Mai 429 À.V J.C. Platon.
Cette Caverne n'avait rien d'obscur, et pourtant, chaque fois que quelqu'un se libére de son hombre pour aller vers la lumière, il en devient "aveugle."
Voyons nous l'analogie apparaître, c'était 3700 ans avant J C , la date n'est pas très importante, mais ce que l'histoire lui a accordé d'avoir fait, certainement.
Nous l'avons reconnu il s'agit de Moïse.
Il ne verra pas la terre promise.
L'exode nous raconte son existence, ces miracles portés par la main de dieu.
Je ne dis pas de son dieu, car s'il y en n'avait plusieurs ont les entendraient se battre, enfin je le suppose.
Toujours est il que l'histoire est crédible. Bien sûr pas comme la bible la rapporte à la lettre
En permanence il faut ajuster les évènements à la réalités de leurs périodes, que les chercheurs archéologues, exégètes, historiens recoupent avec d'autres traces du même ordre laissées par les civilisations des mêmes époques et des découvertes contemporaines.
Naturellement entre les exégètes et les historiens subsistent des différences qui relèvent de leur foi.
Également les interprétations contemporaines, comme celle à laquelle je me livre avec des savoirs dont ils ne disposaient pas.
Cela pour dire qu'il est impossible que la bible soit le fruit d'une invention intellectuelle, car nous en sommes bien incapable, si au préalable nous avons pas reçu les informations de notre environnement.
Un monarque c'est essayé à la chose pour savoir si c'était le grec ou le latin étaient la langue de dieu
Il a isolé des enfants de tout contact et ils en sont mort.
Il n'y a donc dans la bible aucune invention humaine.
Il y a seulement des représentations d'événements que les auteurs ont interprétés avec les codes en vigueurs à ces époques faites de divinations, de supertisions, d'ignorances, et de croyances que, quelque part, quelqu'un détient la vérité dont des hommes s'inspirent, qu'ils écoutent, et dont ils pensent avoir besoin.
Nous en sommes toujours là, même si certains ont remplacé par ignorance, la place qu'occupe dieu dans les sociétés humaines par d'autres croyances qu'ils pensent plus humaines, Mamon.
Une invariance d'echelle
Le rapport au chose est le même, il y a une invariance l'échelle dans nos analyses est comportements, puisque il ne c'est pas écoulé suffisamment de siècles pour faire état d'une évolution du psychisme.
Ainsi les monothéistes regardaient les autres croyances comme du paganisme, comme aujourd'hui les athées accro à la rationalité regardent les croyants monothéistes.
C'est donc avec cette réalité du monde qu'il faut vivre.
Une Grotte ronde.
Un monde toujours dans sa GROTTE malgré lui, HEUREUSEMENT, car s'il s'y tenait en conscience se serait désespérant.
C'est bien là que se présente la difficulté.
Par quel processus se désaliéner pour une fois arrivé à la lumière ne pas devenir invisible aux yeux des autres, inaudible en s'adressant à eux.
Comment éviter, qu'une fois vu et entendu, les hommes s'en servent pour projeter à nouveau leurs hombres.
Comment poser des évènements, réaliser des évènements dont nous n'aurions pas conscience des conséquences que nous souhaiterions qu'ils engendrent.
Comment ressentir, poser et réaliser l'inconscient.
En dehors des réflexes, tous nos actes sont des choix conscients. ils sont le résultat des évènements antérieurs uuuuuujjjh cumulés et mémorisés que nous sommes incapables de détailler en toute vérité pour répondre aux sollicitations de la planète en un instant T.
Nous ne manquons pas d'exemple où la force de l'hombre, DU PEUPLE, se réjouit de ce que les maîtres de la GROTTE mettent au bûcher ceux qui veulent en sortir et dansent autour d'autodafé.
Le Christ et Giordano Bruno en sont l'exemple mythique ou réel.
Le Christ montre la lumière, et quelques siècles plus tard, ceux qui s'en servent la ramènent dans l'hombre et tue celui qui voulait à son tour les en sortir en suivant sa voie et voix.
Ainsi Platon à formulé une allégorie de la GROTTE que nous retrouvons avec Moïse, Icare II siècle AV, JC et avec Jonathan le Goéland en 1970.
Moïse, l'histoire raconte qu'il monte au mont Sinaï rencontrer l'éternel où il reçoit les commandement qui vont marquer notre histoire.
Or notre histoire montre qu'il est resté inaudible à son peuple qui n'a pas arrêté de tuer et voler, comme nous aujourd'hui encore que l'on soit croyant ou athée.
Nous comprenons qu'il ne s'agit pas de Moïse en particulier, mais de tous les hommes qui ont su découvrir par l'observation du monde, ce que leur intelligence comprenait pour venir combler une perception précise ou diffusé nommée désir. L'Expression d'un MANQUE.
Mais ce n'est pas suffisant en soit
Il faut pour que ce soit comparable à la l'allégorie, que la compréhension découverte, perçu soit une élévation, une sublimation, une utopie.
Qu'il ne soit plus possible ensuite de revenir s'aliéner p dans la Grotte.
Et n'être alors qu'un guide qui ne bénéficiera pas du monde où il emporte les hombres.
Moïse est monté vers la lumière, vers l'éternel, vers celui qui détient le Savoir.
Aujourd'hui les plus avancés des croyants nous diraient vers celui qui fit exploser le Big bang qui contient notre destiné.
Moïse s'était investi d'une mission
Il pensait que ce qu'il avait compris du monde devait être partagé avec les hombres
Il n'est pas ENTRÉE dans la terre promise.
Dans son histoire on lit toutes les difficultés rencontrées pour convaincre les hombres.
Les hombres étaient impatientes, craintives.
Elles ont donc reconstruites ce à quoi elle avaient été éduqués à produire, le Veau D.OR.
Tout comme nous dressé à la servitude, nous reconstruisons toujours la servitude sous d'autres appellation, tel le salariat.
Et il a fallu l'esprit tortueux du PS et la crédulité des sots pour croire qu'il n'y avait plus de classe.
Ensuite il aura fallu la violence de dieu, (c'est à dire celle de Moïse et de ses disciples) pour engloutir 2500 juifs attachés à leurs hombres.
Pas tous, les autres sont les aliénés dociles, ils suivront le vainceur.
Les autres c'est le peuple, celui qui se pliera toujours.
C'est le peuple qui sortira de la GROTTE si la lumière s'impose.
C'est ce même PEUPLE qui maintiendra sa progéniture, sa descendance dans son hombre.
Dans l'hombre qui naît de la nouvelle lumière.
Nous le comprenons, la lumière offre la vie et projette les hombres du vivant dans lesquelles les hommes ne distinguent pas leurs chaînes.
Sinon nous ne vivrions pas depuis plus de 5000 dans la servitude des uns aux autres.
Avec Icare fils de Dédale qui construit un labyrinthe pour cacher l'hombre des dieux, ils y furent jeter pour trahison. Et pour s'échapper Dédale fabrique des ailes à son fils qui s'élève trops prés de la lumière.
Avec Jonathan le Goéland la métaphore présente la même recherche. S'élever plus haut pour atteindre la lumière.
Les autres ceux qui vivent dans l'hombre du vivant lui reproche son audace.
Lui disent les danger de s'élever vers la lumière, VERS LE SAVOIR.
Cela ne nous rappelle t-il rien.
Dans la genèse dieu interdit à l'homme d'accéder à la connaissance sous peine de se voir nu et de devoir travailler pour se nourrir.
Que faut-il en comprendre.
Que l'homme dans l'Éden n'avait pas eu à faire usage de ses capacités intellectuelles d'adaptation pour connaître le monde d'où il retire aujourd'hui grâce à celles ci ses besoins face à la RARETÉ.
Le prix de la connaissance présenté bibliquement comme une punition c'est le travail.
Les Grecs également considéraient l'effort pour produire comme une punition .
Le TRAVAIL, qui aujourd'hui est la valeur de création du Capital.
Les hommes des temps bibliques pour l'occident l'on écrit, la connaissance n'est pas sans danger.
S'approcher du savoir absolue TUE.
C'est pour cela que nous retrouvons toujours la connaissance de dieu, du savoir absolue que dans la mort.
En Orient nous avons les mêmes métaphores.
L'éveil permet de ne plus être réincarné sur terre
Le veau D'OR, le labyrinthe, l'hombre de la GROTTE, le vol des Goéland d'en bas, représentent ceux qui ne peuvent sortir de leur routine, ceux qui font les uns comme les autres, ceux qui ont leur Psychique bloqué, ceux qui écoutent la même information, ceux de la pensée unique.
Ceux qui comme les hommes de la GROTTE vivent enchaînés à leur existence.
Comme ceux du LABYRINTHE qui tournent en rond dans leur vie.
Comme les goélands qui demeurent au ras des flots.
Comme les descendants de Caen qui périssent dans le déluge.
Comme les descendants de Noé que Moïse sauve.
Comme les descendants de Moïse que Jésus Christ vient sauver.
Comme la civilisation Chrétienne que les athées essaient de sauver avec leur état de droit.
Un long périple joncher d'erreurs mortelles dont la PIRE, et l'invention d'une arme d'anéantissement auquel le coeur artificiel ne résistera pas.
Tué par ceux qui à un moment arrêtent de s'élever, pour vivre dans l'illusion de leur existence éclairé par la Connaissance, le Savoir qui leur donne le pouvoir sur la GROTTE pour soumettre les hombres et non les libérer.
Alors est-ce la connaissance qui tue ou l'hombre.
Nous pouvons dire presque sans nous tromper que c'est l'usage de la connaissance quand elle ne sort pas les hommes de l'hombre qui les ALIÈNE.
Parce que à un moment ils CESSENT d'apprendre pour se maintenir dans la lumière.
Parce que leurs hombres ne peux dévoiler ce qu'ils sont.
Ceux qui ramènent l'accès à la lumière, l'accès à la connaissance, l'accès à l'élévation aux seules satisfactions de leurs hombres de leurs nécessaires illusions du quotidien où ils tourne en rond sans comprendre le monde du vivant.
L'aliénation matérielle.
Aujourd'hui l'éducation permanente doit retrouver toute sa place.
Nous l'avons compris les hombres se cherchent toujours un SALVATEUR.
Dieu, Moïse, Christ. Mahomet, le Droit, en fait un attracteur, celui qui servira de guide parce que les autres restent dans L'HOMBRE rassurante.
Dans l'hombre uniformisante où tout devient problème, problématique quand un point s'y distingue.
Non parce que c'est réellement un problème, mais il est problème parce que nous sommes ignorant de sa source.
Parce que notre hombre nous suit.
Il y a un seul moment où l'hombre s'efface, où nous sommes obligés de nous regarder car il n'y que NOUS.
C'est au moment du ZÉNITH.
L'hombre est sous nos pieds écrasée par l'ÊTRE qui se cherche depuis des siècles et n'est lui même qu'au ZÉNITH.
Toutes ces métaphores font l'éloge du Savoir.
Or nous l'avons compris il n'est pas la lumière, mais son dépassement.
La vie est derrière elle.
C'est celle que nous ignorons et qui n'est pas inaccessible pourvu que tous les jours en apprenant l'on construise la route qui y conduit, sans se faire arrêter par la servitude volontaire
EDGAR MORIN ne s'y est pas trompé la vie est dans la seule réserve à conquerrir, le magasin de la méconnaissance.
C'est donc L'ÉDUCATION PERMANENTE qui nous sortira de l'hombre.
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