lundi 17 février 2020

Grivaux le pluriel de grivois.




Voilà, ça c'est le sujet qui mobilise les citoyens. Le sexe, les arabes, l'immigration ce sont des sujets porteur, avec lesquels l'on met la France en marche

La recherche de l'absolu obnubile les hommes. Il suffit de lire la bible,ce conte sociologique de la vie des hommes qui sortent du paléolithique et découvrent qu'ils sont nus et se couvrent le sexe d'une feuille.( et oui il n'y avait pas encore des tisserands, ni de peaux tannées, ni de culotte qui ne sont apparues qu'au 19 siècle.)

Une image de la genèse qui en dit long sur les problèmes que nous posent le sexe au point qu'il faille le cacher, avec ce que l'on a sous la main.
Les Gravéttien 29 à25 000 ans n'avaient pas peur du nu, en témoigne La Vénus de Dolní Věstonice, La Vénus de Willendorf et bien d'autres encore. Sans oublier toutes les œuvres, plus proche, de l'antiquité. Pour les Perses autour de – 500 avjc, ce n'est pas le sexe le plus honteux, mais de dire un mensonge et d’être endetté. Nous pouvons comprendre que la honte du sexe n'est que culturelle.
Les salafistes ont poussé cette image de la genèse au maximum en recouvrant la femme, objet de désirs permanents, de la tête au pied. Mais comme il est dit dans la bible celui qui fantasme sur d'autres femmes que la sienne commaît déjà un péché d’adultère.
Que dire d'autre que nos ancêtres n'étaient pas des cons et avaient une vision bien claire de la psychologie humaine, et que le fantasme sur d'autres femmes imaginés par l'usure de la pratique conjugale pour la vie, et un élément de stabilité psychique pourvu de ne pas passer à l'acte pour certains, illégaux.
Ce malheureux Grivaux il a fait le délit du siècle se masturber, quel drame cet acte inconnu des hommes et des femmes, vous parler d'une affaire, comme Clinton se faire faire une fellation quelle ignominie, dans notre culture ce n'est pas une pratique en vigueur. L'on se moque vraiment de l'intelligence des citoyens. Que celui qui ne sait pas fait sucer ou qui ne sait pas masturbé lève la main.
Zut sommes nous des manchots que personne n'a la main levé.
Voilà qui ne ferait pas le bonheur de Pierre Péchin qui disait « que les français dans la salle lèvent les mains , les arabes vous pouvaient faire les poches . »

C'est tout ce que vaut cette histoire que l'on en rigole parce qu'un politique c'est fait piégé par des hurluberlus pour avoir été un naïf.comme s'il n'était pas connu des hommes politiques que leur vie privé est une corde à les faire danser.
La littérature en est pleine, vrai ou fausse. Allons donc savoir pourquoi la notoriété interdit les transgressions conjugales.
Les humbles devraient vivre dans le péché et les notables en seraient exemptés
Notre existence, particulièrement ceux qui ont une vie intense faite de rencontre, est propice à la tentation et c'est bien naturel. La famille et l'amour éternel sont des constructions culturelles stabilisatrices qui se MARIENT mal avec notre organisation psychique émotionnelle, et demande un constant effort d'attachement.
Est-on à blâmer en cas de manquement, certainement pas il n'y a que les NEVROSES que cela choque, en dehors de la réaction des membres du couple qui sont concernés et à qui il appartient de se pencher sur la question.

Quand j'entends les commentaires j'ai l'impression d'être en face des attardés mentaux.
La famille avait trois fonctions, distribuer l'héritage, assurer l'autonomie économique aux femmes et protéger par la fidélité des MTS et de la consanguinité.
Cette vision c'est perdu de vue dans le temps, et l'histoire de Roméo et Juliette est là pour nous rappeler que l'amour avait peu de place dans l'Union.
Les temps ont changé la sexualité c'est banalisé au grand jour. Si elle implique une certaine retenu et une pratique de l'intimité, il n'en demeure pas moins que la peur de la sexualité est une tare de taille, la peur de la vision d'un sexe encore plus. Il ne s'agit pas d'aller s’exhiber ou faire du voyeurisme, mais de ne pas crier au scandale quand l'on voit un sexe. Cet attribue que l'on porte avec soit et qui nous dit qui nous plaît, ou avec qui l'on baiserait bien, et dont l'on se sert tous les jours
Avons nous honte de nos mains dont l'on se sert tous les jours
Je me souviens de cette remarque d'une femme à qui j'ai entendu dire « celui là je me le ferais bien et je ne le ferais pas payer. »

Ce qui est nocif dans la vie c'est l'intention avec laquelle l'on fait les choses. Le désir sexuel est ce qu'il y a de plus banal,même s'il est à risque. Et l'intolérance que les « notables » y soit soumis relève de l'esprit malveillant, et non de la recherche de l'exemplarité.
Nous élisons pas des hommes politiques parce que ils baisent biens. De savoir s'ils font cela sur la machine à laver ne nous concerne pas autrement qu'avec un sourire amusé et non pour faire la une de la presse people.
Par contre que les puissants se pensent autoriser d'abuser de leur pouvoir sexuellement, reste une problème parmi d'autres liés au pouvoir.

Pour Grivaux cela aurait du donné lieu à une grivoiserie tout au plus.
Une instruction est ouverte pour donner le change.
Je ne vois pas en quoi le poste politique de Grivaux aurait justifié un traquenard, quand à la destinataire de la vidéo, elle en fait ce qu'elle veut, c'est sa vie privé.
Reste à savoir si son compagnon la diffusé sans son accord, et je ne vois pas bien qu'elle difficulté cela représente. Il n'est en rien responsable de la reprise par tous les malveillants névrosés qui l'on faite circuler sur le net.
La rumeur avait cet avantage c'est qu'il n'y avait pas de support vidéo.

vendredi 14 février 2020

Changer seulement d'approche.




Il y en a qui pensent encore que l'on peut réparer le capitalisme par une politique publique ambitieuse. En un mot prendre les ressources du contribuable pour les redistribuer dans des opérations économiques d'envergures.
Un faux semblant qui se fait depuis très longtemps quand l'on analyses les sources de certaines innovations. C'est ainsi que certaines innovations mondiales ont trouvé leurs sources et se sont appuyées sur des fonds et des découvertes publiques comme internet et HTTP, le GPS, l'écran LCD
pour ne parler que de ces innovations que s'approprie le privé, et sans lesquelles leurs innovations personnelles en seraient restées au niveau d'un jeu informatique.

Il faut pointer du doigt l'apport des fonds et des innovations publics du ministère de la défense au états unis qui ont servi de point de départ pour beaucoup d'icône de la Silicon Valley, qui comme beaucoup de citoyen prétentieux clament moi je me suis fait seul.
Ils continuent ainsi de faire vivre un des plus grand Mythe du libéralisme « l'homme qui se construit seul », déniant ainsi l'apport de milliards de savoirs plus ou moins justes, plus ou moins revisités par une quantité incroyable de découvreurs qui n'ont pas laissé leurs noms dans l'histoire.
Si nous devrions payer des droits de propriété intellectuelle au babylonien qui a inventé la roue, ou ne serait-ce qu'au pays qui l'a abrité, les Irakiens vivraient rentiers.
Ainsi celui qui c'est fait seul s'il n'a pas passé sa vie à marcher à pied, il leur est redevable de ses innovations.
Si quelqu'un connaît un milliardaire qui c'est enrichi en marchant à pied, c'est qu'il c'est fait abuser ou qu'il est crédule.

La singularité de chacun est incontestable et a toute sa place pour former la collectivité, pour autant ce n'est pas elle (la singularité) qui fait le destin de chacun d'entre nous. Elle vient seulement le renforcer en bien ou en mal suivant la place où l'on NAÎT.
C'est donc cette naissance qui va contribuer à ce que notre singularité s’inscrive dans l’environnement dans lequel elle se développera et bénéficiera pour le meilleur ou le pire.
Or dans cet environnement il y a tous les autres et la singularité de chacun se nourrir et se construit sur et avec le destin ou la destinée des autres.
C'est à dire que l'individu reçois l'apport de la collectivité, l'apport PUBLIC pour prendre son envol, tout comme les innovations que j'ai ciblés ont reçus l'apport public du ministère de la défense américaine comme source, donc de l’impôt public, avant de retirer les bénéfices de la notoriété qu'ils se sont acquise en s'appuyant sur ces sources.

Il n'est pas gênant qu'un individu retire un avantage égoïste de l'apport de l’environnement humain dans lequel il évolue qui forme la collectivité humaine publique.
Ce qui l'est c'est que dans le mythe de l'individualisme il perçoive les autres que comme des faire valoir pour poursuivre ses fins et considérer le coût de leurs existences comme une charge s'il doit participer à son financement soit pour l'aide qu'il reçoit soit par les services que lui rend la collectivité, le PUBLIC.
Une collectivité qu'il NIE et un Public qu'il DENIGRE accroché à son Mythe.

Aujourd'hui nous disposons des preuves que l'intérêt individuel égoïste sans souci de la vie des autres a POURRI la PLANETE.
La puissance publique acquise à ce MYTHE régule les égoïsmes à coup de lois et réglementations directrices, fiscales, se refusant d'établir des plans d'orientations économiques et d'élaborer des projets économiques ambitieux à la hauteur des défies écologiques du siècle.

L'intrication de nos économies est telle qu'aucun état n'envisage de mettre en place des projets ambitieux de crainte de faire fuir les capitaux d'investissement de citoyens ou d'entreprises d'investissement qui n'en ont rien à foutre de l'écologie et des autres espèces vivantes si ce n'est d'en user dans les PUB pour vendre un peu plus ce qui nous pourri.
Certes il y a beaucoup d’initiative individuelle et de groupes locaux mais pas de quoi changer le cour des choses et encore d'être à la hauteur de ce qu'il faudrait entreprendre d'ici 2100.
Inscrire l'écologie dans un souci de rationalité et de rentabilité financière est vouer tout ce qui sera entrepris à de la médiocrité voire de l'échec.

Changer de paradigme pour rendre efficace l'écologisme c'est changer d'approche dans la vision capitaliste du libéralisme, car il constitue un frein à trop d'innovations qui pourraient être étendues car leurs applications ne sont pas d'être rentables, mais d'apporter un bien être à l'humanité.
C'est d'être utile.
Le seul parti avec tout un nombre de petites organisations politiques dans sa voie qui préconise cela est la France insoumise. Pourtant curieusement si une bonne partie de la population souscrit au développement que je viens d'écrire, ils vont certainement aux prochaines élections présidentielle et parlementaire réélire ceux qui leur maintiennent la tête dans le sac. Ceux dont le seul souci est d'assurer de bon retour sur investissement pour créer en vain des emplois.

Curieusement une frange de la population, celle qui s'abstient ou celle qui rejette la politique comme s'il s'agissait d'un panier à crabe est vouer à se scléroser en dehors des élections municipales où ils pourront voter pour des sans étiquettes, qui me semblent feront un carton malgré les magouilles du gouvernement pour ne pas comptabiliser certaines communes

Changer de paradigme libéral c'est faire de la POLITIQUE, c'est édifier un projet, c'est élaborer un programme ; comment le faire si l'on DENIGRE en permanence la politique, et que l'on envisage de se suicider en faisant appel à l'élection par tirage au sort.
Il n'est pas sorcier de comprendre que si nous ne voulons pas faire de la politique nous ne changeront RIEN.
C'est le cas de 90 % de citoyens qui veulent changer le capitalisme et votent pour ceux qui le soutiennent ou s'abstiennent.

Changer de paradigme n'est pas mettre en cause la valeur ou la capacité des citoyens à innover entreprendre à être méritant ni s'enrichir, mais d'une manière différente, qu'en exploitant les autres, c'est remplacer l'exploitation par la coopération.
Ça commence déjà par remodeler le plan comptable pour qu'il prenne en compte la coopération et les raisons fondamentales pour lesquelles nous produisons. Pour nous réjouir de notre travail quitte à s'y faire remplacer et recevoir un revenu d'une autre activité.

Revenir à la valeur d'utilité et innover en prenant comme socle, non plus une valeur abstraite fondée sur le désir de produire sans frais, sans coût, sans charges, ce qui est également un mythe de l'individualisme égoïste, mais en prenant en considération les besoins insatiables de la vie et la valeur du travail humain fourni pour y parvenir.

Rien n'existe en dehors du savoir faire de l'homme depuis qu'il n'est plus un cueilleur.
Si l'individualisme égoïste n'est pas anormal car il correspond à un comportement atavique issus de l'innée, il en est de même pour EGOÏSME SOLIDAIRE.
Ce n'est pas anormal d'avoir de la compassion, de l'altruisme, de la bienveillance, de l'équité de tenir compte de la composante holistique de l'existence pour que l'individu égoïste ne soit prépondérant et occupe toute la place économique et psychique. Tous ces comportements sont aussi naturels que la compétition et n'emporte pas moins celle-ci sous d'autres paradigmes moins destructeurs.
Car dans un cas comme dans l'autre il faut faire usage de la discrimination pour élaborer une analyse.
L'humain n'est pas un sujet neutre, c'est un émotif dominateur qui ne peut plus aujourd'hui l'exercer sans retenu en exploitant les autres par une organisation libérale capitalistique qui transmet sa violence dominatrice au travers des dominants systémiques organisationnels que l'on se perpétue par mimétisme et éducation.

D'où la difficulté de réaliser un changement politique, et même quand ils ne sont pas d'accords les citoyens sont incapables d’innover et reconduisent toujours les mêmes sous différents sigles politiques.

Tant que nous seront obnubilés par le faire monétaire qui guidera nos analyses nous ne nous en sortirons pas. Nous prendrons seulement la durée de nos cycles ravageurs (Kondratieff) pour des progrès, parce que la technologie permet de les anticiper, voire de les minimiser.

Aussi je déplore que Mélenchon et les Insoumis ne se hasarde pas dans la recherche d'autres valeurs du travail humain et d'autres moyens de le comptabiliser grâce aux connaissances que nous avons aujourd'hui de l'humain. Le travail humain se calcule en joules est c'est une valeur universelle de comparaison. A. Smith ne pouvais pas le savoir.
La consommation d'énergie humaine est le seul critère scientifique réfutable pour fixer la base de la valeur d'un produit ou service, ce qui n’empêche nullement d'y ajouter des valeurs additionnelles spatiales ou structurelles. Quand j'écris que le lieu ou l'on naît fait ce que l'on est, il en est de même pour le travail, suivant où le travail s'exerce le même effort énergétique ne donnera pas la même rentabilité. Ceci n'est pas une chimère. C'est sur cette observation de base que Lapouge a déterminé que les nordiques étaient la race supérieure car ils étaient plus vaillant au travail.L'incidence nous le savons en fut lourde.

Dire que celui qui entreprend a besoin d'aide de tiers pour parvenir a ses fins est une autre approche qui donne toute sa place à l'aidant, que de dire que celui qui entreprend trouve sur le marché du travail celui qui est prêt à se vendre. Ce n'est donc plus un salaire que l'aidant doit recevoir, mais la part du résultat auquel il contribue. L'humain n'est pas une marchandise.
Acter cela et le mettre en application est l'étape que nous avons à franchir pour faire un pas de plus vers la CIVILISATION, je ne pense pas qu'exploiter l'autre par le leurre du salaire soit un acte civilisationnel, ce fut une étape qui date de 1804 et qui a trop durée.


Le frein au changement de paradigme est psychologique, il n'aura pas lieu sans violence ou drame, même si nous disposons des moyens d'y parvenir lentement par réformes successives.
Ceux qui disposent du pouvoir ne le laissent jamais sans violence, sans heurt, sans rapport de force.
Ceux qui nous dirigent et dirigent le monde le savent également et disposent des moyens de maintenir les populations sous leur coupe par l'intermédiaire des médias, et par la pression répressive et le contrôle des individus.

Nous nous américaniserons un peu plus si nous renonçons à faire exister un parti comme la France insoumise.Il est aujourd'hui le seul rempart à cette américanisation. S'il doit tenir compte du quotidien des citoyens car leurs réalités est là, il ne doit pas ignorer que ce sont ceux qui ont voté Mitterrand qui l'on coulé en 1983.
Les citoyens veulent changer le capitalisme mais vivent tous comme des capitalistes dés qu'ils ont de l'épargne. Reconstruire un idéal ne se fait pas en devenant président de la république, pour l'instant l'on ne sent pas poindre cette construction dans la France insoumise.

Cette démarche peut s'entendre dans le revenu UNIVERSEL, il lui reste à se trouver une voie en dehors de la redistribution qui ne changera rien au fond dans le capitalisme, même si elle améliorera le quotidien de certains citoyens. Sous une autre forme Giscard d'Estain y avait pensé en voulant rémunérer les femmes au foyer.
Pour l’instant au monde qui vit au rythme des marchés financiers il manque une espérance à ceux qui en sont la marchandise. Certes un idéal ne se trouve pas dans un paquet de bonus, mais encore faut-il se poser la question d'en édifier un, mais au delà du quotidien des citoyens qui ne pourrons proposer que le capitalisme qu'ils vivent.

mardi 4 février 2020

Parlement.Un combat d’âmes au tour de la mort d’enfants




 
12 jours pour un deuil d'enfant, trop coûteux pour les patrons.
La loi et les conventions collectives ouvrent des droits à des congés spéciaux pour des événements familiaux, naissances, mariages décès etc.
Ces événements furent arracher au patronat qui les accordaient suivant leurs bons vouloir au nom du droit du prince, devenu juridiquement le fait du prince aujourd'hui.

Pour tous ceux qui naissent avec des acquis dont il ignore l'histoire, il pensent que c'est de bon cœur que les gouvernements et le patronat ont accordé des avantages sociaux, qu'ils appellent des charges qu'ils revendent à leurs clients NE FAISANT EN CELA QUE L'AVANCE DU CÔUT, et les clients les plus nombreux sont justement ceux à qui ces mesures sont destinées, LES SALARIES.

Chacun comprend qu'un employeur peut prendre le temps qui lui est nécessaire pour de tels événements sans demander d'autorisation. Le code du travail est le résultat de siècles de droit arbitraire du PRINCE et les conventions collectives tout comme les accords interentreprises l'améliorent.
Il en est de même pour la retraite, elle ne concerne que les SALARIES, l'employeur fait ce qu'il veut de sa vie active.
Alors dans ce combat entre peut de députés la prolongation du congés de deuil pour un enfant a été refusé par la bande à Macron mise au pied du mur, pour un président qui dit que la finance est son ennemie.
C'est si vrai que depuis le Brexit des traders de la banque Morgan stanley sont venus s’installer à Paris, raison, il y a plus de blés à faire en France, car si le président dit que la finance est son ennemie, mais dans les faits ce n'est pas vrai.

Ensuite extrait de l'express.

Le rapporteur, Guy Bricout, avait argumenté qu'un congé de cinq jours n'était "pas à la hauteur" pour "reprendre pied suite à la mort d'un enfant" et en appelant à l'"humanité" de ses collègues. Face à quoi Sereine Mauborgne, députée LREM de la 4e circonscription du Var, a défendu la "possibilité pour l'employeur de créer un compte de don". "Quand on s'achète de la générosité à bon prix sur le dos des entreprises, c'est quand même un peu facile", a-t-elle ajouté, répondant aux critiques dans l'hémicycle. 

La phrase clé est Quand on s'achète de la générosité à bon prix sur le dos des entreprises, c'est quand même un peu facile"

Cette député dit en substance ce n'est pas aux entreprises à payer les congés spéciaux.Au moins elle le dit clairement pour ceux qui auraient des doutes sur les intentions sociales des employeurs
Tien donc ! Cette député, comme tant d'autres d'ailleurs, semble ignorer que les lois les conventions et les accords ont ouvert des droits à congés sinon les employeurs auraient fait travailler les salariés jusqu'au bout de leurs capacités. PAS de l'âge car à ans pour certain travaux l'on est trop vieux.

C'est le fondement de la technologie de remplacer l’insuffisance des capacités de l’homme au travail dans les gains de productivité pour faire des productions de masses. Chacun pourra noter que je ne poursuis pas en disant à bas prix, car il n'est là que pour réguler la rareté et non indiquer le prix d'un produit qui n’existe pas intrinsèquement.

La seule chose qui existe ce sont nos existences et seulement cela, ceux sont elles qui font le prix de vente de nos productions, et rien d'autre.
Cette dame ignore donc que ce sont les salariés eux mêmes qui financeront ces jours supplémentaires en achetant leurs productions. Les patrons aussi mais pour valeur négligeable, ils font seulement l'avance de trésorerie.

Si je rappelle un peu tout cela ce n'est pas pour dire qu'il faut pendre les employeurs, ils ont leurs places dans la répartitions des taches, des compétences et des initiatives. Ils ne sont en rien supérieurs en quoi que ce soit, comme ce gentil député de 70 balais qui derrière ses lunettes disait qu'il fallait obligatoirement travaille plus longtemps. Le brave monsieur il ignore que si on lui ôte ses lunettes il ne peut plus faire son boulot de député faute de pouvoir lire quoi que ce soit.

Mais nous pouvons comprendre qu'octroyer une charge de plus se récupère, soit par la productivité, soit par l'investissement technologique soit en augmentant le prix de vente. C'est là que le bas blesse quand l'on est en compétitivité avec des pays qui n'ont pas les mêmes coûts sociaux, le même coût de la vie.

Le bon sens en appellerait à inviter les gouvernements des dit pays à s’aligner sur le meilleur bien être, sauf qu'en organisation capitaliste c'est sur le moins disant, sur le moins de charges que l’on s’aligne.

C'est ce que j'ai cru comprendre dans ce débat que les députés LEREM connaissaient cette consigne du gouvernement, ne pas augmenter les charges pour rester compétitif, de bons godillots sans réflexion.

La polémique qui s'en est suivit, en soit de m'intéresse pas, tous ceux qui ont crié à l'inhumanité, ou se sont indignés pour la circonstance, surtout quand l'on appui sur le bouton thématique sensible, l'enfant, oubliant qu'on voue les vivants à périr un jour sous les bombes nucléaires.

Mais au moins un masque est tombé. Et confirme ce que je soutiens depuis des lustres « nous ne survivrons pas à une comptabilisation de la vie ».


Que se passe-t-il chez les français.

Que se passe-t-il chez les français. La crise de confiance des citoyens envers ses représentants politiques s'aggrave. Nous avio...

Comment un flux d'énergie qui circule sans but dans l'univers peut il donner la vie.