jeudi 22 août 2019

Supprimer l'impôt sur les Sociétés que paient les Salariés.


La fiscalité fait débat depuis des lustres.
Les impôts ont toujours mauvaise presse.
Les citoyens réclament que l'on impose le capital.
Cela nous conduit à pester contre la diminution de la fiscalité des Sociétés pester contre celles qui pratiquent l'optimisations fiscales ou celles qui fraudent dans vergogne.

Cela nous cause t-il réellement du tors ?
Qui la paie ?
C'est que je nous invite à regarder.

Les économistes ou les infos nous présentent toujours des analyses fragmentaires par élément ou groupes éléments retenus.
Commentés séparément et dissocié de l'ensemble ils ont peu d'intérêts, ils ne livrent pas ce qui s'y cache.

Ex, le taux de prélèvement est calculé sur tous les revenus qui y ont été soumis, moins les sommes redistribuées en prestations. C'est un calcul qui en vaut un autre,  c'est un choix politique.

L'on comprend que cela semble logique puisque ces prestations sont du Prélèvement. (Bien que certaines indemnités  y soient soumises)

Or le salaire des personnels du secteur public, du président aux élus, armée, police, éducation, sécurité sociale, collectivités territoriales et tous autres services ont leurs revenus salariaux ou non rémunérés par les PRÉLÈVEMENTS constituant le budget de l'état et celui des collectivités territoriales.

De plus tous ces personnels qui reçoivent comme salaire des prélèvements y contribuent également.
Cela revient à dire que les PRÉLÈVEMENTS sont imposés une fois de plus. Impôt sur l'impôt.
C'est comme si ces personnels remboursaient une partie des prélèvements perçu, s'auto finançaient.

Je poursuis avec un schéma d'ensemble d'école.

Une entreprise rémunére  100  son salarié pour un travail.
Ce salaire s'inscrit comme charge dans le plan comptable.
Sur ces 100 le salarié paiera la TVA, l'impôt sur le revenu,  les impôts des collectivités territoriales et les cotisations obligatoires.

L'entreprise sera également soumise à ces prélèvements.

Elle paiera l'impôt sur les Sociétés, IS, les impôts locaux, IL, et tous les PRÉLÈVEMENTS obligatoires, plus la TVA sur sa consommation de produits finis.

Au total  la somme des deux représente 45% de prélèvement sur le PIB. Soit 1077 milliards € en 2018
le lien https://www.lesechos.fr/.
Pour le cas d'école que je vais présenter leurs valeurs seront indicatives.

L'entreprise agit comme un filtre.

Tout l'activité économique passe par les structures de production réglementées par le plan comptable .
C'est le filtre d'où s'extrait le Bénéfice individuel de leurs propriétaires.
L'entité juridique à une Personnalité Morale,
Les citoyens une Personnalité Physique.

L'entreprise retirera ses moyens de fonctionnement de la vente des productions issus du TRAVAIL HUMAIN, et seulement de cela, quels que soit les intermédiaires technologiques ou animaliers.

Savoir qui est leurs clients est essentiel.
Car ce sera l'Humain, LUI, rien que LUI et toujours LUI.

La formation du Capital.
C'est la capacité à échanger de gré ou de force, produite ou volée,  développé au fil des siècles en accumulant les produits du travail Humain.
Cela quelle qu'en soit l'équivalent référentiel monétaire.

La rareté.

C'est la RARETÉ qui a forcé l'homme au travail, c'est à dire PRODUIRE ce que la planète ne DONNE pas sans un effort de travail humain de Transformation.

L'abondance.

C'est le désir "d'ABONDANCE" qui l'a pousser à l'exploitation de ces semblables et au développement technologique. ( Lien)

L'universalité.

Il y a pas au monde un CAPITAL qui ne vienne pas du travail Humain, quel qu'en soit le détenteur ou les modalités pour l'obtenir, ( tels les rapports financiers)

Ceci posé, pour ne pas croire que la richesse est créé par l'entreprise (PM) ou la technologie ou les animaux.
Ils ne sont que des prolongements de nos bras et de notre cerveau.

Le client.

Le client de l'entreprise sera celui qui possède un revenu. Un moyen d'échange.
L'histoire humaine en ayant nanti les possédants.

Le SALARIÉ.

C'est par là force que les possédants ont consenti à partir de 1804 de rémunérer les Humains qu'ils tenaient dans l'asservissement.
Ils sont devenus des hommes recevant un salaire, des SALARIÉS.

Le salarié sera le client essentiel de l'entreprise dans laquelle il travaille.

Il achetera ce qu'il produit avec le capital que l'entreprise lui verse comme salaire.

Une circulation simple.

Le capital verse un salaire pour produire,.
Ce salaire s'échange contre ce qu'il a produit quand le SALARIÉ qui la reçu, devient client et acheté son travail
Par cet achat le salaire retourne  au Capital majoré des besoins des propriétaires du Capital Investi pour créer une entreprise, dans le but de dégager des Bénéfices, et non de créer des emplois.

Je poursuis le cas d'école pour situer qui paie IS et IL

Le salarié Prélève obligatoirement, la TVA, l'impôt sur le Revenu, les versements obligatoired, soit au total 45 %.
L'on se souvient que l'entreprise lui a versée 100. En retirant 45 de PRÉLÈVEMENTS il lui reste 100 - 45 = 55 pour achèter son TRAVAIL.

L'entreprise nous l'avons vu soumise aux prélèvements verse au trésor public 45 comprenant IS et IL.

L'entreprise va devoir vendre à ses clients le salaire 100 + ses 45 de prélèvements, soit  145 de  versements obligatoires.
Elle transfère ainsi le Salaire et ses PRÉLÈVEMENTS, comportant IS + IL, sur les clients.

Frais de fonctionnement.

L'entreprise devra également vendre ses frais de fonctionnement et de structure.

Ils se composent de rien d'autres que les salaires et versements obligatoires + frais+ structure + dividendes des employeurs fournisseurs.
Ce n'est qu'une fraction de travail humain, augmenté d'une marge bénéficiaire, disons 55.

L'entreprise devra au minimum vendre son produit de 100 de Salaire + 45 de PRÉLÈVEMENTS incluans IS et IL + 55 de frais généraux et de structure = 200.

L'entreprise va calculer une marge qui lui assure en réalisant son chiffre d'affaire de couvrir tous ses coûts afin de dégager un Résultat Bénéficiaire. Admettons qu'elle envisage un resultat après impôts de 100.

Le chiffre d'affaire nécessaire sera égal à 100 de salaires + 45 de prélèvements + 55 de frais de fonctionnement + 100 du résultat espéré = 300.

L'entreprise devra vendre le travail de son salarié 300 pour espérer son résultat de 100.

Les l'employeurs ou les actionnaires, qui recevront ce résultat de 100 comme revenu,  verseront la TVA, l'impôt national et celui des collectivités locales, plus les versements obligatoires de leurs statuts d'employeurs ou de leurs rapports financiers.Disons 40.

Sur ces 300 l'état et les collectivités auront prélevé 45 du salarié + 45 de l'entreprise comprenant IS et IL, + 40 des employeurs = 130 de versement obligatoires.

Ces 130 rémunéreront les salaires des personnels des service publics, les indemnités des élus +  les frais de fonctionnement et accords internationaux pour rendre aux citoyens les missions qu'ils leur ont confié.

D'une certaine manière nous achetons les services de l'état et des collectivités, en rémunérant ses agents pour qu'ils les exécutent.
Nous indemnisons les élus pour que ce ne soient pas que les riches qui puisdent être élus.
Si nous pouvons trouver anormal que les salariés soient exploités, ce n'est pas qu'en tant que citoyens nous exploitons les salariés des services publics, ce à quoi nous souscrivons dans notre absolue crétinerie depuis 1995 en écoutant les discours lénifiants des Capitalistes qui veulent toujours réduire les charges, comme si elle n'avait pas une vie, humaine de surcroît.

Réduire les impôts, c'est réduire les services publics s'ils ne sont pas remplacer par une évolution technologique ou une obsolescence.
C'est réduire une obsession lié à un atavisme Monarchique, c'est nourrir une illusion que nous allons toucher du doigt

Dans le cadre d'une privatisation au lieu de verser 130 aux services publics à but non LUCRATIF, qui retournent au CAPITAL quand ses agents consomments.
Ces130 retourneraient toujours au CAPITAL majorés d'une marge pour dégager un Résultat Bénéficiaire plus important dans une société à but LUCRATIF.

Nous comprenons donc dans ce processus que le client salarié qui a versée 45 de PRÉLÈVEMENTS sur son Salaire de 100.
Quand il achète son travail que l'entreprise lui vend 300, il achète en même temps l'IS et IL.
C'est comme si le SALARIÉ avait paye directement au trésor public l'IS et IL avec son Salaire.
L'entreprise ne sert que d'intermédiaire comme pour la TVA.
Pour le schématiser, le capital verse 100 de Salaire, le SALARIÉ verse au trésor public 45, puis achète les 45 de l'entreprise.
Au total de manière directe et indirecte il finance 45 + 45 = 90. Et ce n'est pas finit.

Nous nous souvenons que le résultat Bénéficiaire est soit distribué aux actionnaires, soit directement encaissé par l'employeur.
Mais sous une forme ou une autre il est soumis à l'impôt sur le Revenu et à la TVA dans le cadre de la consommation.
Le SALARIÉ CLIENT achètant aussi le résultat Bénéficiaire, il achète l'impôt et la TVA qui seront réglés avec, de manière indirecte.

Il paie donc directement ses PRÉLÈVEMENTS, puis il finance ceux de l'entreprise et de l'employeur, pour rémunérer les agents de l'État et ses services qui les rendrons aux CAPITAL par leurs consommations. Soit 100 - (90 + 40) =  - 30.
J'espère que chacun mesure que le Salaire paie quasiment les PRÉLÈVEMENTS.

Pour le mesurée réellement, vous déduisez de votre salaire net  les charges patronale qui y figurent. Vous allez sur le net à gouV vous rechercher montant de l' impôt sur les société vous le divisé par le nombre d'actif moins les agents de l'État et des collectivités et vous obtiendrez approximativement ce que vous financer indirectement à soustraire aussi du salaire net, également moins votre propre impôt. Vous pouvez faire le même processus pour les impôts locaux, c'est un peut plus compliqué.
Vous approcherez votre pouvoir d'achat réel suivant votre rémunération.

Le prix d'un produit.

J'espère que chacun comprend que le prix d'un produit pour sa valeur intrinsèque ça N'EXISTE PAS.
Nous n'achetons que du travail humain rémunéré en fonction de l'utilité suggestive ou réel d'une production plus ou moins rare, comprenant une partie sociale le SMIC et une partie professionnelles, un revenu binôme.
À cela s'ajoutera le train de vie de l'employeur.

J'espère que chacun comprend aussi qu'il peut resituer les récriminations des employeurs qui se plaignent de payer L'IS et L'IL., Ils ne manquent pas de toupet.

C'est pas finit. L''emprumt.

L'on va oublier un instant que l'on se fait abuser par un état de vulnérabilité intellectuelle des salariés.

Nous avons vu que le TRAVAIL du salarié doit être revendu 300 par l'entreprise.
Or le SALARIÉ ne dispose que de 100 moins les prélèvements 45 soit 55.

Il va devoir emprunter pour bénéficier de son travail. Pour bénéficier de la valeur d'échange correspondant au travail fournit.
Son travail est vendu 300  et il ne dispose plus que de 55 nous l'avons vu.

Si nous tenions compte des paiements de PRÉLÈVEMENTS indirecte qu'il finance, il faudrait ajouter 45 + 40 = 90, il serait à moins 35.
Pour achèter son travail le SALARIÉ devra emprunter 55 - 300 = - 245.
À qui ? au CAPITAL contre un intérêt nous allons l'estimer à 20.
Le SALARIÉ rendra 245 + 20 = 265.
Son travail lui aura coûter 300 + 20 = 320 pour en disposer.
Nous voyons bien que ce que nous achetons n'est pas un objet, mais seulement du travail, de l'énergie humaine.

Il faudra un jour intégrer cette donnée d'énergie qui est une valeur universelle, comme le temps, pour calculer le prix réel du travail car l'énergie est mesurable.
Ainsi le produit du travail devient mesurable, le temps passé multiplié par l'énergie consommée divisé par le nombre de produits réalisés et c'est universellement comparable.

Nous avons fait la boucle. Nous avons compris j'espère qu'aucune entreprise ne paie d'impôts, elle n'est qu'une boîte à lettre.

Pour l'essentiel c'est le client salarié qui achète tout, le coût de l'entreprise et des ressources de l'état et des collectivités.

Quelques valeurs indicatives.

Des 28 millions d'actifs 26 sont salarié et parmis eux 5 millions dont des personnels de l'état et des collectivités.
En conséquence seulement 21 millions financent à peut près tout.
Cela n'est qu'un schéma caricatural car de nombreuses variations ont lieux, mais il est irréductible.
Le salarié touche 100 - 45 de charge reste,55 pour acheter son travail qui lui sera revendu 320, dans lesquels sont compris les impôts sur les sociétés qui sont l'objet de l'optimisation fiscale, l'évasion ou la fraude fiscale.

Si nous avons suivit le cheminement ce sont les salariés qui ont financé par leurs salaires et leur emprunt le montant de cette évasion fiscale ou de cette fraude.
C'est leur travail et pas celui de l'entreprise.

Je pense que nous pouvons concevoir que ce schéma serait un problème que compendrait un enfant de 12 ans si ont l'énoncé de la sorte; qui finance l'évasion fiscale et à qui elle profite ?

Un SALARIÉ ne peut pas ACHTER son travail qu'elle que soit le salaire qu'il reçoit.
L'organisation économique n'est pas faite pour qu'il en Bénéfice mais pour être exploité.

C'est aussi vrai pour les stars salariés du foot-ball où autres que l'on envie tant.
Leur club revend leur salaire à leurs supporters et aux télés qui elles revendent le tout à leurs clientèles (télés payantes) ou aux publicitaires.
Ces derniers rentreront ce coût dans le prix du produit du travail du salarié client, auquel il sera revendu même s'il n'aime pas le foot-ball.

Quel que soit l'élément ou groupe d'éléments que nous analyserons, remis dans l'ensemble cela nous ramène toujours au salarié client qui produit.

Si nous voulons savoir quelle est la valeur monétaire référentielle en vigueur de son travail nous prenons le PIB et nous le divisons par 21 millions d'actifs salariés.
Le PIB 2018 environs 2,660 billions de dollars US sur 21 millions de salariés égale 127 000 dollars US soit 114 300 € par salarié
Avec la prise en compte des employeurs actifs 24 millions au total , cela donnerait 114 000€ par actif.
L'on voit que noyé dans la masse moyenne leur travail actif n'est pas déterminant. Mais ce n'est qu'une vision, un regard, une mesure mathématiques, ce n'est pas la réalité, car les masses monétaires qui circulent dans le monde forment leurs capitaux,v sans qu'ils aient eu une seule fois envie de les partager si ce n'est que contraint.

L'evasion fiscale.

Elle est estimé entre 25 et 100 milliards, et seulement 16 de récupérer.
L'estimation n'est pas une donné fiable, mais rapporté au 21 millions de salariés environ 1190 à 4761€ par salariés qui sont à comparer au 114 300 € de production de richesse.
Tout ce qui peut être dit sur cette évasion fiscale c'est qu'elle ne bénéficie pas directement à la collectivité publique.
C'est à dire seulement à sa destination.
Car quel que soit sont usage elle est financé par le salarié et retourne au CAPITAL.

Ce sont des éléments comparateurs sans valeur réelle des inégalités patentes entre revenus, même au sein des employeurs actifs.

Dernier point.

La SA Personnalité Morale.

Plutôt drôle pour des entreprises qui exploitent leurs SALARIÉS.
Cela poursuivait un objectif que l'on impute pas sur les biens personnels des propriétaires le passif.
Les conséquences en sont maintenant, qu'il est, je l'espère plus facile de comprendre, quand une entreprise est juridiquement pénalisé nous savons qui PAIE.
Quand au nom du CETA une entreprise demandera des dommages à l'État nous savons qui PAIE.
Depuis 1976 j'ai intégré ce schéma quand un employeur m'avait répondu : je veux bien vous payer un millions si je peux vous le revendre.

Alors pourquoi ceux qui gagnent la richesse du pays sont ils incapables de réclamer leur dû ?
Sommes nous irrévocablement des Crétins ?

Cela nous laisse je l'espère interrogatif sur l'usage de nos capacités de réflexions et d'analyses.
Cela doit nous interroger ?
Comment des citoyens que nous instruisons, avec des capacités intellectuelles reconnues appartenir aux élites, acceptent le déroulement d'une exploitation d'évidence
qu'un enfant de 12 ans comprendrait ?
Comment nous même ne comprenons nous pas cela ?
Comment continuer à réclamer des salaires  que nous rachetons au double ?
Comment accepter encore qu'entreprendre emporte le droit d'exploiter les autres ?
La question qui tue !
Comment une PLANÈTE entière peut accepter cela sans se révolter ?
Ce questionnement nous renvoie, non pas au mathématiques mais à notre organisation psychique émotionnelle malléable, adoptable, c'est a dire a HUMAIN d'abord.

Chacun peut refaire ce cheminement  avec des taux de prélèvements exacts, mais c'est un casse de tête chinois sur lequel planche les ordinateurs du fiscs et du trésor public hors de portée de mes capacités et de ma calculette.

Tout ceci ne remet pas en cause la place des DÉCOUVREURS ni des ENTREPRENEURS, mais ils n'ont une PLACE que dans celles organisées par le groupe, dans la recherche atavique de l'abondance, qui n'apparait pas sans une analyse historique.

C'est cette même recherche de la facilité, du moindre effort qui nous conduit à n'être que des salariés soumis ou des entrepreneurs habiles pour cumuler l'abondance.
J'ESPÈRE que nous comprenons que notre organisation est culturelle, que la capitalisation de toute chose ne l'est pas pour sa valeur qui n'existe pas en dehors de notre imaginaire nourri par un atavisme innées.










1 commentaire:

  1. Je ne crois pas que la solution soit d'éviter à qui que ce soit de payer des impôts, mais au contraire de faire en sorte que chacun ait la possibilité de payer ceux dont il est normalement redevable pour “contribuer”, dans la mesure de ses moyens, au fonctionnement de la société à laquelle il appartient, qu'il le veuille ou non.

    Les inégalités sociales n'ont pas d'autre histoire que celle de la relation économie-démographie. Et si nous ignorons cela, nous ne pourrons jamais :
    - ni les maîtriser
    - ni éradiquer la pauvreté profonde
    - ni nous réconcilier avec notre environnement.

    Avant l'enfance ou toute autre considération il y a la naissance, dont les hasards insèrent chacun dans la pyramide sociale selon ses antécédents génétiques, sociaux et culturels. Et c'est là qu'est le problème, que ne saurait résoudre la lutte des classes (sans jeu de mot). Richesse et pauvreté sont relatives en tout et un pauvre ne peut enfanter que des pauvres, comme un riche ne peut donner naissance qu'à des riches, quels que soient les aléas heureux ou malheureux de l'existence de chacun par la suite.

    Par ailleurs, si l'enrichissement (en tout) n'a d'autres limites que celles de l'ambition de ceux qui le convoitent et les ressources dont il est tiré, LA PAUVRETÉ A LA SIENNE, QUI EST LE NIVEAU ZÉRO DE LA RICHESSE.

    C'est cette incontournable condition qu'il faut vaincre, non par combat sommaire qui ne fait que l'aggraver dans une stérilité qui s'est affirmée depuis des millénaires, mais en “isolant” la pauvreté profonde du niveau zéro de la richesse, au moyen d'un revenu universel minimum et inconditionnel, sachant que les inégalités sociales ne peuvent et n'ont fait qu'augmenter depuis la nuit des temps, en suivant l'évolution constante du binôme démographie-économie, avec toutes conséquences sur notre environnement.

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/inegalites-sociales-et-revenu-217885

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