samedi 22 juin 2019

Ne nous soumettons pas à la monnaie, comme Leonard de Vinci.

Des scientifiques lèvent la tête aux confins de l'univers.
D'autres dans notre cerveau.
Certains pour appliquer les découvertes.
Quelques uns pour chercher des solutions.
Quelques autres pour chercher ce qu'il y a à découvrir.
Chacun d'eux peut découvrir ce qu'il ne cherchait pas.
Tous des Leonard de Vinci.

Papin aurait il put découvrir la voiture électrique ?
Leonard de Vinci n'a pas connu les réalisations de ces intuitions.
Pas plus qu'Icare n'aurait penser au parapente, et Jonathan au pare solei.

L'histoire Icare ou celle de Jonathan le Goéland témoignent du risque de s'élever sans Savoirs.
Tout deux se brûlent au soleil.
C'est dire que l'utilisation du Savoir  n'est pas sans conséquences.
Nous le savons, la pollution en témoigne également. Sauf que comme eux nous ne savons ni ralentir, ni nous arrête un moment.

Nous ne savons pas gérer le temps.

Nous ne gérons qu'une durée entre deux battements de l'aiguille. La seconde qui rythme nos vies.
Nous croyons que prendre la mesure de l'écoulement de l'existence, c'est la mesurer en heure ou en la comptabilisant.
Nous pensons que l'outil de mesure est le guide absolu au lieu d'être seulement un indicateur.

Icare est mort de cela ignorant que la cire n'était pas la colle absolu qui le libererait du labyrinthe de son existence.

Jonathan apprenait toujours à voler plus haut. Il n'avait pas lu la rencontre de Moïse avec Dieu, il en est mort, Moïse est devenu aveugle.

Depuis longtemps les hommes savent que l'absolu est mortel.
Cela ne nous arrête pas, le boursicoteur espère jusqu'à l'explosion. Personne n'entreprend pour échouer, mais chaque entreprise comporte un risque.

Dans le débat économique, de manière constante est faite l'éloge de celui qui prend un risque Économique, sous entendu cela l'autorise à exploiter ceux qui vivent à ses dépends en quémandant un emploi.

Dans les années 80 siegeant dans une commission de l'emploi au chevet d'une société qui fermait faute d'une bonne gestion, je proposer à la commission social du patronat de créer une banque d'affaires pour venir en aide à leurs confrères avant le glissement vers les mesures de liquidation. La réponse fut claire l'on attend de pouvoir les racheter pour 1 f symbolique, à chacun sa philosophie celle là c'est celle du patronat.
Si je rappelle cet épisode ce n'est pas pour dire qu'ils sont des salauds immoraux, même si j'en ai rencontré, peu heureusement.
C'est pour expliquer que quand le Cnpf en 1998 et devenu le MEDEF dans la foulé de l'écroulement du bloc soviétique, un nouvel horizon s'ouvrait.

Le Cnpf, était la défense des intérêts particuliers des employeurs, au même titre que les syndicat ouvriers.
Or quand il s'efface pour devenir MEDEF, il franchit un cap, un seuil une autre vision de son rôle de la place qu'il se donne dans la société.
Il ne se limite plus à la défense d'intérêt professionnel, mais veut être un Mouvement professionnel qui rythme l'Existence suivant ses visions politiques.
C'est sur cette voie que nous nous sommes engagés. Le plus ardent défenseur fut François Fillon comme premier ministre. Professant que l'état se gère comme une entreprise et qu'en l'état de ses finances publiques elle était en faillite.
Il en est sortie une culpabilisation de la population, s'indignant que les citoyens laissent la dette publique à leurs enfants.
C'est effectivement beaucoup plus grave que de leur laisser une Arme Nucléaire pour jouer. Ce doit être tellement sympa que Iran et d'autres états l'on commandé au père Noël.

Comment en sommes nous arrivés tous, à réclamer au NOM de la paix le droit de chaque état de se défendre avec l'arme nucléaire. Est ce donc seulement ce souci qui nous pousse à vendre des armes.

Comme Jonathan en ce domaine, les Savoirs nous ont mis à porté du soleil. Quand allons nous vivre son sort.

L'on peut se demander pourquoi en le sachant, cela ne nous atteint pas. Sommes nous comme les boursicoteurs, parce que il y a une espérance de gain à l'appuie, parce que l'acoutumenece aux risques n'est que celle perçu dans notre environnement immédiat, parce que nous sommes capables une évaluation de toute chose.

C'est bien cette dernière qui l'emporte, pour le meilleur ou le pire. Là est toute la difficulté de sa mesure.
Quand elle ne met en cause que sa propre existence, n'en souffre que ceux pour qui elle comptait et les compatissants.
Sauf que notre existence est si imbriqué que ce risque individuel interagira.

Cela nous a conduit au principe de sécurité inscrit dans la constitution, par les risques qu'ont pris ceux qui fabriquaient la farine animale. Ils auraient fabriqué avec des cailloux s'ils avaient pu pour faire de l'argent.

Nous avons donc des veilles sanitaires et des structures de contrôles à pléthores, pour tous ceux, qui pour de l'argent non aucune considération humaine pour les autres.

Je m'insurge contre ceux qui les blâmes comme s'ils n'étaient nés salauds.
Quand durant 5000 ans les Maîtres ont considéré leurs Serviteurs comme des outils, des objets productifs, qu'elle raisons avons nous de considérer les hommes comme des Clients objets de consommation.
Cela est profondément encré dans un inconscient (j'utilise ce mot parce que je ne peux décemment l'expliquer dans un article, d'autant que les psys le feraient bien mieux que moi qui n'en suis pas un).

L'industrialisation a permis des productions de masse.

Elles a suivi l'évolution des Savoirs et améliorer les risques qu'en courraient les hommes. Mais nous aurions tors de croire, que cela venait des entrepreneurs qui prenaient des risques industriels.
Ils vivaient dans leurs temps, où exploiter les autres n'était pas une injustice.
Longtemps le patronat paternaliste à pratiquer un humanisme limité à ses seuls intérêts.

J'ai deux exemple à ce sujet tirés de l'histoire.

Dans une exploitation minière le fils du propriétaire faisait des études de médecine. Ils s'intéressa à la maladie pulmonaire des mineurs, la Silicose qui causait un taux de mortalité important, particulierement chez les jeunes.
Son père lui demanda pourquoi il s'intéressait à ses ouvriers pour lui la maladie allais de soit avec le travail.

L'autre anecdote c'est produite dans une mine anglaise
Un lord en était propriétaire. Il avait observé que quand ces ouvriers revenaient d'un repos forcé par un accident ou autres, ils étaient plus productif parce que reposés.
Il s'en ouvrir à une réunion d'exploitants en proposant de réduire leurs temps de travail pour qu'ils puissent avoir plus de repos. Ce lord c'est fait brocarder par ces pair qui considéraient que son souci était déplacé.

Ces deux histoires que l'on apprenait dans l'étude du travail industriels des ouvriers, sont à rattacher à notre temps.
Qui veut supprimer la médecine du travail, le MEDEF
Qui veut nous faire travailler plus long temps, le MEDEF
Qui rappelle que de se soigner est une charge, le MEDEF.
Qui dit qu'il y a trop de jour de repos, le MEDEF
Qui dit que les 35 h sont une erreur, le MEDEF.
Et c'est lui qui par un management moderne veut améliorer la Qualite de Vie des Travaileur, le fameux QVT.

Il faut savoir qu'il y a environ 1,8 millions d'employeurs et seulement 750 milles adhérents et le même problème de représentation que les salariés.
Seulement 1% gèrent des entreprises de plus de 500, ce dont elles qui portent ce message de QVT, pour l'essentiel.
Il n'est pas question d'invalider cela, mais de comprendre qu'il s'agit un investissement productif.
Comme quand l'on graisse une machine ou un vélo pour une rentabilité meilleure.

Par ces deux observations je veux faire toucher du doigt en quoi le discours sur le QVT n'est  par rapport aux réalités des demandes du MEDEF que la recherche d'une productivité.

En 1976 un cadre me disais qu'à l'âge de 40 ans un ouvrier serait trop Vieux.
J'ai vérifié cela, les niveaux de productivité réclamés ne pouvaient plus être atteint par l'homme, la robotique nous le savons est venu remplacer ou compléter les performance de l'insuffisance de la nature humaine.
Sauf ses facultés intellectuels.

Alors me direz vous que viennent faire Icare, Jonathan le Goelan et Leonard de Vinci.

Icare veux s'échapper de son existence dans laquelle il tourne en rond (labyrinthe) en cherchant une sortie ou un Président Salvateur. (Je ne les cite pas chacun les connais et ne me dites pas que nous ne comptions pas sur eux plutôt que sur nous.)

Il décide de passer au dessus. Bonne idée et il utilise les matériaux à sa disposition, assuré de la certitude dont on l'a instruit. Le capitalisme irréductible dont les entrepreneurs sont les Fers de lance pour imaginer la vie.

Mal lui en pris d'y croire, avec les matériaux que les entrepreneurs mettaient à sa disposition il a collé  à la cire des ailes d'oiseaux vendues comme de qualité pour s'atisfaire son désir de se libérer de la société dans laquelle il se sentait perdu où il ne trouvait plus la sortie, malgré toutes les belles promesses des suppos du capitamisme, les Sociaux démocrates.

Au début il c'est senti enfin libre, le Capitalisme lui fournissait les moyens de sa liberté (Free down).
Cela n'a pas durée, la cire et les plumes n'étaient pas faite pour le libérer, mais pour consommer sur la base d'une illusion.
La vrai vie à eu raison de lui.
C'est exactement le schéma des gilets jaunes avec des revendications pour prendre de la monnaie au capital ils vont en brûler ensuite.

Et Jonathan alors, j'y viens.

Lui il veut apprendre, savoir pour s'élever toujours plus haut. Être celui qui est au dessus des autres. Obnubilé par son désir inassouvi qui lui permet d'être toujours plus haut, lui aussi rencontre le soliei de la réalité.

Il faut donc savoir pourquoi l'on apprend.

Est ce pour être le plus grand comme ceux qui disposent d'un absolu qui les tuent, quand ils se confrontent à la réalité changeante de l'existence, dans l'immbilisme de leur savoir divin ou autres qui les élèvent le plus haut pour vivre et qu'ils d'entre tuent avec.

Ou ceux qui nous le limite à celui du pouvoir d'animer des ailes mécaniques pour produire du vent et monter sans réflexion auccune toujours plus haut.
Cest ce que font ceux qui amassent de la monnaie sans satiété jusqu'à ce qu'ils en explosent rattrapés par la réalité.

C'est deux exemple pour illustrer le Capitalisme en tant organisation
systémique, dont les gestionnaires cooptés démocratiquement aliènes  les hommes au savoir technique pour être  d'honnêted citoyens productifs qui se doivent par morale d'accepter la misère et les restes.

Leonard de Vinci, peintre, inventeur, philosophe, humaniste.

Nous connaissons ses dessins innovants 400 à 500 avant qu'on les réalise. Il n'était ni sortie de l'ENA, d'HEC, ni de siecence Po. Juste peintre,  il aimer l'art, il savait laisser aller son imaginaire, dépasser les clivages, les rationalismes en ajoutant à son art la philosophie.

Il démontre par ses dessins que l'on peut échapper au labyrinthe, au désir de puissance qui ne résistent pas à la réalité, mais en ajoutant à l'ART de tous nos métiers la philosophie sans laquelle il ne peut y avoir d'humanité.

LÀ est le QVT nous aux philosophes qui m'interrogent sur l'Etre, nous preferons l'inumanite des comptes, seulement une comptabilisation de la vie.
N'ayons donc pas peur de l'avenir il est chez chacun de nous a une condition.

Nous servir de la monnaie et non de nous y soumettre.



















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