècles d'évolutions les séparent et que l'on n'a pas eu accès à l'instruction de leurs l'histoires. Celles qui rapportent nos comportements de différentes couleurs sociales posé par le même pinceau.
De plus il n'y a aucune obligation à les connaître, cela n'empêchera personne de vivre heureux.

Les esclaves égyptiens, Grecs, noirs, les serfs de toutes les monarchies, les asservis de tous les dominants furent heureux.
Seule notre vision erronée imaginait qu'ils vivaient dans la souffrance permanente.
Si tel eut été le cas, ils s'eussent tous suicidés.
Or ils ont joué, chanté, baisé, promené, dansé bref vécu dans la limite de la liberté permise par la domination de leurs  maîtres.
Ainsi chaque descendance devait penser que sa vie était meilleure que celle de ses prédécesseurs. N'ayant comme référence que l'histoire ou des souvenirs contés ou écrits de leur PASSÉ.

Certains pensaient que telle était leurs conditions humaines. 
D'autres considéraient normale leurs appartenances "proprietale" à un maître ou seigneur. 
D'autres être des outils achetés (noirs).
D'autres courbaient l'échine face à leurs destinées et servaient les dictateurs.
Enfin les Salariés contemporains. Ils n'échappent pas à ce principe, considèrant qu'ils sont libres de louer leur force de travail.
Ils entretiennent ainsi un lien de subordination et ils se louent sur le marché du travail.
Ils disposent de la liberté se louer, se vendre et être dominé.
Également d'entreprendre et être un dominant de deuxième zone coopter en fonction de la limite de liberté que lui laisse le dominant systémique (alpha culturel) développé au fil des âges par tous les hommes qui s'y sont succédés.
C'est à dire plus de 10 000 ans

Qui est ce dominant est la question ?

Le lien constant qui réuni tous ces paradigmes demeure l'acceptation d'une soumission perçu comme allant de soi.
Nous trouvons là l'atavisme (le dominant animlier alpha), distordu par la culture en dominant systémique culturel alpha (tabou totem)qui s'impose par le poids du mimétisme social de classe, bien qu'il ait exister des ascenseurs sociaux (élargissement et autres) pour glisser vers de meilleures conditions à toutes les époques, voire au statut de dominant bêta coopter par l'organisation culturelle.

Cela n'écarte pas tous les sévisses
et les droits, dis souverains, que s'accordaient les dominants bêta (dictateur, tyran, roi, parlement) avec l'assentiment admis ou forcé par ceux qui les subissaient.

Ainsi, à chaque époque des liens ont uni un dominant et un dominé, revêtant tous les aspects que j'ai cité.
Chacun a bénéficié d'un espace de liberté accordé par le maître.
Ils ont donc vécu, enfanté, bénéfcié d'un bien être au regard des moyens de leurs époques.

Ce sont rarement les peuples soumis à l'acceptabilité de leurs conditions humaines qui se sont révoltés à quelques jacqueries prêt.
Notre monde est leurs descendances structurelles adaptées ou modelées par les résultats de la mémorisation et de l'enchaînement exponentiel de ceux ci.

Chacun de nous peut donc comprendre qu'élevé dans une prison l'on trouve normal les barreaux.
Il ne viendra guère à l'esprit de ceux qui y vivent de s'en échapper. Nous comprenons dés lors que ces barreaux sont ceux de la culture de chaque civilisation.
Aucune personne ne les sciera en se déplacant vers d'autres civilisations.
Si des hommes n'avaient pas eu la conscience de l'unicité de notre espèce et son humanité.
Ce sont nos problèmes d'intégration et d'identité que nous avons tant de mal à comprendre.
Pourtant nous avons quelques choses en commun même dans les âges.

C'est l'exploitation de l'homme par l'homme.

N'étant qu'un paradigme d'un comportement instinctif distordu par la rareté, nous le retrouvons développé sous différents aspects civilisationnels, LÀ où il y a des hommes qui TRAVAILLE NT.

Ainsi dans un monde où la rareté à contraint les hommes au travail s'en est suivit une représentation du dominant qui est une transposition culturelle du dominant animalier en PIRE pour affirmer sa position de domination.

C'est donc à tors, que nous voyant commettre des actes barbares ou cruels nous les attribuons à nos instincts animaliers.

Nous trouvons cruels et barbares les groupes d'humains qui ont conduit les grandes invasions à la recherche de nourriture et de butins pour assoir leurs puissances.
Nous avons condamner les colonisations qui poursuivaient les mêmes fins. Seul les moyens les différencie.
Si la marche à pied, l'arme blanche, les cheveaux étaient les moyens des égyptiens, des Romains, des ostrogoth, des Huns, et autres envahisseurs pour assoir leur puissance.
Plus tard d'autres  disposaient de vaisseaux, de canons, d'avions pour mener leurs colonisations. Nous comprenons que l'objectif était identique. S'approprier par la contrainte des sources nourricières et un butin correspondant aux valeurs qu'accordaient les hommes aux choses par lesquelles l'on obtenait la puissance.

Aujourd'hui que faisons nous, si ce n'est la même chose avec les valeurs qui sont celles du moment.
De puis l'arme nucléaire plus personne ne part les armes à la main pour conquérir des territoires. Israël, Sadam, la Serbie, Daesh etc. sont des exceptions, ce ne sont pas de grandes invasions, ce sont des conflits locaux.

Il n'y a personne à juger.

Nous ne développons suivant les époques ce que nous pensons découler de nos Savoirs absolus, hier plus qu'aujourd'hui.

Je fais mesurer cela avec l'histoire d'une ordalie.

Un évêque ne peut trancher le différents entre deux manants. Il charge chacun d'un poids de 50 kg avant de les jeter à l'eau, en disant celui qui remontera sera innocenté par la main de dieu. Et un des manants de s'écrier mettez en 100 kg je suis innocent dieu me sauvera.
Une jolie petite histoire pour démontrer comment quand nous sommes dans l'ignorance, que ce soit le dominant ou le dominé chacun vit avec les lois et les usages qui en ont résulté.
Mais celui qui en supporte les conséquences, c'est le dominé.

Dans nos sociétés c'est ;  la Déclaration des droits de l'homme qui est devenu un nouveau dominant systémique alpha culurel.
En son nom, il ne peut plus y avoir en dehors de Ses règles que des dominants bêta.

Pour tant ils ne faut pas imaginer que cela est exceptionnel.
Toutes les autres civilisations avaient leurs droits de l'homme. Elle définissaient toutes les formes de soumission d'un dominé aux dominants bêta dans les relations humaines suivant la loi du dominant systémique culturel alpha (essentiellement toutes les croyances définies par les humains qu'ils ont expliquer detenir des dieux, pour avoir l'assurance qu'elle ne puisse être contester et donner le pouvoir à ceux qui les represente).

Aujourd'hui en Occident les droits de l'homme ont précédé la religion, dans d'autres pays ils restent au deuxième rang.

Ainsi, nous ne pouvons JUGER le passé avec les SAVOIRS et les  CONCEPTS qui n'existaient pas à leurs époques, parce que nous rerouvons, reconnaissons de mêmes structures.

Ex : le génocide mot définit en  1944 qualifiant des comportements spécifiques du Nazismes.
Les Arméniens ont vecu en 1915 la même chose.
Les Amérindiens du nord et du sud ont vécu la même chose par l'immigration européen du 15 au18 siècles.
En 1915 cela été nommé un crime contre la civilisation.
Au 15/18 siècle nous désignons cela la découverte du nouveau monde, et les USA la conquête de l'ouest.
Nous pouvons qualifier les comportements antérieurs identiques de génocide, mais c'est un jugement émotionnel qui déforme l'histoire car il ne peut être rétroactif.

Sans nous en rendre compte nous  faisons souvent cela.
Le réel que nous avons vécu dans la micro seconde, s'installe dans la mémoire pour créer l'image du passé.
La mémoire est bien réelle et génére ses effets,  seule l'histoire racontée est passé.

Cette mémorisation n'est pas faite pour juger les actes du passé.

Elle nous sert d'étalon de mesure, de comparaison pour nous aider à faire nos choix avenir et écarter ce qui nous tue ou nous fait souffrir pour ne conserver que ce qui aide à la vie.

Il ne peut pas y avoir de réalité rétroactive, et nos jugement sur des évènements passés les sortent de leurs réalités car ils n'existent plus.

Nous ne savons pas encore  marquer cette différence dans les faits.
Car tout ce que nous auront gardé en mémoire des réalités vécu, est distordus par le langage et l'écrit pour ne raconter que notre passé et seulement cela, nous affecte.
Je mets au défi quiconque de raconter sa réalité qui ne dure même pas de micros secondes.
Nous vivons au réel avec l'histoire de notre passé, il y a jamais de retour en arrière possible.

Quel est donc aujourd'hui ce dominant bêta et quelles armes il utilise.

Il faut le chercher dans le paradigme moderne du dominant dominé.
Dans nos démocraties où l'homme est l'égal 'un autre, il est un domaine où ce paradigme à toujours cours.
C'est dans la relation des hommes au travail où se fabrique les besoins nourricièrs et l'arme qui permet d'avoir le butin, la richesse qui donne la puissance,  c'est à dire la monnaie. Ceci depuis les accords de Bretton Woods et l'abandon du pouvoir régalien des peuples européen (BCE).
Nous pouvons le traduire comme cela.
Les dominants bêta anciens disposaient du droit et de la richesse.
La révolution les à transféré aux peuples.
Ceux qui ont accédé au pouvoir par le peuple, l'on deposséder de la richesse pour la transférer à une classe de dominants bêta qui soumet l'autre à qui il ne reste que le droit sans puissance.

Je reconnais avoir déroulé en quelques phrases 5000 ans d'histoires pour nous faire comprendre que nous n'avons pas beaucoup évolué dans nos rapports sociaux.
Tout cela caché par la modernité de nos moyens technologiques.
5000 ans n'est rien à côté des 2 millions d'années d'existence de notre espèce, et des 4,5 milliards de celle de la planète qui reste.
Nous avons donc du temps pour évoluer et abolir ce qui nous maintien au fil des siècles dans un rapport atavique distordu par la culture, l'exploitation de l'Homme par l'Homme, ce que maintien le capitalisme.
C'est lui qui donne le capital à des particulier bêta pour conduire la nouvelle invasions monétaire dite financire.
La Chine l'a si bien compris qu'elle veut que sa monnaie devienne une référence internationale pour conduire une grande invasion. Certains disent l'Afrique.
Nous savons ce qu'il reste à changer qui détient la monnaie.




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Que se passe-t-il chez les français. La crise de confiance des citoyens envers ses représentants politiques s'aggrave. Nous avio...

Comment un flux d'énergie qui circule sans but dans l'univers peut il donner la vie.